Fedora 11

Guide d'installation

Installing Fedora 11 on x86, AMD64, and Intel® 64 architectures

Édition 1.0

Fedora Documentation Project


Note légale

Copyright © 2009 Red Hat, Inc. and others. This material may only be distributed subject to the terms and conditions set forth in the Open Publication License, V1.0, (the latest version is presently available at http://www.opencontent.org/openpub/).
Fedora and the Fedora Infinity Design logo are trademarks or registered trademarks of Red Hat, Inc., in the U.S. and other countries.
Red Hat and the Red Hat "Shadow Man" logo are registered trademarks of Red Hat Inc. in the United States and other countries.
All other trademarks and copyrights referred to are the property of their respective owners.
Documentation, as with software itself, may be subject to export control. Read about Fedora Project export controls at http://fedoraproject.org/wiki/Legal/Export.
Résumé
Documentation fournissant le procédé d'installation.

Preface
1. Conventions de documentation
1.1. Conventions typographiques
1.2. Conventions pour citations mises en vedette
1.3. Notes et avertissements
2. Vos commentaires sont importants !
Introduction
1. Expérience
1.1. À propos de Fedora
1.2. Obtenir de l'aide supplémentaire
2. À propos de ce document
2.1. Objectifs
2.2. Public
1. Démarrage rapide pour les experts
1.1. Aperçu
1.2. Télécharger les fichiers
1.3. Prépare pour l'installation
1.4. Installer Fedora
1.5. Procéder aux étapes post installation
2. Nouveaux utilisateurs
2.1. Comment télécharger les fichiers d'installation ?
2.1.1. Depuis un miroir
2.1.2. Depuis BitTorrent
2.2. Quelle est l'architecture de mon ordinateur ?
2.3. Quels fichiers dois-je télécharger ?
2.4. Comment créer un média Fedora ?
2.4.1. Préparation des médias CD ou DVD
2.4.2. Préparation d'un média USB
2.5. Et si je ne peux pas télécharger Fedora ?
2.6. Comment puis-je lancer le programme d'installation ?
I. Before you begin
3. Étapes pour démarrer
3.1. Mettre à niveau ou installer ?
3.2. Votre matériel est-il compatible ?
3.3. Avez-vous suffisamment d'espace disque ?
3.4. Pouvez-vous installer à partir du CD-ROM ou du DVD ?
3.4.1. Autres méthodes de démarrage
3.4.2. Création d'un CD-ROM de démarrage d'installation
3.5. Préparation à une installation réseau
3.5.1. Préparation aux installations FTP et HTTP
3.5.2. Préparation à une installation NFS
3.6. Préparation à une installation depuis le disque dur
4. System Specifications List
5. Supports de pilotes pour les systèmes Intel et AMD
5.1. Pourquoi utiliser un support de pilotes ?
5.2. Qu'est-ce qu'un support de pilotes ?
5.3. Comment se procurer des supports de pilotes ?
5.3.1. Création d'une disquette de pilotes à partir d'un fichier image
5.4. Utilisation d'une image de pilotes pendant l'installation
II. The installation process
6. Commencement de l'installation
6.1. Le menu de démarrage
6.2. Installation à partir d'une source différente
6.3. Vérification du média
6.3.1. Vérification du CD live
6.3.2. Vérification du DVD
6.4. Démarrer à partir du réseau en utilisant PXE
6.5. Interfaces graphiques et textes
7. Installing on Intel and AMD Systems
7.1. The Graphical Installation Program User Interface
7.1.1. A Note about Virtual Consoles
7.2. Interface utilisateur du programme d'installation en mode texte
7.2.1. Navigation au moyen du clavier
7.3. Starting the Installation Program
7.3.1. Booting the Installation Program on x86, AMD64, and Intel 64 Systems
7.3.2. Additional Boot Options
7.4. Choix d'une méthode d'installation
7.5. Installation à partir du DVD/CD-ROM
7.5.1. Que faire si le CD-ROM IDE n'est pas détecté ?
7.6. Installation à partir d'un disque dur
7.7. Installation réseau
7.8. Installation via NFS
7.9. Installing via FTP or HTTP
7.10. Fedora vous souhaite la bienvenue
7.11. Language Selection
7.12. Keyboard Configuration
7.13. Initializing the Hard Disk
7.14. Mise à jour d'un système existant
7.14.1. Examiner la mise à jour
7.14.2. Mettre à jour en utilisant l'installeur
7.14.3. Mise à jour de la configuration du chargeur de démarrage
7.15. Network Configuration
7.15.1. Manual configuration
7.16. Configuration du fuseau horaire
7.17. Set the Root Password
7.18. Disk Partitioning Setup
7.18.1. RAID and Other Disk Devices
7.19. Advanced Storage Options
7.20. Create Default Layout
7.21. Partitionnement du système
7.21.1. Affichage graphique des disques durs
7.21.2. The partitioning screen
7.21.3. Champs de partitions
7.21.4. Schéma de partitionnement recommandé
7.21.5. Ajout de partitions
7.21.6. Modification de partitions
7.21.7. Suppression d'une partition
7.22. Configuration du chargeur d'amorçage pour les systèmes x86, AMD64 et Intel 64
7.22.1. Configuration avancée du chargeur d'amorçage
7.22.2. Rescue Mode
7.22.3. Alternatives aux chargeurs d'amorçage
7.23. Package Group Selection
7.23.1. Installing from Additional Repositories
7.23.2. Customizing the Software Selection
7.24. Début de l'installation
7.24.1. Début de l'installation
7.25. Installing Packages
7.26. Installation terminée
8. Résolution de problèmes d'installation sur un système Intel ou AMD
8.1. You are unable to boot Fedora
8.1.1. Vous ne parvenez pas à démarrer avec votre carte RAID ?
8.1.2. Votre système affiche-t-il des erreurs Signal 11 ?
8.2. Problèmes au démarrage de l'installation
8.2.1. Problems with Booting into the Graphical Installation
8.3. Problèmes durant l'installation
8.3.1. No devices found to install Fedora Error Message
8.3.2. Saving traceback messages without removeable media
8.3.3. Trouble with Partition Tables
8.3.4. Utilisation de l'espace restant
8.3.5. Autres problèmes de partitionnement
8.3.6. Voyez-vous des erreurs Python ?
8.4. Problèmes après l'installation
8.4.1. Vous rencontrez des problèmes avec l'écran graphique de GRUB sur un système x86 ?
8.4.2. Démarrage dans un environnement graphique
8.4.3. Problèmes avec le système X Window (GUI)
8.4.4. Problèmes d'arrêt brutal du serveur X et utilisateurs qui ne sont pas le super-utilisateur
8.4.5. Problèmes au moment de la connexion
8.4.6. Votre RAM n'est pas reconnue ?
8.4.7. Votre imprimante ne fonctionne pas
8.4.8. Problèmes de configuration du son
8.4.9. Service httpd basé sur Apache/Sendmail en suspens au démarrage
III. Advanced installation options
9. Options de démarrage
9.1. Configuration du système d'installation au menu de démarrage
9.1.1. Spécification du langage
9.1.2. Configuration de l'interface
9.1.3. Updating anaconda
9.1.4. Spécification de la méthode d'installation
9.1.5. Configuration manuelle des paramètres réseau
9.2. Activer l'accès à distance au système d'installation
9.2.1. Activation de l'accès distant avec VNC
9.2.2. Connexion du système d'installation à un serveur VNC
9.2.3. Activer l'accès à distance via Telnet
9.3. Se connecter à un système distant durant l'installation
9.3.1. Configurer un serveur de journalisation
9.4. Automatiser l'installation avec Kickstart
9.5. Amélioration de la prise en charge du matériel
9.5.1. Adding Hardware Support with Driver Disks
9.5.2. Passer outre la détection automatique du matériel
9.6. Utilisation des modes de démarrage de maintenant
9.6.1. Chargement du mode de test de la mémoire (RAM)
9.6.2. Verifying boot media
9.6.3. Démarrer votre ordinateur en « Mode de Secours »
9.6.4. Upgrading your computer
10. Installation sans média
10.1. Retrouver les fichiers de démarrage
10.2. Édition de la configuration de GRUB
10.3. Démarrage de l'installation
11. Préparer un serveur d'installation
11.1. Préparer cobbler
11.2. Préparer la distribution
11.3. Mirroring a Network Location
11.4. Importer la distribution
11.5. Manually configure a PXE server
11.5.1. Setting up the Network Server
11.5.2. PXE Boot Configuration
11.5.3. Adding PXE Hosts
11.5.4. TFTPD
11.5.5. Configuration du serveur DHCP
11.5.6. Adding a Custom Boot Message
11.5.7. Performing the PXE Installation
12. Installing Through VNC
12.1. VNC Viewer
12.2. VNC Modes in Anaconda
12.2.1. Direct Mode
12.2.2. Connect Mode
12.3. Installation Using VNC
12.3.1. Installation Example
12.3.2. Kickstart Considerations
12.3.3. À propos du pare-feu
12.4. References
13. Installations kickstart
13.1. Qu'est-ce qu'une installation kickstart ?
13.2. Comment effectuer une installation kickstart ?
13.3. Création du fichier kickstart
13.4. Options de kickstart
13.4.1. Exemple de partitionnement avancé
13.5. Package Selection
13.6. Script de pré-installation
13.6.1. Exemple
13.7. Script post-installation
13.7.1. Exemples
13.8. Mise à disposition du fichier kickstart
13.8.1. Création d'un support de démarrage Kickstart
13.8.2. Mise à disposition du fichier kickstart sur le réseau
13.9. Mise à disposition de l'arborescence d'installation
13.10. Lancement d'une installation kickstart
14. Kickstart Configurator
14.1. Configuration de base
14.2. Méthode d'installation
14.3. Options de chargeur de démarrage
14.4. Informations sur les partitions
14.4.1. Création de partitions
14.5. Network Configuration
14.6. Authentification
14.7. Configuration du pare-feu
14.7.1. Configuration de SELinux
14.8. Configuration de l'affichage
14.9. Package Selection
14.10. Script de pré-installation
14.11. Script post-installation
14.11.1. Environnement chroot
14.11.2. Utilisation d'un interprète
14.12. Enregistrement du fichier
IV. After installation
15. Firstboot
15.1. Contrat de licence
15.2. Utilisateur système
15.3. Date et heure
15.4. Profil Matériel
16. Vos prochaines étapes
16.1. Mettre à jour votre système
16.2. Finaliser une mise à niveau
16.3. Passer à une identification graphique.
16.4. Souscrire aux services d'informations et de nouvelles de Fedora
16.5. Trouver de la documentation et du support technique
16.6. Adhérer à la communauté Fedora
17. Restauration de base du système
17.1. Problèmes courants
17.1.1. Unable to Boot into Fedora
17.1.2. Problèmes logiciels et matériels
17.1.3. Root Password
17.2. Démarrage en mode de secours
17.2.1. Réinstallation du chargeur de démarrage
17.3. Démarrage en mode mono-utilisateur
17.4. Démarrage en mode d'urgence
18. Mise à niveau du système actuel
18.1. Choix entre mise à niveau et réinstallation
18.2. Mise à niveau du système
19. Removing Fedora
19.1. Fedora is the only operating system on the computer
19.2. Your computer dual-boots Fedora and another operating system
19.2.1. Your computer dual-boots Fedora and a Microsoft Windows operating system
19.2.2. Your computer dual-boots Fedora and Mac OS X
19.2.3. Your computer dual-boots Fedora and a different Linux distribution
19.3. Replacing Fedora with MS-DOS or legacy versions of Microsoft Windows
V. Technical appendixes
A. Introduction aux partitions de disque
A.1. Concepts de base concernant le disque dur
A.1.1. Ce qui compte n'est pas tant ce que vous écrivez que la manière dont vous l'écrivez
A.1.2. Partitions : transformation d'un disque dur en plusieurs disques
A.1.3. Partitions à l'intérieur de partitions — Présentation des partitions étendues
A.1.4. Making Room For Fedora
A.1.5. Système de dénomination des partitions
A.1.6. Partitions de disque et autres systèmes d'exploitation
A.1.7. Partitions de disque et points de montage
A.1.8. Combien de partitions ?
B. ISCSI disks
B.1. iSCSI disks in anaconda
B.2. iSCSI disks during start up
C. Disk Encryption Guide
C.1. What is block device encryption?
C.2. Encrypting block devices using dm-crypt/LUKS
C.2.1. Overview of LUKS
C.2.2. How will I access the encrypted devices after installation? (System Startup)
C.2.3. Choosing a Good Passphrase
C.3. Creating Encrypted Block Devices in Anaconda
C.3.1. What Kinds of Block Devices Can Be Encrypted?
C.3.2. Limitations of Anaconda's Block Device Encryption Support
C.4. Creating Encrypted Block Devices on the Installed System After Installation
C.4.1. Create the block devices
C.4.2. Optional: Fill the device with random data
C.4.3. Format the device as a dm-crypt/LUKS encrypted device
C.4.4. Create a mapping to allow access to the device's decrypted contents
C.4.5. Create filesystems on the mapped device, or continue to build complex storage structures using the mapped device
C.4.6. Add the mapping information to /etc/crypttab
C.4.7. Add an entry to /etc/fstab
C.5. Common Post-Installation Tasks
C.5.1. Set a randomly generated key as an additional way to access an encrypted block device
C.5.2. Add a new passphrase to an existing device
C.5.3. Remove a passphrase or key from a device
D. Understanding LVM
E. Chargeur de démarrage GRUB
E.1. GRUB
E.1.1. GRUB et le processus de démarrage x86
E.1.2. Caractéristiques de GRUB
E.2. Installing GRUB
E.3. Terminologie relative à GRUB
E.3.1. Noms des périphériques
E.3.2. Noms de fichiers et listes des blocs
E.3.3. Le système de fichiers racine et GRUB
E.4. Interfaces GRUB
E.4.1. Ordre de chargement des interfaces
E.5. Commandes GRUB
E.6. Fichier de configuration du menu de GRUB
E.6.1. Structure des fichiers de configuration
E.6.2. Directives des fichiers de configuration
E.7. Changement de niveau d'exécution au démarrage
E.8. Ressources supplémentaires
E.8.1. Documentation installée
E.8.2. Sites Web utiles
E.8.3. Livres sur le sujet
F. Processus de démarrage, Init et arrêt
F.1. Processus de démarrage
F.2. Examen détaillé du processus de démarrage
F.2.1. Le BIOS
F.2.2. Le chargeur de démarrage
F.2.3. Le noyau
F.2.4. Le programme /sbin/init
F.3. Exécution de programmes supplémentaires au démarrage
F.4. Niveaux d'exécution de SysV Init
F.4.1. Niveaux d'exécution (Runlevels)
F.4.2. Utilitaires de niveaux d'exécution
F.5. Arrêt
G. Autre document technique
H. Contributors and production methods
H.1. Contributors
H.2. Production methods
I. Revision History
Index

Preface

1. Conventions de documentation

Ce manuel utilise plusieurs conventions pour souligner l'importance de certains mots ou expressions, mais aussi en vue d'attirer l'attention sur certains passages d'informations précis.
Dans les éditions support papier et PDF, ce manuel utilise des caractères issus de Liberation Fonts. La police de caractères Liberation Fonts est également utilisée pour les éditions HTML si elle est installée sur votre système. Sinon, des polices de caractères alternatives équivalentes sont utilisées. Noter: Red Hat Enterprise Linux 5 et versions supérieures comprennent la police Liberation Fonts par défaut.

1.1. Conventions typographiques

Quatre conventions typographiques sont utilisées pour attirer l'attention sur certains mots et expressions. Ces conventions, et les circonstances auxquelles elles s'appliquent, sont les suivantes.
Caractères gras à espacement fixe
Utilisé pour surligner certaines entrées du systèmes comme les commandes de console, les noms de fichiers et les chemins d'accès. Également utilisé pour surligner les touches et les combinaisons de touches principales. Par exemple:
Pour voir le contenu du fichier mon_nouvel_ouvrage_littéraire qui se trouve dans votre répertoire en cours, saisir la commande cat mon_nouvel_ouvrage_littéraire par invitation-console et appuyer sur Enter (entrer) pour exécuter la commande.
Cela comprendra un nom de fichier, une commande-console et un nom de touche, tous présentés sous forme de caractères gras à espacement fixe et tous bien distincts grâce au contexte.
Les combinaisons-clé sont différenciées des noms de touches par le trait d'union qui fait partie de chaque combinaison-clé. Ainsi:
Appuyer sur Enter (entrer) pour exécuter la commande.
Appuyer sur Ctrl+Alt+F1 pour passer au premier terminal virtuel. Appuyer sur Ctrl+Alt+F7 pour retourner à votre session X-Windows.
La première phrase surligne la touche précise sur laquelle il faut appuyer. La seconde surligne deux ensemble de trois touches, à presser simultanément séparémment.
Si le code source est mentionné, les noms de classe, les méthodes, les fonctions, les noms de variables et les valeurs de retour citées dans un paragraphe seront présentées comme ci-dessus, en caractères gras à espacement fixe . Par exemple:
Les classes fichier comprennent le nom de classe filesystem pour les noms de fichier, file pour les fichiers, et dir pour les répertoires. Chaque classe correspond à un ensemble de permissions associées.
Caractères gras proportionnels
Cela surligne des mots ou expressions que l'on rencontre dans le système, comprenant des noms d'application, des fenêtres de dialogue texte, des boutons étiquetés, des cases à cocher et des boutons d'options; enfin, des intitulés de menus et de sous-menus. Ainsi:
Sélectionner System > Preferences > Mouse à partir de la barre de menu principal pour lancer l'appication souris Mouse Preferences. A partir de l'onglet Buttons (Boutons), cliquer sur la case à cocher Left-handed mouse (souris main gauche) et cliquer sur Close (Fermeture) pour faire passer le bouton principal de la souris de la gauche vers la droite (ce qui permet l'utilisation de la souris par la main gauche).
Pour insérer un caractère spécial dans le fichier gedit choisir Applications > Accessories > Character Map à partir de la barre du menu principal. Ensuite, sélectionnerSearch > Find… à partir de la barre de menu de l'application Character Map, taper le nom du caractère dans le champ Search et cliquer Next (Suite). Le caractère que vous cherchiez sera surligné dans la Character Map (Table de caractères). Cliquez deux fois sur ce caractère surligné pour l'insérer dans le champ Text to copy (texte à copier), puis cliquer sur le bouton Copy (copier) . Maintenant, revenez à votre document, et sélectionner Edit > Paste à partir de la barre de menu gedit.
Le texte ci-dessus comprend des noms d'application, des noms de menu et autres s'appliquant à l'ensemble du système, des noms de menu pour applications particulières; et des boutons et textes que l'on trouve dans l'interface GUI, tous présentés sous la forme Gras proportionnelle et identifiables en fonction du contexte.
Remarquez > l'écriture raccourcie utilisée pour les traverses de menu et de sous-menus. Cela permet d'éviter l'approche difficile d'abord 'Sélectionner Mouse à partir du sous-menu Préférences dans le menu de la barre de menu principale Système.'
Italique gras à espacement fixe ou Italique gras proportiionnel
Qu'ils soient en caractères gras à espacement fixe ou à caractères gras proportionnels, l'ajout des italiques indique la présence de texte remplaçable ou variable. Les caractères en italique indiquent la présence de texte que vous ne saisissez pas littéralement ou de texte affiché qui change suivant les circonstances. Par exemple:
Pour connecter à une machine éloignée en utilisant ssh, taper ssh nom d'utilisateur@domain.name (nom.domaine) par invitation de la console. Si la machine éloignée est exemple.com et que votre nom d'utilisateur pour cette machine est john, tapez ssh john@example.com.
La commande mount -o remount du système de fichiers remonte jusqu'au nom du système de fichiers. Ainsi, pour remonter au /home du système de fichier, la commande est mount -o remount /home.
Pour voir la version d'un package actuellement installé, utiliser la commande du package rpm -q . Elle vous permettra de retourner le résultat suivant: package-version-release.
Notez les mots en caractères italique gras au dessus de — nom d'utilisateur, domain.name, système fichier, package, version et mise à jour. Chaque mot est un signet, soit pour le texte que vous saisissez suite à l'activation d'une commande, soit pour le texte affiché par le système.
Mis à part l'utilisation habituelle de présentation du titre d'un ouvrage, les caractères italiques indiquent l'utilisation initiale d'un terme nouveau et important. Ainsi:
Quand le serveur Apache HTTP enregistre des demandes, il envoie des threads ou des processes enfant pour les traiter. Ce groupe de threads ou processes enfant est connu en tant que serveur-pool. Sous Apache HTTP Server 2.0, on a donné la responsabilité de créer et de maintenir ces pools-de-serveurs à un groupe de modules intitulé Multi-Processing Modules (MPMs). A la différence des autres modules, un seul module du groupe MPM ne peut être chargé par le serveur Apache HTTP.

1.2. Conventions pour citations mises en vedette

Deux types de données, normalement présentées sur lignes multiples, ressortent visuellement du texte avoisinant.
Les sorties envoyées vers un terminal sont en caractères Romains à espacement fixe et présentés ainsi:
books        Desktop   documentation  drafts  mss    photos   stuff  svn
books_tests  Desktop1  downloads      images  notes  scripts  svgs
Des listings code-source sont également présentés en espaces romains à espacemnt fixe mais sont présentés et surlignés comme suit:
package org.jboss.book.jca.ex1;

import javax.naming.InitialContext;

public class ExClient
{
   public static void main(String args[]) 
       throws Exception
   {
      InitialContext iniCtx = new InitialContext();
      Object         ref    = iniCtx.lookup("EchoBean");
      EchoHome       home   = (EchoHome) ref;
      Echo           echo   = home.create();

      System.out.println("Created Echo");

      System.out.println("Echo.echo('Hello') = " + echo.echo("Hello"));
   }
   
}

1.3. Notes et avertissements

Finalement, nous utilisons trois styles visuels pour attirer l'attention sur des informations qui auraient pu être normalement négligées.

Remarque

Une note est une forme de conseil, un racourci ou une approche alternative par rapport à une tâche à entreprendre. L'ignorer ne devrait pas poser de conséquences négatives, mais vous pourriez passer à côté d'une astuce qui aurait pu vous simplifier la vie.

Important

Des casiers d'informations importantes détaillent des éléments qui pourraient être facilement négligés: des changements de configurations qui s'appliquent uniquement à la session courante, ou des services qui ont besoin d'être redémarrés avant toute mise à jour. Si vous ignorez ces casiers d'information, vous ne perdrez aucunes données mais pourrait être source de frustration et d'irritation.

Avertissement

Un avertissement ne saurait être ignoré. Ignorer des avertissements risque d'entrainer invariablement une perte de données.

2. Vos commentaires sont importants !

Lorsque vous soumettez un rapport d'erreurs, veuillez indiquer clairement les références du manuel : Installation_Guide
Si vous avez des suggestions pour améliorer la documentation, essayez de les décrire le plus précisément possible. Si vous avez trouvé une erreur, veuillez non seulement indiquer le numéro de section où elle se trouve mais également ajouter un extrait du texte qui l'entoure, afin que nous puissions la retrouver facilement.

Introduction

This guide covers installation of Fedora, a Linux distribution built on free and open source software. This manual helps you install Fedora on desktops, laptops, and servers. The installation system is easy to use even if you lack previous knowledge of Linux or computer networks. If you select default options, Fedora provides a complete desktop operating system, including productivity applications, Internet utilities, and desktop tools.
Ce document ne détaille pas toutes les caractéristiques du système d'installation.

1. Expérience

1.1. À propos de Fedora

To find out more about Fedora, refer to http://fedoraproject.org/. To read other documentation on Fedora related topics, refer to http://docs.fedoraproject.org/.

1.2. Obtenir de l'aide supplémentaire

For information on additional help resources for Fedora, visit http://fedoraproject.org/wiki/Communicate.

2. À propos de ce document

2.1. Objectifs

Ce guide aide un lecteur :
  1. À comprendre comment localiser une distribution Fedora en ligne
  2. À créer la configuration permettant à un ordinateur de démarrer Fedora
  3. À comprendre et à interagir avec le programme d'installation de Fedora
  4. À terminer la configuration post-installation d'un système Fedora

Autres sources de documentation

This guide does not cover use of Fedora. To learn how to use an installed Fedora system, refer to http://docs.fedoraproject.org/ for other documentation.

2.2. Public

This guide is intended for new and intermediate Fedora users. Advanced Fedora users with questions about detailed operation of expert installation features should consult the Anaconda development mailing list at http://www.redhat.com/archives/anaconda-devel-list/.

Chapitre 1. Démarrage rapide pour les experts

Cette section offre un rapide aperçu des étapes d'installation pour les lecteurs expérimentés qui sont impatients de commencer. Remarquez que de nombreuses notes explicatives et des astuces apparaissent dans les chapitres suivants. Si un problème survient durant l'installation, consultez le chapitre approprié du guide complet pour obtenir de l'aide.

Experts seulement

Cette section est seulement destinés aux experts. Les autres lecteurs devraient ne pas être familiers avec certains des termes de cette section, et devraient plutôt se rendre à Chapitre 2, Nouveaux utilisateurs.

1.1. Aperçu

La procédure d'installation est très simple et consiste en seulement quelques étapes :
  1. Télécharger des fichiers pour fabriquer un média ou une autre configuration amorçable.
  2. Prépare le système pour l'installation.
  3. Démarre l'ordinateur et lance le processus d'installation.
  4. Redémarrer et effectuer la configuration post-installation.

1.2. Télécharger les fichiers

Utilisez l'une des méthodes suivantes :

Vérifiez vos téléchargements

Les téléchargements peuvent échouer pour de nombreuses raisons. Vérifiez systématiquement la somme de contrôle SHA1 des fichiers téléchargés.
  1. Télécharger l'image ISO d'une image live. Créer un CD à partir du fichier ISO en utilisant votre application préférée. Vous pouvez aussi utiliser le paquet livecd-tools pour écrire l'image sur un autre média amorçable, comme par exemple une clé USB. Pour installer la distribution sur votre disque dur, utilisez le raccourci présent sur le bureau après identification.
  2. Pour obtenir des information sur la manière de configurer un serveur de démarrage réseau à partir duquel installer Fedora, consultez Chapitre 11, Préparer un serveur d'installation.

1.4. Installer Fedora

Démarrez sur le média choisi, avec n'importe quelles options adaptées à votre matériel et à votre mode d'installation. Consultez Chapitre 9, Options de démarrage pour plus d'informations sur les options de démarrage. Si vous démarrez à partir du CD live, sélectionnez l'option « Installez sur le disque dur » à partir du bureau, pour lancer le programme d'installation. Si vous démarrez à partir d'un média minimal ou d'un noyau téléchargé, sélectionnez une ressource réseau ou sur disque dur à partir de laquelle installer.
Suivez toutes les étapes du programme d'installation. Le programme d'installation ne modifiera pas votre système avant que vous ne validiez l'étape de confirmation finale. Lorsque l'installation sera finie, votre système redémarrera.

1.5. Procéder aux étapes post installation

Après que votre système ait redémarré, il vous propose des options de configuration supplémentaires. Effectuez les changements appropriés à votre système et continuez jusqu'à l'écran d'identification.

Chapitre 2. Nouveaux utilisateurs

This chapter explains how to get the files you need to install and run Fedora on your computer. Concepts in this chapter may be new, especially if this is your first free and open source operating system. If you have any trouble with this chapter, find help by visiting the Fedora Forums at http://www.fedoraforum.org/.

Liens de téléchargement

To follow a Web-based guide to downloading, visit http://get.fedoraproject.org/. For guidance on which architecture to download, refer to Section 2.2, « Quelle est l'architecture de mon ordinateur ? ».

2.1. Comment télécharger les fichiers d'installation ?

The Fedora Project distributes Fedora in many ways, mostly free of cost and downloaded over the Internet. The most common distribution method is CD and DVD media. There are several types of CD and DVD media available, including:
  • A full set of the software on DVD media
  • Live images you can use to try Fedora, and then install to your system if you so choose
  • Images amorçables de taille réduite pour CD et clé USB que vous pouvez utiliser pour installer à travers une connexion Internet
  • Code source sur DVD
Most users want the Fedora Live image or the full set of installable software on DVD or CDs. The reduced bootable images are suitable for use with a fast Internet connection and install Fedora on one computer. Source code discs are not used for installing Fedora, but are resources for experienced users and software developers.
Les logiciels Fedora sont disponibles en téléchargement gratuit par une multitude de moyens.

2.1.1. Depuis un miroir

Mirrors publish Fedora software under a well-organized hierarchy of folders. For example, the Fedora 11 distribution normally appears in the directory fedora/linux/releases/11/. This directory contains a folder for each architecture supported by that release of Fedora. CD and DVD media files appear inside that folder, in a folder called iso/. For example, you can find the file for the DVD distribution of Fedora 11 for x86_64 at fedora/linux/releases/11/Fedora/x86_64/iso/Fedora-11-x86_64-DVD.iso.

2.1.2. Depuis BitTorrent

BitTorrent is a way to download information in cooperation with other computers. Each computer cooperating in the group downloads pieces of the information in a particular torrent from other peers in the group. Computers that have finished downloading all the data in a torrent remain in the swarm to seed, or provide data to other peers. If you download using BitTorrent, as a courtesy you should seed the torrent at least until you have uploaded the same amount of data you downloaded.
If your computer does not have software installed for BitTorrent, visit the BitTorrent home page at http://www.bittorrent.com/download/ to download it. BitTorrent client software is available for Windows, Mac OS, Linux, and many other operating systems.
You do not need to find a special mirror for BitTorrent files. The BitTorrent protocol ensures that your computer participates in a nearby group. To download and use the Fedora BitTorrent files, visit http://torrent.fedoraproject.org/.

Images de démarrage minimal

Les images minimales pour CD et clé USB ne sont pas disponibles par BitTorrent.

2.3. Quels fichiers dois-je télécharger ?

You have several options to download Fedora. Read the options below to decide the best one for you.
Each file available for download in a Fedora distribution includes the architecture type in the file name. For example, the file for the DVD distribution of Fedora 11 for x86_64 is named Fedora-11-x86_64-DVD.iso. Refer to Section 2.2, « Quelle est l'architecture de mon ordinateur ? » if you are unsure of your computer's architecture.
  1. Distribution complète sur DVD
    If you have plenty of time, a fast Internet connection, and wish a broader choice of software on the install media, download the full DVD version. Once burned to DVD, the media is bootable and includes an installation program. The DVD version contains a mode to perform rescue operations on your Fedora system in an emergency. You can download the DVD version directly from a mirror, or via BitTorrent.
  2. Image live
    If you want to try Fedora before you install it on your computer, download the Live image version. If your computer supports booting from CD or USB, you can boot the operating system without making any changes to your hard disk. The Live image also provides an Install to Hard Disk desktop shortcut. If you decide you like what you see, and want to install it, simply activate the selection to copy Fedora to your hard disk. You can download the Live image directly from a mirror, or using BitTorrent.
  3. Média minimal de démarrage
    Si vous avez une connexion Internet rapide mais ne voulez pas télécharger la distribution complète, vous pouvez télécharger un image minimaliste de démarrage. Fedora fournit des images pour un environnement de démarrage minimal sur CD. Une fois que vous démarrez votre système avec le média minimaliste, vous pouvez installer Fedora directement depuis internet. Même si cette méthode implique aussi de télécharger un quantité de données importantes depuis internet, c'est quasiment la plupart du temps beaucoup moins que la taille du média d'installation complet. Une fois que vous avez terminé l'installation, vous pouvez ajouter ou supprimer des logiciels de votre système comme vous le désirez.

    Taille de téléchargement

    Installing the default software for Fedora over the Internet requires more time than the Live image, but less time than the entire DVD distribution. Actual results depend on the software you select and network traffic conditions.
The following table explains where to find the desired files on a mirror site. Replace arch with the architecture of the computer being installed.
Media type File locations
Distribution complète sur DVD fedora/linux/releases/11/Fedora/arch/iso/Fedora-11-arch-DVD.iso
Image live fedora/linux/releases/11/Live/arch/iso/Fedora-11-arch-Live.iso, fedora/linux/releases/11/Live/arch/iso/Fedora-11-KDE-arch-Live.iso
CD minimal de démarrage fedora/linux/releases/11/Fedora/arch/os/images/boot.iso
Tableau 2.2. Locating files

2.4. Comment créer un média Fedora ?

A Fedora ISO file can be turned into either CD or DVD discs. You can turn Fedora Live ISO files into bootable USB media, as well as a CD or DVD.

2.4.1. Préparation des médias CD ou DVD

To learn how to turn ISO images into CD or DVD media, refer to http://docs.fedoraproject.org/readme-burning-isos/.

2.4.2. Préparation d'un média USB

To make bootable USB media, use a Fedora Live image. Use either a Windows or Linux system to make the bootable USB media.

L'écriture de l'image sur l'USB n'est pas destructive

Writing the Live image to the USB media is nondestructive. Any existing data on the media is not harmed.
It is always a good idea to back up important data before performing sensitive disk operations.
To begin, make sure there is sufficient free space available on the USB media. There is no need to repartition or reformat your media. It is always a good idea to back up important data before performing sensitive disk operations.

2.4.2.1. USB Image Creation from Windows

  1. Download a Live ISO file as explained in Section 2.3, « Quels fichiers dois-je télécharger ? ».
  2. Download the Windows liveusb-creator program at http://fedorahosted.org/liveusb-creator.
  3. Suivez les instructions données sur le site et dans le programme liveusb-creator pour créer le média USB amorçable.

2.4.2.2. USB Image Creation in Linux

Le média USB est souvent présent sous la forme d'un périphérique flash parfois appelé pen drives, thumb disks, ou clé ; ou d'un disque dur externe. Presque tous les médias de ce type sont formattés en vfat. Vous pouvez créer une clef USB bootable sur des clés formattées en ext2, ext3 ou vfat.

ext4 and Btrfs

The GRUB bootloader does not support the ext4 or Btrfs file systems. You cannot create bootable USB media on media formatted as ext4 or Btrfs.

Média USB inhabituel

Dans certains cas rares avec des schémas de partitionnement ou des formats de partition exotiques, l'écriture de l'image sur le média USB peut échouer.
  1. Télécharger un fichier ISO live comme indiqué dans Section 2.3, « Quels fichiers dois-je télécharger ? ».
  2. Installez le paquet livecd-tools sur votre système. Pour les systèmes Fedora, utilisez la commande suivante :
    su -c 'yum -y install livecd-tools'
    
  3. Insérez votre média USB.
  4. Trouver le nom de périphérique de votre média USB. Si votre média a un nom de volume, jetez un oeil dans /dev/disk/by-label, ou utilisez findfs :
    su -c 'findfs LABEL="MyLabel"'
    
    Si le média n'a pas de nom de volume, ou que vous ne le connaissez pas, consulter le journal /var/log/messages pour plus de détails.
    su -c 'less /var/log/messages'
    
  5. Utilisez la commande livecd-iso-to-disk pour écrire l'image ISO sur le média :
    su -c 'livecd-iso-to-disk the_image.iso /dev/sdX1'
    
    Remplacez sdX1 avec le nom de périphérique attribué à la partition du média USB. La plupart des disques flash et des disques dur USB n'utilisent qu'une seule partition. Si vous avez modifié ce comportement ou avez partitionné le média de manière inhabituelle, vous devriez consulter d'autres sources d'aide.

2.5. Et si je ne peux pas télécharger Fedora ?

If you do not have a fast Internet connection, or if you have a problem creating boot media, downloading may not be an option. Fedora DVD and CD distribution media is available from a number of online sources around the world at a minimal cost. Use your favorite Web search engine to locate a vendor, or refer to http://fedoraproject.org/wiki/Distribution.

2.6. Comment puis-je lancer le programme d'installation ?

Pour démarrer le programme d'installation depuis un média de démarrage minimal, une image live ou une distribution DVD, suivez la procédure suivante :
You may need to press a specific key or combination of keys to boot from the media, or configure your system's Basic Input/Output System, or BIOS, to boot from the media. On most computers you must select the boot or BIOS option promptly after turning on the computer. Most Windows-compatible computer systems use a special key such as F1, F2, F12, or Del to start the BIOS configuration menu. On Apple computers, the C key boots the system from the DVD drive. On older Apple hardware you may need to press Cmd +Opt+Shift+Del to boot from DVD drive.

Configuration du BIOS

Si vous n'êtes pas sûr des capacités de votre ordinateur, ou de la manière de configurer le BIOS, consultez la documentation fournie pas le fabriquant de votre ordinateur. Des informations détaillées sur les spécifications du matériel et sa configuration dépasse le cadre de ce document.

Partie I. Before you begin

This part of the Fedora Installation Guide covers decisions that you should make and resources that you should gather before installing Fedora, including:
  • the decision whether to upgrade an existing installation of Fedora or install a new copy.
  • hardware considerations, and hardware details that you may need during installation.
  • preparing to install Fedora over a network.
  • preparing driver media.

Chapitre 3. Étapes pour démarrer

3.1. Mettre à niveau ou installer ?

Pour davantage d'informations vous permettant de choisir entre une mise à niveau et une installation, reportez-vous au Chapitre 18, Mise à niveau du système actuel.

3.3. Avez-vous suffisamment d'espace disque ?

The disk space used by Fedora must be separate from the disk space used by other OSes you may have installed on your system, such as Windows, OS/2, or even a different version of Linux. For x86, AMD64, and Intel® 64 systems, at least two partitions (/ and swap) must be dedicated to Fedora.
Avant de commencer le processus d'installation, vous devez :
  • have enough unpartitioned[1] disk space for the installation of Fedora, or
  • have one or more partitions that may be deleted, thereby freeing up enough disk space to install Fedora.
Pour mieux vous rendre compte de l'espace requis, reportez-vous à la taille recommandée des partitions présentée dans la Section 7.21.4, « Schéma de partitionnement recommandé ».
If you are not sure that you meet these conditions, or if you want to know how to create free disk space for your Fedora installation, refer to Annexe A, Introduction aux partitions de disque.

3.4. Pouvez-vous installer à partir du CD-ROM ou du DVD ?

There are several methods that can be used to install Fedora.
Installing from a CD-ROM or DVD requires that you have a Fedora 11 CD-ROM or DVD, and you have a DVD/CD-ROM drive on a system that supports booting from it.

3.5. Préparation à une installation réseau

Note

Assurez-vous bien qu'un CD-ROM d'installation (ou tout autre type de CD-ROM) ne se trouve pas dans le lecteur CD-ROM/DVD si vous effectuez une installation de type réseau. En effet, la présence d'un CD-ROM dans le lecteur peut entraîner des erreurs inattendues.
The Fedora installation media must be available for either a network installation (via NFS, FTP, or HTTP) or installation via local storage. Use the following steps if you are performing an NFS, FTP, or HTTP installation.
Il est nécessaire que le serveur NFS, FTP ou HTTP utilisé pour l'installation réseau soit une machine séparée pouvant fournir le contenu complet du DVD d'installation ou des CD-ROM d'installation.

Note

The Fedora installation program has the ability to test the integrity of the installation media. It works with the CD / DVD, hard drive ISO, and NFS ISO installation methods. We recommend that you test all installation media before starting the installation process, and before reporting any installation-related bugs (many of the bugs reported are actually due to improperly-burned CDs). To use this test, type the following command at the boot: prompt:
linux mediacheck

Note

In the following examples, the directory on the installation staging server that will contain the installation files will be specified as /location/of/disk/space. The directory that will be made publicly available via FTP, NFS, or HTTP will be specified as /publicly/available/directory. For example, /location/of/disk/space may be a directory you create called /var/isos. /publicly/available/directory might be /var/www/html/f11, for an HTTP install.
Pour copier les fichiers des CD-ROM ou du DVD d'installation vers une machine Linux agissant comme le serveur orchestrant l'installation, effectuez les étapes suivantes :
  • Create an iso image from the installation disk(s) using the following command (for DVDs):
    dd if=/dev/dvd of=/location/of/disk/space/f11.iso
    dvd correspond au lecteur DVD.
    For instructions on how to prepare a network installation using CD-ROMs, refer to the instructions on the README-en file in disk1.

3.5.1. Préparation aux installations FTP et HTTP

Extract the files from the iso image of the installation DVD or the iso images of the installation CDs and place them in a directory that is shared over FTP or HTTP.
Next, make sure that the directory is shared via FTP or HTTP, and verify client access. You can check to see whether the directory is accessible from the server itself, and then from another machine on the same subnet that you will be installing to.

3.5.2. Préparation à une installation NFS

Pour les installations NFS il n'est pas nécessaire de monter les images iso. Il est suffisant de rendre l'image iso elle-même disponible via NFS. Vous pouvez faire cela en déplaçant les images iso vers le répertoire exporté NFS.
  • For DVD:
    mv /location/of/disk/space/f11.iso /publicly/available/directory/
  • For CDROMs:
    mv /location/of/disk/space/f11-disk*.iso /publicly/available/directory/
Ensure that the /publicly/available/directory directory is exported via NFS via an entry in /etc/exports.
Pour exporter vers un système spécifique :
/publicly/available/directory client.ip.address(ro,no_root_squash)
Pour exporter vers tous les systèmes, utilisez une entrée telle que :
/publicly/available/directory *(ro,no_root_squash)
Start the NFS daemon (on a Fedora system, use /sbin/service nfs start). If NFS is already running, reload the configuration file (on a Fedora system use /sbin/service nfs reload).
Hard drive installations require the use of the ISO (or DVD/CD-ROM) images. An ISO image is a file containing an exact copy of a DVD/CD-ROM image. After placing the required ISO images (the binary Fedora DVD/CD-ROMs) in a directory, choose to install from the hard drive. You can then point the installation program at that directory to perform the installation.
Pour préparer votre système à une installation depuis le disque dur, vous devez configurer le système de l'une des manières suivantes :
  • Utilisation des CD-ROM ou d'un DVD — Créez des fichiers image ISO à partir de chaque CD-ROM d'installation ou à partir du DVD. Pour chaque CD-ROM (une fois pour le DVD), exécutez les commandes suivantes sur un système Linux :
    dd if=/dev/cdrom of=/tmp/file-name.iso
    
  • Utilisation d'images ISO — Transférez-les vers le système où l'installation doit être faite.
    Vérifier que les images ISO sont bien intactes avant de tenter une installation permet d'éviter de nombreux problèmes. Pour ce faire, utilisez un programme md5sum (de nombreux programmes md5sum sont disponibles pour différents systèmes d'exploitations). Un programme md5sum devrait être disponible sur la même machine Linux que celle où se trouvent les images ISO.

Note

The Fedora installation program has the ability to test the integrity of the installation media. It works with the CD / DVD, hard drive ISO, and NFS ISO installation methods. We recommend that you test all installation media before starting the installation process, and before reporting any installation-related bugs (many of the bugs reported are actually due to improperly-burned CDs). To use this test, type the following command at the boot: prompt:
linux mediacheck
Additionally, if a file called updates.img exists in the location from which you install, it is used for updates to anaconda, the installation program. Refer to the file install-methods.txt in the anaconda RPM package for detailed information on the various ways to install Fedora, as well as how to apply the installation program updates.


[1] Unpartitioned disk space means that available disk space on the hard drive(s) you are installing to has not been divided into sections for data. When you partition a disk, each partition behaves like a separate disk drive.

Chapitre 4. System Specifications List

However, when performing certain types of installation, some specific details might be useful or even essential.
  • If you plan to use a customized partition layout, record:
    • The model numbers, sizes, types, and interfaces of the hard drives attached to the system. For example, Seagate ST3320613AS 320 GB on SATA0, Western Digital WD7500AAKS 750 GB on SATA1. This will allow you to identify specific hard drives during the partitioning process.
  • If you are installing Fedora as an additional operating system on an existing system, record:
    • The mount points of the existing partitions on the system. For example, /boot on sda1, / on sda2, and /home on sdb1. This will allow you to identify specific partitions during the partitioning process.
  • If you plan to install from an image on a local hard drive:
  • If you plan to install from a network location, or install on an iSCSI target:
    • The make and model numbers of the network adapters on your system. For example, Netgear GA311. This will allow you to identify adapters when manually configuring the network.
    • adresses IP, DHCP et BOOTP
    • Netmask
    • Gateway IP address
    • One or more name server IP addresses (DNS)
    En cas d'incertitude quant à tout prérequis de mise en réseau ou tout terme, contactez votre administrateur réseau pour obtenir de l'assistance.
  • If you plan to install from a network location:
  • If you plan to install on an iSCSI target:
  • If your computer is part of a domain:
    • You should verify that the domain name will be supplied by the DHCP server. If not, you will need to input the domain name manually during installation.

Chapitre 5. Supports de pilotes pour les systèmes Intel® et AMD

5.1. Pourquoi utiliser un support de pilotes ?

While the Fedora installation program is loading, a screen may appear asking you for driver media. The driver media screen is most often seen in the following scenarios:
  • There is no driver available for a piece of hardware that is necessary for installation to proceed.
  • If you run the installation program by entering linux dd at the installation boot prompt.

5.2. Qu'est-ce qu'un support de pilotes ?

Un support de pilotes permet d'ajouter une prise en charge pour du matériel qui pourrait ou ne pourrait pas être supporté par le programme d'installation. Le support de pilotes peut être une disquette de pilotes ou une image créée par Red Hat, mais peut également être une disquette ou un CD-ROM que vous avez créé(e) vous-même, à partir de supports trouvés sur Internet ou une disquette/CD-ROM fourni(e) par un revendeur de matériel qui l'a inclus(e) dans son produit.
Driver media is used if you need access to a particular device to install Fedora. Drivers can be used for non-standard, very new, or uncommon devices.

Note

If an unsupported device is not needed to install Fedora on your system, continue with the installation and add support for the new piece of hardware once the installation is complete.

Partie II. The installation process

This part of the Fedora Installation Guide details the installation process itself, from various methods of booting the installer up to the point where the computer must restart to finalize the installation. This part of the manual also includes a chapter on troubleshooting problems with the installation process.

Table des matières

6. Commencement de l'installation
6.1. Le menu de démarrage
6.2. Installation à partir d'une source différente
6.3. Vérification du média
6.3.1. Vérification du CD live
6.3.2. Vérification du DVD
6.4. Démarrer à partir du réseau en utilisant PXE
6.5. Interfaces graphiques et textes
7. Installing on Intel and AMD Systems
7.1. The Graphical Installation Program User Interface
7.1.1. A Note about Virtual Consoles
7.2. Interface utilisateur du programme d'installation en mode texte
7.2.1. Navigation au moyen du clavier
7.3. Starting the Installation Program
7.3.1. Booting the Installation Program on x86, AMD64, and Intel 64 Systems
7.3.2. Additional Boot Options
7.4. Choix d'une méthode d'installation
7.5. Installation à partir du DVD/CD-ROM
7.5.1. Que faire si le CD-ROM IDE n'est pas détecté ?
7.6. Installation à partir d'un disque dur
7.7. Installation réseau
7.8. Installation via NFS
7.9. Installing via FTP or HTTP
7.10. Fedora vous souhaite la bienvenue
7.11. Language Selection
7.12. Keyboard Configuration
7.13. Initializing the Hard Disk
7.14. Mise à jour d'un système existant
7.14.1. Examiner la mise à jour
7.14.2. Mettre à jour en utilisant l'installeur
7.14.3. Mise à jour de la configuration du chargeur de démarrage
7.15. Network Configuration
7.15.1. Manual configuration
7.16. Configuration du fuseau horaire
7.17. Set the Root Password
7.18. Disk Partitioning Setup
7.18.1. RAID and Other Disk Devices
7.19. Advanced Storage Options
7.20. Create Default Layout
7.21. Partitionnement du système
7.21.1. Affichage graphique des disques durs
7.21.2. The partitioning screen
7.21.3. Champs de partitions
7.21.4. Schéma de partitionnement recommandé
7.21.5. Ajout de partitions
7.21.6. Modification de partitions
7.21.7. Suppression d'une partition
7.22. Configuration du chargeur d'amorçage pour les systèmes x86, AMD64 et Intel 64
7.22.1. Configuration avancée du chargeur d'amorçage
7.22.2. Rescue Mode
7.22.3. Alternatives aux chargeurs d'amorçage
7.23. Package Group Selection
7.23.1. Installing from Additional Repositories
7.23.2. Customizing the Software Selection
7.24. Début de l'installation
7.24.1. Début de l'installation
7.25. Installing Packages
7.26. Installation terminée
8. Résolution de problèmes d'installation sur un système Intel ou AMD
8.1. You are unable to boot Fedora
8.1.1. Vous ne parvenez pas à démarrer avec votre carte RAID ?
8.1.2. Votre système affiche-t-il des erreurs Signal 11 ?
8.2. Problèmes au démarrage de l'installation
8.2.1. Problems with Booting into the Graphical Installation
8.3. Problèmes durant l'installation
8.3.1. No devices found to install Fedora Error Message
8.3.2. Saving traceback messages without removeable media
8.3.3. Trouble with Partition Tables
8.3.4. Utilisation de l'espace restant
8.3.5. Autres problèmes de partitionnement
8.3.6. Voyez-vous des erreurs Python ?
8.4. Problèmes après l'installation
8.4.1. Vous rencontrez des problèmes avec l'écran graphique de GRUB sur un système x86 ?
8.4.2. Démarrage dans un environnement graphique
8.4.3. Problèmes avec le système X Window (GUI)
8.4.4. Problèmes d'arrêt brutal du serveur X et utilisateurs qui ne sont pas le super-utilisateur
8.4.5. Problèmes au moment de la connexion
8.4.6. Votre RAM n'est pas reconnue ?
8.4.7. Votre imprimante ne fonctionne pas
8.4.8. Problèmes de configuration du son
8.4.9. Service httpd basé sur Apache/Sendmail en suspens au démarrage

Chapitre 6. Commencement de l'installation

Abandon de l'installation

To abort the installation, either press Ctrl +Alt+Del or power off your computer with the power switch. You may abort the installation process without consequence at any time prior to selecting Write changes to disk on the Write partitioning to disk screen. Fedora makes no permanent changes to your computer until that point. Please be aware that stopping the installation after partitioning has begun can leave your computer unusable.

6.1. Le menu de démarrage

Le mdia de dmarrage affiche un menu de dmarrage graphique avec diffrentes options. Si aucune touche n'est presse avant 60 secondes, l'option de dmarrage par dfaut est lance. Pour choisir l'option par dfaut, attendez 60 secondes ou appuyez sur la touche Entre sur le clavier. Pour choisir une autre option que celle par dfaut, utilisez les touches flches de votre clavier, et appuyez sur Entre quand l'option correct est en surbrillance. Si vous voulez customiser les options de dmarrage avec un option particulire, appuyez sur la touche Tabulation.

Utiliser les options de démarrage

Pour une liste et des explications sur les commandes de dmarrage usuelles, rfrez vous Chapitre 9, Options de démarrage.
When using Fedora Live media, press any key during the initial boot countdown to bring up the Boot Options menu. The boot options include:
  • Démarrage
    Cette option est celle par défaut. Si vous selectionnez cette option, seul le noyau et les programmes de démarrage seront chargés en mémoire. Cette option prend moins de temps à démarrer. Lorsque vous utilisez des programmes, ils sont chargés depuis le disque, ce qui prend plus de temps. Ce mode peut être utilisé sur des machines avec peu de mémoire totale.
  • Vérifier et démarrer
    Cette option vous permet de vérifier le disque avant de démarrer le Live CD. Référez vous à Section 6.3, « Vérification du média » pour plus d'informations sur le processus de vérification.
  • Test de la mémoire
    Cette option éxécute un test exhaustif de la mémoire de votre système. Pour plus d'informations, consultez Section 9.6.1, « Chargement du mode de test de la mémoire (RAM) ».
  • Démarrer depuis un disque local
    Cette option démarre le système depuis le premier disque installé. Si vous avez démarré ce disque accidentellement, utilisez cette option pour démarrer depuis le disque dur immédiatement sans démarrer l'installeur.
Si vous démarrez le DVD, le CD de secour ou un média de démarrage minimal, les options du menu de démarrage inclus :
  • Installation ou mise à jour d'un système existant
    Cette option est celle par défaut. Choisissez cette option pour installer Fedora sur votre ordinateur en utilisant l'installation avec interface graphique.
  • Install system with basic video driver
    This option allows you to install Fedora in graphical mode even if the installation program is unable to load the correct driver for your video card. If your screen appears distorted or goes blank when using the the Install or upgrade an existing system option, restart your computer and try this option instead.
  • Dépannage d'un système installé
    Choisissez cette option pour rsoudre un problme sur votre systme Fedora dj install qui vous empche de dmarrer normalement. Mme si Fedora est un systme d'exploitation extrmement stable, il est possible que des problmes se produisent occasionnellement qui vous empchent de dmarrer. L'environnement de secours contient des utilitaires qui vous permettent de rsoudre une grande varit de problmes.
  • Démarrer depuis un disque local
    (as for Live CD)
  • Test de la mémoire
    (as for Live CD)

6.2. Installation à partir d'une source différente

All boot media except the distribution DVD present a menu that allows you to choose the installation source, such as the network or a hard disk. If you are booting the distribution DVD and do not want to install from the DVD, hit Tab at the boot menu. Add a space and the option linux askmethod to the end of the line that appears below the menu.
Vous pouvez installer Fedora depuis une image ISO stockée sur votre disque dur, ou un réseau en utilisant les méthodes NFS, FTP, ou HTTP. Les utilisateurs expérimentés utilisent souvent ces méthodes car il est souvent plus rapide de lire des données depuis un disque dur ou un réseau que depuis un CD ou un DVD.
Le tableau suivant résume les différentes méthodes de démarrage et les méthodes d'installation qu'il est recommendé d'utiliser pour chacune :
Boot method Méthode d'installation
DVD DVD, réseau ou disque dur
Clé USB ou CD minimaliste de démarrage, CD de secour Réseau ou disque dur
Live CD ou USB Install to Hard Disk application
Tableau 6.1. Boot methods and installation methods

Section 7.4, « Choix d'une méthode d'installation » contains detailed information about installing from alternate locations.

6.3. Vérification du média

Le DVD et le Live CD offrent une option qui permet de vérifier l'intégrité du média. Des erreurs d'enregistrement surviennent parfois lors de la création du CD ou du DVD. Une erreur dans les données d'un paquet choisi lors de l'installation peut empécher l'installation de s'effectuer correctement. Afin de diminuez les chances de rencontrer des erreurs lors de l'installation, vérifiez le média avant l'installation.

6.3.1. Vérification du CD live

Si vous démarrez depuis le Live CD, choisissez Vérifier et démarrer dans le menu de démarrage. Le processus de vérification se lance automatiquement durant le processus de démarrage, et s'il réussit, le démarrage continue. Si la vérification échoue, créez un nouveau Live CD en utilisant l'image ISO téléchargée plus tôt.

6.3.2. Vérification du DVD

Si vous démarrez Fedora depuis le DVD, l'option de vérifier le média apparaît après avoir choisi d'installer Fedora. Si la vérification s'effectue correctement, le processus d'installation continue normalement. Si le processus échoue, créez un nouveau DVD en utilisant l'image téléchargée plus tôt.

6.4. Démarrer à partir du réseau en utilisant PXE

Configurer l'ordinateur pour démarrer depuis l'interface réseau. Cette option est dans le BIOS, et peut être appelée Network Boot ou Boot Services. Une fois que vous avez correctement configuré le démarrage PXE, l'ordinateur peut démarrer l'installation de fedora sans média d'installation.
Démarrer un ordinateur à partir d'un serveur PXE :
  1. Assurez vous que le cable réseau est bien branché. L'indicateur de lien devrait être allumé, même si l'ordinateur n'est pas allumé.
  2. Démarrez l'ordinateur.
  3. Un menu apparaît à l'écran. Appuyez sur la touche correspondant au numéro de l'option désirée.

Dépannage de PXE

Si votre PC ne dmarre pas depuis le serveur netboot, assurez-vous que le BIOS est configur pour dmarrer en premier depuis la bonnr interface rseau. Certains BIOS spcifient le rseau comme une mthode de dmarrage possible mais ne prennent pas en charge le standard PXE. Rfrez-vous la documentation de votre matriel pour plus d'informations.

Multiple NICs and PXE installation

Some servers with multiple network interfaces may not assign eth0 to the first network interface as BIOS knows it, which can cause the installer to try using a different network interface than was used by PXE. To change this behavior, use the following in pxelinux.cfg/* config files:
IPAPPEND 2
APPEND ksdevice=bootif
The configuration options above causes the installer to use the same network interface as BIOS and PXE use. You can also use the following option:
ksdevice=link
This option causes the installer to use the first network device it finds that is linked to a network switch.

6.5. Interfaces graphiques et textes

Fedora 11 supports graphical and text-based installations. However, the installer image must either fit in RAM or appear on local storage, such as the installation DVD or Live Media. Therefore, only systems with more than 192 MB of RAM or that boot from the installation DVD or Live Media can use the graphical installer. Systems with 192 MB RAM or less automatically scale back to using the text-based installer. Note that you must still have a minimum of 64 MB of RAM for installation to proceed in text mode. If you prefer to use the text-based installer, type linux text at the boot: prompt.
Si l'une des situations suivantes a lieu, le programme d'installation utilisera le mode texte :
  • Le système d'installation n'a pas réussi à identifier le matériel d'affichage sur votre ordinateur
  • votre ordinateur possède 192 Mo de mémoire ou moins
  • Vous choisissez l'installation en mode texte depuis le menu de démarrage
The text screens provide most of the same functions as the standard screens, although disk partitioning is simplified, and bootloader configuration and package selection are handled automatically in text mode. If you choose to install Fedora in text mode, you can still configure your system to use a graphical interface after installation.

Utilisation de l'interface graphique

Installing in text mode does not prevent you from using a graphical interface on your system once it is installed. If you have trouble configuring your system for graphical interface use, consult other sources for troubleshooting help as shown in Section 1.2, « Obtenir de l'aide supplémentaire ».

Installation requires at least 64 MB of RAM

If your system has less than 64 MB of RAM, installation will not continue.

Chapitre 7. Installing on Intel® and AMD Systems

7.1. The Graphical Installation Program User Interface
7.1.1. A Note about Virtual Consoles
7.2. Interface utilisateur du programme d'installation en mode texte
7.2.1. Navigation au moyen du clavier
7.3. Starting the Installation Program
7.3.1. Booting the Installation Program on x86, AMD64, and Intel 64 Systems
7.3.2. Additional Boot Options
7.4. Choix d'une méthode d'installation
7.5. Installation à partir du DVD/CD-ROM
7.5.1. Que faire si le CD-ROM IDE n'est pas détecté ?
7.6. Installation à partir d'un disque dur
7.7. Installation réseau
7.8. Installation via NFS
7.9. Installing via FTP or HTTP
7.10. Fedora vous souhaite la bienvenue
7.11. Language Selection
7.12. Keyboard Configuration
7.13. Initializing the Hard Disk
7.14. Mise à jour d'un système existant
7.14.1. Examiner la mise à jour
7.14.2. Mettre à jour en utilisant l'installeur
7.14.3. Mise à jour de la configuration du chargeur de démarrage
7.15. Network Configuration
7.15.1. Manual configuration
7.16. Configuration du fuseau horaire
7.17. Set the Root Password
7.18. Disk Partitioning Setup
7.18.1. RAID and Other Disk Devices
7.19. Advanced Storage Options
7.20. Create Default Layout
7.21. Partitionnement du système
7.21.1. Affichage graphique des disques durs
7.21.2. The partitioning screen
7.21.3. Champs de partitions
7.21.4. Schéma de partitionnement recommandé
7.21.5. Ajout de partitions
7.21.6. Modification de partitions
7.21.7. Suppression d'une partition
7.22. Configuration du chargeur d'amorçage pour les systèmes x86, AMD64 et Intel 64
7.22.1. Configuration avancée du chargeur d'amorçage
7.22.2. Rescue Mode
7.22.3. Alternatives aux chargeurs d'amorçage
7.23. Package Group Selection
7.23.1. Installing from Additional Repositories
7.23.2. Customizing the Software Selection
7.24. Début de l'installation
7.24.1. Début de l'installation
7.25. Installing Packages
7.26. Installation terminée
This chapter explains how to perform a Fedora installation from the DVD/CD-ROM, using the graphical, mouse-based installation program. The following topics are discussed:
  • Familiarisation avec l'interface utilisateur du programme d'installation
  • Lancement du programme d'installation
  • Sélection d'une méthode d'installation
  • Étapes de configuration lors de l'installation (langue, clavier, souris, partitionnement, etc.)
  • Fin de l'installation

7.1. The Graphical Installation Program User Interface

Si vous avez déjà utilisé une interface utilisateur graphique (GUI), ce processus vous semblera familier ; utilisez simplement la souris pour naviguer d'un écran à l'autre, cliquer sur les boutons ou remplir les champs de texte.
Vous pouvez également naviguer dans le processus d'installation à l'aide du clavier. La touche Tab vous permet de vous déplacer au sein de l'écran, les touches fléchées Haut et Bas de faire défiler des listes, les touches + et - d'étendre et de réduire des listes, alors que la barre Espace et la touche Entrée vous permettent de sélectionner ou supprimer un élément mis en surbrillance de la sélection. Vous pouvez également utiliser la combinaison de touches Alt+X pour faire en sorte de cliquer sur des boutons ou sélectionner d'autres éléments à l'écran, où X est remplacé par toute lettre soulignée apparaissant sur cet écran.

Note

If you are using an x86, AMD64, or Intel® 64 system, and you do not wish to use the GUI installation program, the text mode installation program is also available. To start the text mode installation program, press the Esc key while the Fedora boot menu is displayed, then use the following command at the boot: prompt:
linux text
Refer to Section 6.1, « Le menu de démarrage » for a description of the Fedora boot menu and to Section 7.2, « Interface utilisateur du programme d'installation en mode texte » for a brief overview of text mode installation instructions.
It is highly recommended that installs be performed using the GUI installation program. The GUI installation program offers the full functionality of the Fedora installation program, including LVM configuration which is not available during a text mode installation.
Les utilisateurs qui doivent utiliser le programme d'installation en mode texte peuvent suivre les instructions de l'installation graphique et obtenir toutes les informations nécessaires.

7.1.1. A Note about Virtual Consoles

The Fedora installation program offers more than the dialog boxes of the installation process. Several kinds of diagnostic messages are available to you, as well as a way to enter commands from a shell prompt. The installation program displays these messages on five virtual consoles, among which you can switch using a single keystroke combination.
Une console virtuelle est une invite du shell dans un environnement non graphique, à laquelle la machine physique a accès, et ce de façon non distante. Il est possible d'accéder simultanément à plusieurs consoles virtuelles.
Il est généralement inutile de quitter la console par défaut (console virtuelle #6) pour les installations graphiques, sauf si vous essayez de diagnostiquer des problèmes liés à l'installation.
console keystrokes contents
1 ctrl+alt+f1 installation dialog
2 ctrl+alt+f2 shell prompt
3 ctrl+alt+f3 install log (messages from installation program)
4 ctrl+alt+f4 system-related messages
5 ctrl+alt+f5 other messages
6 ctrl+alt+f6 graphical display
Tableau 7.1. Console, touches et contenu

7.2. Interface utilisateur du programme d'installation en mode texte

The Fedora text mode installation program uses a screen-based interface that includes most of the on-screen widgets commonly found on graphical user interfaces. Figure 7.1, « Widgets du programme d'installation apparaissant dans Configuration du chargeur de démarrage », and Figure 7.2, « Installation Program Widgets as seen in the partitioning screen », illustrate the screens that appear during the installation process.
The cursor is used to select (and interact with) a particular widget. As the cursor is moved from widget to widget, it may cause the widget to change color, or the cursor itself may only appear positioned in or next to the widget.

Note

While text mode installations are not explicitly documented, those using the text mode installation program can easily follow the GUI installation instructions. However, because text mode presents you with a simpler, more streamlined insatallation process, certain options that are available in graphical mode are not also available in text mode. These differences are noted in the description of the installation process in this guide, and include:
  • customizing the partition layout.
  • customizing the bootloader configuration.
  • selecting packages during installation.
Note also that manipulation of LVM (Logical Volume Management) disk volumes is only possible in graphical mode. In text mode it is only possible to view and accept the default LVM setup.

Note

Not every language supported in graphical installation mode is also supported in text mode. Specifically, languages written with a character set other than the Latin or Cyrillic alphabets are not available in text mode. If you choose a language written with a character set that is not supported in text mode, the installation program will present you with the English versions of the screens.
Widgets du programme d'installation apparaissant dans Configuration du chargeur de démarrage
Widgets du programme d'installation apparaissant dans Configuration du chargeur de démarrage
Figure 7.1. Widgets du programme d'installation apparaissant dans Configuration du chargeur de démarrage

Legend
  1. Fenêtre — des fenêtres (généralement appelées boîtes de dialogue dans ce manuel) apparaîtront sur votre écran tout au long de l'installation. Une fenêtre peut parfois en recouvrir une autre ; dans ce cas, vous ne pouvez interagir qu'avec la fenêtre se trouvant au premier plan. Une fois que vous avez terminé d'utiliser cette fenêtre, elle disparaît, vous permettant ainsi de continuer à travailler avec celle qu'elle recouvrait.
  2. Case à cocher — les cases à cocher vous permettent de sélectionner ou dé-sélectionner une fonction. La case affiche soit un astérisque (si elle est sélectionnée), soit un espace vide (non-sélectionnée). Lorsque le curseur se trouve à l'intérieur d'une case à cocher, appuyez sur la barre Espace afin de sélectionner ou dé-sélectionner une fonction.
  3. Saisie de texte — les lignes de saisie de texte sont des zones où vous pouvez saisir les informations demandées par le programme d'installation. Lorsque le curseur s'arrête sur une ligne de saisie de texte, il vous est possible de saisir et/ou de modifier des informations sur cette ligne.
Installation Program Widgets as seen in the partitioning screen
Installation Program Widgets as seen in the partitioning screen
Figure 7.2. Installation Program Widgets as seen in the partitioning screen

Legend
  1. Widget de texte — les widgets de texte sont des zones de l'écran servant à l'affichage du texte. Parfois, ils peuvent également contenir d'autres widgets, tels que des cases à cocher. Si un widget de texte contient plus de texte que l'espace lui étant réservé ne permet d'en afficher, une barre de défilement apparaît : si vous positionnez le curseur à l'intérieur du widget, vous pouvez alors utiliser les touches fléchées Haut et Bas pour vous déplacer dans le texte et lire les informations. Votre emplacement dans le texte est indiqué par le symbole # sur la barre de défilement, qui monte et descend en fonction de vos déplacements.
  2. Barre de défilement — ces barres apparaissent sur le côté ou en bas d'une fenêtre afin de choisir la partie d'une liste ou d'un document à positionner dans le cadre de la fenêtre. La barre de défilement facilite le déplacement dans les fichiers.
  3. Widget de bouton — les widgets de boutons représentent la principale méthode d'interaction avec le programme d'installation. Vous avancez dans les fenêtres du programme d'installation en utilisant ces boutons, par le biais des touches Tab et Entrée. Les boutons peuvent être sélectionnés lorsqu'ils sont en surbrillance.
To start, first make sure that you have all necessary resources for the installation. If you have already read through Chapitre 3, Étapes pour démarrer, and followed the instructions, you should be ready to start the installation process. When you have verified that you are ready to begin, boot the installation program using the Fedora DVD or CD-ROM #1 or any boot media that you have created.

7.3.1. Booting the Installation Program on x86, AMD64, and Intel® 64 Systems

You can boot the installation program using any one of the following media (depending upon what your system can support):
To create a boot CD-ROM or to prepare your USB pen drive for installation, refer to Section 3.4.2, « Création d'un CD-ROM de démarrage d'installation ».
Insert the boot media and reboot the system. Your BIOS settings may need to be changed to allow you to boot from the CD-ROM or USB device.

Note

To change your BIOS settings on an x86, AMD64, or Intel® 64 system, watch the instructions provided on your display when your computer first boots. A line of text appears, telling you which key to press to enter the BIOS settings.
Once you have entered your BIOS setup program, find the section where you can alter your boot sequence. The default is often C, A or A, C (depending on whether you boot from your hard drive [C] or a diskette drive [A]). Change this sequence so that the CD-ROM is first in your boot order and that C or A (whichever is your typical boot default) is second. This instructs the computer to first look at the CD-ROM drive for bootable media; if it does not find bootable media on the CD-ROM drive, it then checks your hard drive or diskette drive.
Save your changes before exiting the BIOS. For more information, refer to the documentation that came with your system.
After a short delay, a screen containing the boot: prompt should appear. The screen contains information on a variety of boot options. Each boot option also has one or more help screens associated with it. To access a help screen, press the appropriate function key as listed in the line at the bottom of the screen.
As you boot the installation program, be aware of two issues:
  • Once the boot: prompt appears, the installation program automatically begins if you take no action within the first minute. To disable this feature, press one of the help screen function keys.
  • If you press a help screen function key, there is a slight delay while the help screen is read from the boot media.
Normally, you only need to press Enter to boot. Be sure to watch the boot messages to review if the Linux kernel detects your hardware. If your hardware is properly detected, continue to the next section. If it does not properly detect your hardware, you may need to restart the installation and use one of the boot options provided in Chapitre 9, Options de démarrage.

7.3.2. Additional Boot Options

While it is easiest to boot using a CD-ROM or DVD and perform a graphical installation, sometimes there are installation scenarios where booting in a different manner may be needed. This section discusses additional boot options available for Fedora.
To pass options to the boot loader on an x86, AMD64, or Intel® 64 system, use the instructions as provided in the boot loader option samples below.

Note

Refer to Chapitre 9, Options de démarrage for additional boot options not covered in this section.

7.4. Choix d'une méthode d'installation

Quel type d'installation souhaitez-vous utiliser ? Les méthodes disponibles sont les suivantes :
If you booted the distribution DVD and did not use the alternate installation source option askmethod, the next stage loads automatically from the DVD. Proceed to Section 7.10, « Fedora vous souhaite la bienvenue ».

CD/DVD Activity

If you boot any Fedora installation media, the installation program loads its next stage from that disc. This happens regardless of which installation method you choose, unless you eject the disc before you proceed. The installation program still downloads package data from the source you choose.

7.5. Installation à partir du DVD/CD-ROM

To install Fedora from a DVD/CD-ROM, place the DVD or CD #1 in your DVD/CD-ROM drive and boot your system from the DVD/CD-ROM. Even if you booted from alternative media, you can still install Fedora from CD or DVD media.
Ensuite, le programme d'installation sonde votre système et essaye d'identifier votre lecteur CD-ROM. Il commence par rechercher un lecteur CD-ROM IDE (aussi connu comme ATAPI).
Si votre lecteur de CD-ROM n'est pas détecté et qu'il s'agit d'un CD-ROM SCSI, le programme d'installation vous demandera de sélectionner un pilote SCSI. Sélectionnez le pilote correspondant le mieux à votre adaptateur. Le cas échéant, vous pouvez également spécifier des options pour le pilote ; toutefois, la plupart des pilotes détecteront automatiquement votre adaptateur SCSI.
The Select Partition screen applies only if you are installing from a disk partition (that is, if you selected Hard Drive in the Installation Method dialog). This dialog allows you to name the disk partition and directory from which you are installing Fedora.
The ISO files must be located on a hard drive that is either internal to the computer, or attached to the machine by USB. In addition the install.img file from within the ISO files must be copied to a directory named images Use this option to install Fedora on computers that are without a network connection or CD/DVD drives.
To extract the install.img from the ISO follow the procedure:
mount -t iso9660 /path/to/Fedora11.iso /mnt/point -o loop,ro
  cp -pr /mnt/point/images /path/images/
  umount /mnt/point
Before you begin installation from a hard drive, check the partition type to ensure that Fedora can read it. To check a partition's file system under Windows, use the Disk Management tool. To check a partition's file system under Linux, use the fdisk utility.

Cannot Install from LVM Partitions

You cannot use ISO files on partitions controlled by LVM (Logical Volume Management).
Boîte de dialogue Sélection de la partition pour l'installation à partir d'un disque dur
Boîte de dialogue de sélection d'une partition pour l'installation à partir d'un disque dur.
Figure 7.3. Boîte de dialogue Sélection de la partition pour l'installation à partir d'un disque dur

Select the partition containing the ISO files from the list of available partitions. Internal IDE, SATA, SCSI, and USB drive device names begin with /dev/sd. Each individual drive has its own letter, for example /dev/sda. Each partition on a drive is numbered, for example /dev/sda1.
Also specify the Directory holding images. Enter the full directory path from the drive that contains the ISO image files. The following table shows some examples of how to enter this information:
Partition type Volume Original path to files Directory to use
VFAT D:\ D:\Downloads\F11 /Downloads/F11
ext2, ext3, ext4 /home /home/user1/F11 /user1/F11
Tableau 7.2. Location of ISO images for different partition types

If the ISO images are in the root (top-level) directory of a partition, enter a /. If the ISO images are located in a subdirectory of a mounted partition, enter the name of the directory holding the ISO images within that partition. For example, if the partition on which the ISO images is normally mounted as /home/, and the images are in /home/new/, you would enter /new/.

Use a leading slash

An entry without a leading slash may cause the installation to fail.

7.7. Installation réseau

The installation program is network-aware and can use network settings for a number of functions. For instance, you can install Fedora from a network server using FTP, HTTP, or NFS protocols. You can also instruct the installation program to consult additional software repositories later in the process.
Si vous effectuez une installation réseau, la boîte de dialogue Configurer TCP/IP apparaît. Cette dernière vous invite à préciser votre adresse IP et toute autre adresse réseau. Vous pouvez choisir de configurer l'adresse IP et le masque réseau du périphérique manuellement ou via DHCP.
Par défaut, le programme d'installation utilise DHCP pour obtenir automatiquement les paramètres réseau. Si vous utilisez un modem câble ou DSL, un routeur, un pare-feu ou tout autre matériel pour accéder à Internet, DHCP est une option appropriée. Si votre réseau ne possède pas de serveur DHCP, décochez la case Utilisez une configuration IP automatique (DHCP).
Saisissez l'adresse IP que vous utilisez lors de l'installation et appuyez sur Entrée.
Configuration TCP/IP
Configurez l'adresse ou les adresses du périphérique réseau pour l'installation.
Figure 7.4. Configuration TCP/IP

When the installation process completes, it will transfer these settings to your system.
You can install from a Web, FTP, or NFS server either on your local network or, if you are connected, on the Internet. You may install Fedora from your own private mirror, or use one of the public mirrors maintained by members of the community. To ensure that the connection is as fast and reliable as possible, use a server that is close to your own geographical location.
The Fedora Project maintains a list of Web and FTP public mirrors, sorted by region, at http://fedoraproject.org/wiki/Mirrors. To determine the complete directory path for the installation files, add /11/Fedora/architecture/os/ to the path shown on the web page. A correct mirror location for an i386 system resembles the URL http://mirror.example.com/pub/fedora/linux/releases/11/Fedora/i386/os.

7.8. Installation via NFS

La boîte de dialogue NFS ne s'applique que si vous effectuez une installation à partir d'un serveur NFS (si vous avez sélectionné Image NFS dans la boîte de dialogue Méthode d'installation).
Saisissez le nom de domaine ou l'adresse IP de votre serveur NFS. Par exemple, si vous effectuez l'installation à partir d'un hôte nommé eastcoast dans le domaine example.com, saisissez eastcoast.example.com dans le champ Nom du serveur NFS.
If the NFS server is exporting a mirror of the Fedora installation tree, enter the directory which contains the root of the installation tree. You will enter an Installation Key later on in the process which will determine which subdirectories are used to install from. If everything was specified properly, a message appears indicating that the installation program for Fedora is running.
Boîte de dialogue de configuration NFS
Boîte de dialogue de configuration NFS.
Figure 7.5. Boîte de dialogue de configuration NFS

If the NFS server is exporting the ISO images of the Fedora CD-ROMs, enter the directory which contains the ISO images.
Next, the Welcome dialog appears.
La langue que vous sélectionnez ici sera la langue par défaut du système d'exploitation une fois qu'il sera installé. La sélection de la langue appropriée vous aidera également à cibler votre configuration de fuseau horaire lors d'une phase ultérieure de l'installation. Le programme d'installation tentera de définir le fuseau horaire approprié sur la base des valeurs spécifiées dans cet écran.
To add support for additional languages, customize the installation at the package selection stage. For more information, refer to Section 7.23.2.2, « Additional Language Support ».
Language Selection
Écran de sélection de la langue
Figure 7.7. Language Selection

Après avoir sélectionné la langue souhaitée, cliquez sur Suivant pour continuer.
Si vous choisissez de mettre votre système à niveau en utilisant le programme d'installation, tout logiciel non-fourni par Fedora entrant en conflit avec un logiciel Fedora est supprimé. Avant de commencer une mise à niveau de cette manière, faites une liste des paquets actuels de votre système pour une référence ultérieure :
rpm -qa --qf '%{NAME} %{VERSION}-%{RELEASE} %{ARCH}\n' > ~/old-pkglist.txt
Après l'installation, consultez cette liste pour découvrir quels paquets vous devez reconstruire ou retrouver sur les dépôts logiciels non-officiels.
Ensuite, faites une sauvegarde de toutes votre configuration système :
su -c 'tar czf /tmp/etc-`date +%F`.tar.gz /etc' su -c 'mv /tmp/etc-*.tar.gz /home'
Make a complete backup of any important data before performing an upgrade. Important data may include the contents of your entire /home directory as well as content from services such as an Apache, FTP, or SQL server, or a source code management system. Although upgrades are not destructive, if you perform one improperly there is a small possibility of data loss.

Stocker les sauvegardes

Notez que les exemples ci-dessus stockent les sauvegardes dans un répertoire /home. Si votre répertoire /home n'est pas une partition séparée, vous ne devrez pas suivre ces exemples à la lettre ! Stockez vos sauvegardes sur d'autres périphériques, tels que les disques CD ou DVD ou un disque dur externe.
Pour plus d'information sur la manière de finaliser la mise à niveau plus tard, consultez Section 16.2, « Finaliser une mise à niveau ».

7.14.3. Mise à jour de la configuration du chargeur de démarrage

Si un chargeur de démarrage existant a été installé par une distribution Linux, le système d'installation peut le modifier pour qu'il charge votre nouveau système Fedora. Pour mettre à jour le chargeur de démarrage Linux existant, sélectionnez Mettre à jour la configuration du chargeur de démarrage. Ceci est le comportement par défaut quand vous mettez à jour une installation existante Fedora ou Red Hat Linux.
GRUB est le chargeur de démarrage standard pour Fedora. Si votre machine utilise un autre chargeur de démarrage, comme BootMagic™, System Commander™, ou le chargeur installé par Microsoft Windows, le système d'installation de Fedora ne pourra pas mettre à jour celui-ci automatiquement. Dans ce cas, sélectionnez Ignorer la mise à jour du chargeur de démarrage. Lorsque le processus d'installation sera achevé, référez-vous à la documentation de votre produit pour obtenir de l'aide.
Installez le nouveau chargeur de démarrage faisant partie du processus de mise à jour seulement si vous êtes certain de vouloir remplacer le chargeur de démarrage existant. Si un nouveau chargeur de démarrage est installé, vous ne pourrez probablement démarrer vos systèmes d'exploitations existants que si vous avez configuré le nouveau chargeur de démarrage. Sélectionnez Créer une nouvelle configuration du chargeur de démarrage pour supprimer un ancien chargeur de démarrage et installer GRUB.
Après avoir fait votre sélection, cliquez sur Suivant pour continuer.

7.15. Network Configuration

Fedora contains support for both IPv4 and IPv6. However, by default, the installation program configures network interfaces on your computer for IPv4, and to use DHCP via NetworkManager. Currently NetworkManager does not support IPv6. If your network only supports IPv6 you should use system-config-network after installation to configure your network interfaces.
Setup prompts you to supply a host name and domain name for this computer, in the format hostname.domainname. Many networks have a DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) service that automatically supplies connected systems with a domain name, leaving the user to enter a hostname.
Setting the hostname
Setting the hostname
Figure 7.11. Setting the hostname

To set up a network that is behind an Internet firewall or router, you may want to use hostname.localdomain for your Fedora system. If you have more than one computer on this network, you should give each one a separate host name in this domain.

Noms d'hôte valides

Vous pouvez donner à votre système n'importe quel nom à condition que le nom d'hôte complet soit unique. Le nom d'hôte peut inclure des lettres,des nombres et des traits d'union.
Specify a time zone even if you plan to use NTP (Network Time Protocol) to maintain the accuracy of the system clock.
Configurez votre fuseau horaire en sélectionnant la ville la plus proche de l'emplacement géographique de votre ordinateur. Cliquez sur la carte pour zoomer sur une région géographique particulière du monde.
Specify a time zone even if you plan to use NTP (Network Time Protocol) to maintain the accuracy of the system clock.
Vous pouvez maintenant sélectionner votre fuseau horaire de deux manières :
  • À l'aide de la souris, cliquez sur la carte interactive pour sélectionner une ville spécifique (représentée par un point jaune). Un X rouge apparaît alors à l'endroit sélectionné.
  • Vous pouvez également faire défiler la liste au bas de l'écran pour sélectionner votre fuseau horaire. À l'aide de la souris, cliquez sur un emplacement pour mettre votre sélection en surbrillance.
Configuration du fuseau horaire
Écran de configuration du fuseau horaire.
Figure 7.13. Configuration du fuseau horaire

If Fedora is the only operating system on your computer, select System clock uses UTC. The system clock is a piece of hardware on your computer system. Fedora uses the timezone setting to determine the offset between the local time and UTC on the system clock. This behavior is standard for UNIX-like operating systems.

Windows and the System Clock

Do not enable the System clock uses UTC option if your machine also runs Microsoft Windows. Microsoft operating systems change the BIOS clock to match local time rather than UTC. This may cause unexpected behavior under Fedora.

Note

Pour modifier la configuration du fuseau horaire une fois l'installation terminée, utilisez l'Outil des propriétés d'heure et de date.
Saisissez la commande system-config-date à une invite du shell pour démarrer l'Outil des propriétés d'heure et de date. Si vous n'êtes pas connecté en tant que super-utilisateur, le système vous demandera de saisir le mot de passe root pour continuer.
Pour exécuter l'Outil des propriétés d'heure et de date en mode texte, utilisez la commande timeconfig.
Select Next to proceed.
Setting up a root account and password is one of the most important steps during your installation. Your root account is similar to the administrator account used on Microsoft Windows machines. The root account is used to install packages, upgrade RPMs, and perform most system maintenance. Logging in as root gives you complete control over your system.

Note

Le super-utilisateur (également appelé root) a un accès total sur l'ensemble du système. Pour cette raison, la connexion en tant que super-utilisateur doit être établie uniquement pour effectuer des tâches de maintenance ou pour l'administration du système.
Root Password
Configuration du mot de passe root.
Figure 7.14. Root Password

Utilisez votre compte root uniquement pour l'administration du système. Créez un compte utilisateur normal (c'est-à-dire non root) pour l'utilisation générale du système et utilisez la commande su - pour vous connecter en tant que super-utilisateur (ou root) lorsque vous devez corriger quelque chose rapidement. Ces règles de base réduisent les probabilités d'endommagement du système par une faute de frappe ou une mauvaise commande.

Note

Pour vous connecter en tant que super-utilisateur, saisissez su - à une invite du shell dans une fenêtre de terminal et appuyez sur la touche Entrée. Saisissez ensuite le mot de passe root et validez en appuyant sur Entrée.
The installation program prompts you to set a root password[2] for your system. You cannot proceed to the next stage of the installation process without entering a root password.
Le mot de passe root doit contenir au moins six caractères. Quand vous le saisissez, il ne s'affiche pas à l'écran. Vous devez saisir votre mot de passe deux fois. Si les deux mots de passe ne sont pas identiques, le programme d'installation vous demandera de les saisir à nouveau.
Le mot de passe super-utilisateur devrait être un mot dont vous vous souvenez facilement, mais que les autres auront du mal à deviner. Votre nom, votre numéro de téléphone, azerty, mot de passe root, 123456 et abracadabra sont tous des exemples de mauvais mots de passe. De bons mots de passe devraient contenir aussi bien des chiffres que des lettres majuscules et minuscules et ne devraient pas contenir de mots du dictionnaire, comme par exemple, Aard387vark ou 420BMttNT. N'oubliez pas que le mot de passe est sensible à la casse. Si vous prenez note de votre mot de passe, conservez-le dans un endroit sûr. Nous vous déconseillons toutefois de prendre note des mots de passe que vous créez.

Note

Pour des raisons de sécurité, nous vous déconseillons vivement d'utiliser comme mot de passe l'un des exemples mentionnés dans ce manuel.

Note

Pour changer votre mot de passe root après voir terminé l'installation, utilisez l'Outil de mot de passe root.
Saisissez la commande system-config-rootpassword à une invite du shell pour démarrer l'Outil de mot de passe root. Si vous n'êtes pas connecté en tant que super-utilisateur, le système vous demandera de saisir le mot de passe root pour continuer.
Enter the root password into the Root Password field. Fedora displays the characters as asterisks for security. Type the same password into the Confirm field to ensure it is set correctly. After you set the root password, select Next to proceed.

7.18. Disk Partitioning Setup

On this screen you can choose to create the default layout or choose to manual partition using the Create custom layout option.
Les trois premières options vous permettent d'effectuer une installation automatique sans avoir à partitionner manuellement vos disques. Si vous ne vous sentez pas vraiment capable de partitionner votre système, nous vous recommandons de ne pas choisir le mode de partitionnement manuel et de laisser le programme d'installation le faire à votre place.
Vous pouvez configurer une cible iSCSI pour l'installation ou désactiver un périphérique dmraid à partir de cet écran en cliquant sur le bouton "Configuration de stockage avancée". Pour davantage d'informations reportez-vous à la Section 7.19, « Advanced Storage Options  ».

Warning

The PackageKit update software downloads updated packages to /var/cache/yum/ by default. If you partition the system manually, and create a separate /var/ partition, be sure to create the partition large enough (3.0 GB or more) to download package updates.
Disk Partitioning Setup
Déterminez si vous préférez effectuer un partitionnement manuel ou un partitionnement automatique.
Figure 7.15. Disk Partitioning Setup

If you choose to create a custom layout, refer to Section 7.21, « Partitionnement du système ».

Warning

Si, après la phase Configuration du partitionnement de disque de l'installation, vous obtenez un message d'erreur semblable à l'extrait suivant :
"Impossible de lire la table de partitions sur le périphérique hda. Pour créer de nouvelles partitions, cette table doit être initialisée, ce qui causera la perte de TOUTES LES DONNÉES sur ce disque."
you may not have a partition table on that drive or the partition table on the drive may not be recognizable by the partitioning software used in the installation program.
Les utilisateurs ayant déjà utilisé des programmes comme EZ-BIOS auront rencontré des problèmes similaires, entraînant la perte de données (en supposant que les données n'aient pas été sauvegardées avant le début de l'installation).
No matter what type of installation you are performing, backups of the existing data on your systems should always be made.

7.19. Advanced Storage Options

Advanced Storage Options
Options de stockage avancées.
Figure 7.16. Advanced Storage Options

To configure an ISCSI target invoke the 'Configure ISCSI Parameters' dialog by selecting 'Add ISCSI target' and clicking on the 'Add Drive' button. Fill in the details for the ISCSI target IP and provide a unique ISCSI initiator name to identify this system. If the ISCSI target uses CHAP (Challenge Handshake Authentication Protocol) for authentication, enter the CHAP username and password. If your enviroment uses 2-way CHAP (also called "Mutual CHAP"), also enter the reverse CHAP username and password. Click the 'Add target' button to attempt connection to the ISCSI target using this information.
Configurer les paramètres ISCSI
Configurer les paramètres ISCSI.
Figure 7.17. Configurer les paramètres ISCSI

Veuillez noter que vous pourrez réessayer avec une IP différente de la cible ISCSI au cas où vous la saisissez incorrectement. En revanche, afin de changer le nom de l'initiateur ISCSI vous devrez redémarrer l'installation.

7.20. Create Default Layout

Le partitionnement par défaut vous permet d'avoir un certain contrôle sur les données supprimées (le cas échéant) de votre système. Les options ci-dessous s'offrent à vous :
  • Supprimer toutes les partitions sur les disques sélectionnés et utiliser le partitionnement par défaut — sélectionnez cette option pour supprimer toutes les partitions sur votre ou vos disque(s) dur(s) (y compris les partitions créées par d'autres systèmes d'exploitation telles que les partitions Windows VFAT ou NTFS).

    Warning

    If you select this option, all data on the selected hard drive(s) is removed by the installation program. Do not select this option if you have information that you want to keep on the hard drive(s) where you are installing Fedora.
  • Supprimer les partitions Linux sur les disques sélectionnés et utiliser le partitionnement par défaut — sélectionnez cette option pour ne supprimer que les partitions Linux (partitions créées lors d'une installation Linux précédente). Aucune autre partition ne sera supprimée de votre ou de vos disque(s) dur(s) (telles que les partitions VFAT ou FAT32).
  • Utiliser l'espace libre sur les disques sélectionnés pour le partitionnement par défaut — sélectionnez cette option si vous souhaitez conserver vos données et partitions actuelles, à condition bien entendu que vous disposiez de suffisamment d'espace libre sur votre ou vos disque(s) dur(s).
Create Default Layout
Partitionnement automatique
Figure 7.18. Create Default Layout

Using your mouse, choose the storage drive(s) on which you want Fedora to be installed. If you have two or more drives, you can choose which drive(s) should contain this installation. Unselected drives, and any data on them, are not touched.

Warning

Il est toujours bon de sauvegarder les données qui se trouvent sur vos systèmes. Par exemple, si vous mettez votre système à niveau ou si vous créez un système à double démarrage, vous devriez sauvegarder toutes les données que vous souhaitez garder sur vos disques durs. Des erreurs arrivent et peuvent provoquer la perte de toutes vos données.

Note

Si vous avez une carte RAID, faites attention au fait que certains BIOS ne prennent pas en charge le démarrage à partir de la carte RAID. Dans de tels cas, la partition /boot/ doit être créée sur une partition en-dehors de la matrice RAID, comme par exemple sur un disque dur séparé. L'utilisation d'un disque dur interne est nécessaire pour la création de partitions avec les cartes RAID problématiques.
Une partition /boot/ est également nécessaire pour les configurations RAID logicielles.
Si vous avez choisi de partitionner automatiquement votre système, sélectionnez Examiner et modifiez manuellement votre partition /boot/.
Select Encrypt system to encrypt all partitions except the /boot partition.
Use the Advanced storage options option if:
  • You want to install Fedora to a drive connected through the iSCSI protocol. Select Advanced storage options, then select Add iSCSI target, then select Add drive. Provide an IP address and the iSCSI initiator name, and select Add drive.
  • You want to disable a dmraid device that was detected at boot time.
To review and make any necessary changes to the partitions created by automatic partitioning, select the Review option. After selecting Review and clicking Next to move forward, the partitions created for you by anaconda appear. You can make modifications to these partitions if they do not meet your needs.

Installing in text mode

If you install Fedora in text mode, you can only use the default partitioning schemes described in this section. Therefore, although you can choose to use a whole drive, to remove existing Linux partitions, or to use the free space on the drive, you cannot customize the partition layout. That is, you cannot add or remove partitions or file systems beyond those that the installer automatically adds or removes. If you require a customized layout at installation time, you should perform a graphical installation over a VNC connection or a kickstart installation.
Furthermore, advanced options such as LVM, encrypted filesystems, and resizable filesystems are available only in graphical mode and kickstart.
Cliquez sur Suivant pour continuer une fois que vous avez terminé vos sélections.
If you chose one of the automatic partitioning options and selected Review, you can either accept the current partition settings (click Next), or modify the setup manually in the partitioning screen.

Note

Please note that in the text mode installation it is not possible to work with LVM (Logical Volumes) beyond viewing the existing setup. LVM can only be set up during graphical installation.
If you chose to create a custom layout, you must tell the installation program where to install Fedora. This is done by defining mount points for one or more disk partitions in which Fedora is installed. You may also need to create and/or delete partitions at this time.

Note

Si vous n'avez pas encore défini la configuration de vos partitions, reportez-vous au Annexe A, Introduction aux partitions de disque et à la Section 7.21.4, « Schéma de partitionnement recommandé ». Vous avez besoin au minimum d'une partition racine de taille adéquate et d'une partition swap deux fois supérieure à la quantité de mémoire vive dont dispose le système. Les utilisateurs de systèmes Itanium auront besoin d'une partition /boot/efi/ de type FAT (VFAT) d'environ 100 Mo, d'une partition swap d'au moins 512 Mo et d'une partition racine (/) de taille adéquate.
Partitioning on x86, AMD64, and Intel 64 Systems
The main partitioning screen.
Figure 7.19. Partitioning on x86, AMD64, and Intel® 64 Systems

With the exception of certain esoteric situations, anaconda can handle the partitioning requirements for a typical installation.

7.21.1. Affichage graphique des disques durs

The partitioning screen offers a graphical representation of your hard drive(s).
À l'aide de la souris, cliquez une fois sur un champ spécifique de l'affichage graphique afin de le mettre en surbrillance. Cliquez deux fois pour modifier une partition existante ou pour créer une partition avec l'espace libre disponible.
Au-dessus de l'affichage, vous verrez le nom du disque (comme, par exemple /dev/hda), l'élément Geom (montrant la géométrie du disque dur et constitué de 3 nombres représentant respectivement le nombre de cylindres, têtes et secteurs, tels qu'ils sont rapportés par le disque dur) et le modèle du disque dur, tel qu'il a été détecté par le programme d'installation.

7.21.2. The partitioning screen

These buttons are used to change the attributes of a partition (for example the file system type and mount point) and also to create RAID devices. Buttons on this screen are also used to accept the changes you have made, or to exit the partitioning screen. For further explanation, take a look at each button in order:

7.21.3. Champs de partitions

Des labels situés au-dessus de la hiérarchie des partitions fournissent des informations sur les partitions que vous êtes en train de créer. Les labels sont définis de la façon suivante :
  • Périphérique : ce champ affiche le nom de périphérique de la partition.
  • Point de montage/RAID/Volume : un point de montage correspond à l'emplacement où se trouve un volume au sein de la hiérarchie des répertoires. Le volume est « monté » à cet emplacement. Ce champ montre l'endroit où la partition sera montée. Si une partition existe, mais qu'elle n'a pas été définie, il est nécessaire d'indiquer son point de montage. Pour ce faire, cliquez deux fois sur la partition ou cliquez sur le bouton Éditer.
  • Type: This field shows the partition's file system type (for example, ext2, ext3, ext4, or vfat).
  • Format : ce champ indique si la partition en phase de création sera formatée.
  • Taille (MB) : ce champ affiche la taille de la partition (en Mo).
  • Début : ce champ affiche le cylindre sur votre disque dur où commence la partition.
  • Fin : ce champ affiche le cylindre sur votre disque dur où finit la partition.
Cacher périphérique RAID/membres du groupe de volume LVM : Sélectionnez cette option si vous ne souhaitez afficher aucun périphérique RAID ou membres du groupe de volume LVM créé.

7.21.4. Schéma de partitionnement recommandé

7.21.4.1. Systèmes x86, AMD64 et Intel® 64

À moins que vous n'ayez une raison particulière pour agir différemment, nous vous conseillons de créer les partitions suivantes pour les systèmes x86, AMD64 et Intel® 64 :
  • A swap partition
  • A /boot partition
  • A / partition
  • A swap partition (at least 256 MB)
    Swap partitions are used to support virtual memory. In other words, data is written to a swap partition when there is not enough RAM to store the data your system is processing. In addition, certain power management features store all of the memory for a suspended system in the available swap partitions.
    Si vous n'êtes pas certain de la taille de partition swap à créer, créez-la deux fois plus grande que la quantité de RAM de votre machine. Elle doit être de type swap.
    La création de la quantité appropriée d'espace swap varie selon un certain nombre de facteurs, y compris les éléments suivants (en ordre décroissant d'importance) :
    • Les applications en cours d'exécution sur la machine.
    • La quantité de RAM physique installée sur la machine.
    • La version du système d'exploitation.
    L'espace swap devrait être égal à deux fois la quantité de RAM physique jusqu'à 2 Go de RAM physique et une fois la quantité de RAM physique pour toute quantité au-dessus de 2 Go, mais jamais moins de 32 Mo.
    Alors, si :
    M = Quantité de RAM en Go et S = Quantité de swap en Go, alors
    If M < 2
            S = M *2
    Else
            S = M + 2
    
    À l'aide de cette formule, un système avec 2 Go de RAM physique devrait posséder 4 Go d'espace swap, alors qu'un système avec 3 Go de RAM physique devrait posséder 5 Go d'espace swap. La création d'une grande partition d'espace swap peut être particulièrement utile si vous planifiez de mettre à niveau votre RAM à une date ultérieure.
    Pour les systèmes ayant des quantités vraiment importantes de RAM (supérieures à 32 Go), vous pouvez vous en sortir avec une partition swap plus petite (une fois, ou moins, la RAM physique).
  • A /boot/ partition (100 MB)
    The partition mounted on /boot/ contains the operating system kernel (which allows your system to boot Fedora), along with files used during the bootstrap process. Due to limitations, creating a native ext3 partition to hold these files is required. For most users, a 100 MB boot partition is sufficient.

    ext4 and Btrfs

    The GRUB bootloader does not support the ext4 or Btrfs file systems. You cannot use an ext4 or Btrfs partition for /boot/.

    Note

    Si votre disque dur possède plus de 1024 cylindres (et que votre système a été fabriqué il y a plus de deux ans), vous devrez créer une partition /boot/ si vous voulez que la partition / (racine) utilise tout l'espace restant sur votre disque dur.

    Note

    Si vous avez une carte RAID, faites attention au fait que certains BIOS ne prennent pas en charge le démarrage à partir de la carte RAID. Dans de tels cas, la partition /boot/ doit être créée sur une partition en-dehors de la matrice RAID, comme par exemple sur un disque dur séparé.
  • A root partition (3.0 GB - 5.0 GB)
    This is where "/" (the root directory) is located. In this setup, all files (except those stored in /boot) are on the root partition.
    A 3.0 GB partition allows you to install a minimal installation, while a 5.0 GB root partition lets you perform a full installation, choosing all package groups.

    Root and /root

    The / (or root) partition is the top of the directory structure. The /root directory/root (sometimes pronounced "slash-root") directory is the home directory of the user account for system administration.
If you create many partitions instead of one large / partition, upgrades become easier. Refer to the description of Disk Druid's Edit option in Section 7.21.2, « The partitioning screen » for more information.
The following table summarizes minimum partition sizes for the partitions containing the listed directories. You do not have to make a separate partition for each of these directories. For instance, if the partition containing /foo must be at least 500 MB, and you do not make a separate /foo partition, then the / (root) partition must be at least 500 MB.
Directory Minimum size
/ 250 MB
/usr 250 MB, but avoid placing this on a separate partition
/tmp 50 MB
/var 384 MB
/home 100 MB
/boot 75 MB
Tableau 7.3. Minimum partition sizes

Leave Excess Capacity Unallocated

Only assign storage capacity to those partitions you require immediately. You may allocate free space at any time, to meet needs as they occur. To learn about a more flexible method for storage management, refer to Annexe D, Understanding LVM.
If you are not sure how best to configure the partitions for your computer, accept the default partition layout.
7.21.4.1.1. Advice on Partitions
Optimal partition setup depends on the usage for the Linux system in question. The following tips may help you decide how to allocate your disk space.
  • If you expect that you or other users will store data on the system, create a separate partition for the /home directory within a volume group. With a separate /home partition, you may upgrade or reinstall Fedora without erasing user data files.
  • Each kernel installed on your system requires approximately 10 MB on the /boot partition. Unless you plan to install a great many kernels, the default partition size of 100 MB for /boot should suffice.

    ext4 and Btrfs

    The GRUB bootloader does not support the ext4 or Btrfs file systems. You cannot use an ext4 or btrfs partition for /boot.
  • The /var directory holds content for a number of applications, including the Apache web server. It also is used to store downloaded update packages on a temporary basis. Ensure that the partition containing the /var directory has enough space to download pending updates and hold your other content.

    Pending Updates

    Because Fedora is a rapidly progressing collection of software, many updates may be available late in a release cycle. You can add an update repository to the sources for installation later to minimize this issue. Refer to Section 7.23.1, « Installing from Additional Repositories » for more information.
  • The /usr directory holds the majority of software content on a Fedora system. For an installation of the default set of software, allocate at least 4 GB of space. If you are a software developer or plan to use your Fedora system to learn software development skills, you may want to at least double this allocation.

    Do not place /usr on a separate partition

    If /usr is on a separate partition from /, the boot process becomes much more complex, and in some situations (like installations on iSCSI drives), might not work at all.
  • Consider leaving a portion of the space in an LVM volume group unallocated. This unallocated space gives you flexibility if your space requirements change but you do not wish to remove data from other partitions to reallocate storage.
  • If you separate subdirectories into partitions, you can retain content in those subdirectories if you decide to install a new version of Fedora over your current system. For instance, if you intend to run a MySQL database in /var/lib/mysql, make a separate partition for that directory in case you need to reinstall later.
The following table is a possible partition setup for a system with a single, new 80 GB hard disk and 1 GB of RAM. Note that approximately 10 GB of the volume group is unallocated to allow for future growth.

Example Usage

This setup is not optimal for all use cases.
Partition Size and type
/boot 100 MB ext3 partition
swap 2 GB swap
LVM physical volume Remaining space, as one LVM volume group
Tableau 7.4. Example partition setup

The physical volume is assigned to the default volume group and divided into the following logical volumes:
Partition Size and type
/ 13 GB ext4
/var 4 GB ext4
/home 50 GB ext4
Tableau 7.5. Example partition setup: LVM physical volume

Exemple 7.1. Example partition setup

7.21.5. Ajout de partitions

Note

Vous devez dédier au moins une partition à cette installation et optionnellement plus. Pour davantage d'informations, reportez-vous au Annexe A, Introduction aux partitions de disque.
Création d'une nouvelle partition
Création d'une nouvelle partition
Figure 7.24. Création d'une nouvelle partition

  • Point de montage : saisissez le point de montage de la partition. Par exemple, si cette partition doit correspondre à la partition racine, saisissez / ; saisissez /boot pour la partition /boot, etc. Le point de montage approprié pour votre partition peut également être choisi dans le menu déroulant. Pour une partition swap, le point de montage ne doit pas être configuré - la configuration du type de système de fichiers sur swap est suffisante.
  • Type de système de fichiers : en utilisant le menu déroulant, sélectionnez le type de système de fichiers approprié pour cette partition. Pour davantage d'informations sur les types de système de fichiers, reportez-vous à la Section 7.21.5.1, « Types de systèmes de fichiers ».
  • Allowable Drives: This field contains a list of the hard disks installed on your system. If a hard disk's box is highlighted, then a desired partition can be created on that hard disk. If the box is not checked, then the partition will never be created on that hard disk. By using different checkbox settings, you can have anaconda place partitions where you need them, or let anaconda decide where partitions should go.
  • Taille (Mo) : Saisissez la taille (en méga-octets) de la partition. Remarque : ce champ a par défaut la valeur 100 Mo. À moins que vous ne modifiez ce paramètre, seule une partition de 100 Mo sera créée.
  • Autres dimensions optionnelles : Vous avez le choix entre garder cette partition à une taille fixée, lui permettre de « grandir » (remplir l'espace disponible du disque dur) jusqu'à un certain point ou lui permettre de remplir tout l'espace disponible jusqu'à la taille autorisée maximale.
    Si vous choisissez Remplir tout l'espace jusqu'à (Mo), vous devez indiquer des restrictions au niveau de la taille dans le champ situé à droite de cette option. Elle vous permet de conserver une certaine quantité d'espace libre sur votre disque dur en vue d'une utilisation future.
  • Transformer la partition en partition primaire : sélectionnez cette option si la partition que vous créez doit être une des quatre premières partitions sur le disque dur. Si elle n'est pas sélectionnée, la partition est créée en tant que partition logique. Reportez-vous à la Section A.1.3, « Partitions à l'intérieur de partitions — Présentation des partitions étendues » pour davantage d'informations.
  • Valider : Sélectionnez Valider une fois que les paramètres vous conviennent et que vous souhaitez créer la partition.
  • Annuler : Sélectionnez Annuler si vous ne voulez pas créer de partition.

7.21.5.1. Types de systèmes de fichiers

Fedora allows you to create different partition types, based on the file system they will use. The following is a brief description of the different file systems available, and how they can be utilized.

7.22. Configuration du chargeur d'amorçage pour les systèmes x86, AMD64 et Intel® 64

Pour pouvoir démarrer le système sans média de démarrage, vous devez normalement installer un chargeur d'amorçage. Un chargeur d'amorçage est le premier programme qui s'exécute au démarrage d'un ordinateur. Il gère le chargement ainsi que le transfert du contrôle au logiciel de noyau du système d'exploitation. Le noyau ensuite initialise le reste du système d'exploitation.

Installing in text mode

If you install Fedora in text mode, the installer configures the bootloader automatically and you cannot customize bootloader settings during the installation process.
GRUB (GRand Unified Bootloader), installé par défaut, est un chargeur d'amorçage très puissant. Il peut charger plusieurs systèmes d'exploitation libres, ainsi que des systèmes d'exploitation propriétaires avec un chargement en chaîne (le mécanisme permettant de lancer des systèmes d'exploitation qui ne sont pas pris en charge, tels que DOS ou Windows, en chargeant un autre chargeur d'amorçage).

The GRUB boot menu

The GRUB menu defaults to being hidden, except on dual-boot systems. To show the GRUB menu during system boot, press and hold the Shift key before the kernel is loaded. (Any other key works as well but the Shift key is the safest to use.)
Configuration du chargeur de démarrage
Configuration du mode de démarrage du système
Figure 7.25. Configuration du chargeur de démarrage

Vous pouvez déjà avoir un chargeur de démarrage installé sur votre système. Un système d'exploitation peut installer son propre chargeur de démarrage, ou vous pouvez avoir installé un chargeur de démarrage tierce partie. Si votre chargeur de démarrage ne reconnaît pas les partitions Linux, vous ne serez pas capable de démarrer Fedora. Utilisez GRUB comme chargeur de démarrage pour démarrer Linux et la plupart des autres systèmes d'exploitation. Suivez les indications de ce chapitre pour installer GRUB.

Installing GRUB

Si vous installez GRUB, il pourra effacer votre chargeur de démarrage actuel.
By default, the installation program installs GRUB in the master boot record or MBR, of the device for the root file system. To decline installation of a new boot loader, unselect Install boot loader on /dev/sda.

Warning

Si, pour une raison quelconque, vous décidez de ne pas installer GRUB, vous ne pourrez pas démarrer le système directement et devrez utiliser une autre méthode de démarrage (comme une application commerciale de chargeur de démarrage). N'utilisez cette option que si vous êtes certain d'avoir une autre solution pour démarrer votre système !
Si vous avez d'autres systèmes d'exploitation déjà installés, Fedora essaye de les détecter automatiquement et configure GRUB pour les démarrer. Vous pouvez configurer manuellement tout système d'exploitation supplémentaire si GRUB ne le détecte pas.
Pour ajouter, supprimer ou modifier les paramètres du système d'exploitation détecté, utilisez les options fournies.
Add
Cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter un système d'exploitation supplémentaire à GRUB.
Choisissez la partition du disque dans la liste déroulante, qui contient le système d'exploitation amorçable et donnez un nom à l'entrée. GRUB affiche ce nom dans son menu de démarrage.
Edit
Pour changer une entrée dans le menu de démarrage de GRUB, sélectionnez l'entrée et ensuite cliquez sur Modifier.
Delete
Pour supprimer une entrée à partir du menu de démarrage de GRUB, sélectionnez l'entrée et ensuite cliquez sur Supprimer.
Sélectionnez Par défaut à côté de la partition de démarrage souhaitée afin de choisir votre système d'exploitation amorçable par défaut. Vous ne pourrez continuer l'installation que si vous choisissez une image de démarrage par défaut.

Note

La colonne Étiquette énumère les informations que vous devez saisir à l'invite de démarrage, pour les chargeurs d'amorçage non graphiques, afin de démarrer le système d'exploitation souhaité.
Après avoir chargé l'écran de démarrage de GRUB, utilisez les touches fléchées pour choisir une étiquette de démarrage ou saisissez e pour le modifier. Une liste d'éléments du fichier de configuration relatif à l'étiquette de démarrage sélectionnée s'affichera à l'écran.
Les mots de passe des chargeurs d'amorçage fournissent un mécanisme de sécurité dans un environnement où l'accès physique à votre serveur est possible.
Si vous installez un chargeur d'amorçage, créez un mot de passe afin de protéger votre système. Sans mot de passe, des utilisateurs pourraient en effet y accéder pour transmettre au noyau des options qui risquent de compromettre la sécurité de votre système. Si vous utilisez un mot de passe, celui-ci devra être saisi préalablement pour pouvoir sélectionner des options de démarrage non standard. Cependant, il est toujours possible qu'une personne pouvant accéder physiquement à la machine puisse démarrer depuis une disquette, un CD-ROM ou un média USB si le BIOS le supporte. Des plans de sécurité, y compris des mots de passe pour le chargeur de démarrage, devraient également répondre à d'autres méthodes de démarrage.

Les mots de passe GRUB ne sont pas nécessaire

Vous pouvez ne pas avoir besoin d'un mot de passe pour GRUB si votre système est utilisé uniquement par des personnes de confiance, ou s'il est physiquement sécurisé par des accès contrôlés. Cependant, si une personne malveillante peut obtenir un accès physique au clavier de l'ordinateur et à son écran, cette personne peut redémarrer le système et peut accéder à GRUB. Un mot de passe est utile dans ce cas.
Si vous choisissez d'utiliser un chargeur d'amorçage pour améliorer la sécurité de votre système, n'oubliez pas de cocher la case Utiliser un mot de passe pour le chargeur de démarrage.
Une fois cette case sélectionnée, saisissez un mot de passe et confirmez-le.
GRUB stocke les mot de passe sous forme chiffrée, il ne peut donc pas être lu ou récupéré. Si vous oubliez le mot de passe, démarrez le système normalement et changez ensuite le mot de passe dans le fichier /boot/grub/grub.conf. Si vous ne pouvez pas démarrer, vous pouvez peut-être démarrer en mode de secours grace au premier disque d'installation de Fedora afin de réinitialiser le mot de passe de GRUB.
Si vous avez besoin de modifier le mot de passe de GRUB, utilisez l'utilitaire grub-md5-crypt. Pour des informations à propos de l'utilisation de ce programme, utilisez la commande man grub-md5-crypt dans un terminal pour lire les pages du manuel.
Pour configurer des options de chargeur d'amorçage plus avancées, comme par exemple, modifier l'ordre des lecteurs ou transmettre des options au noyau, assurez-vous que l'option Configuration des options avancées du chargeur de démarrage est bien sélectionnée avant de cliquer sur Suivant.

7.22.1. Configuration avancée du chargeur d'amorçage

Maintenant que vous savez quel chargeur d'amorçage installer, vous devez déterminer l'endroit où il sera installé. À cet égard, deux options s'offrent à vous :

Note

Si vous avez une carte RAID, sachez que certains BIOS ne prennent pas en charge le démarrage à partir de la carte RAID. Dans ce cas, le chargeur d'amorçage ne doit pas être installé sur le secteur de partition principal de la matrice RAID, mais plutôt sur le secteur de partition principal du même disque que celui sur lequel la partition /boot a été créée.
If your system only uses Fedora, you should choose the MBR.
Cliquez sur le bouton Changer l'ordre des disques si vous souhaitez modifier l'ordre des disques ou si votre BIOS ne présente pas les disques dans le bon ordre. Cela peut s'avérer utile si vous avez plusieurs adaptateurs SCSI ou à la fois des adaptateurs SCSI et IDE et que vous souhaitez démarrer à partir du périphérique SCSI.
Maintenant que vous avez sélectionné la plupart des options pour votre installation, vous êtes prêt à confirmer la sélection de paquetages par défaut ou à personnaliser les paquetages pour votre système.
The Package Installation Defaults screen appears and details the default package set for your Fedora installation. This screen varies depending on the version of Fedora you are installing.

Installing from a Live Image

If you install from a Fedora Live image, you cannot make package selections. This installation method transfers a copy of the Live image rather than installing packages from a repository. To change the package selection, complete the installation, then use the Add/Remove Software application to make desired changes.

Installing in text mode

If you install Fedora in text mode, you cannot make package selections. The installer automatically selects packages only from the base and core groups. These packages are sufficient to ensure that the system is operational at the end of the installation process, ready to install updates and new packages. To change the package selection, complete the installation, then use the Add/Remove Software application to make desired changes.
Package Group Selection
Choisissez les groupes de paquetages que vous souhaitez installer.
Figure 7.27. Package Group Selection

By default, the Fedora installation process loads a selection of software that is suitable for a desktop system. To include or remove software for common tasks, select the relevant items from the list:
Office and Productivity
This option provides the OpenOffice.org productivity suite, the Planner project management application, graphical tools such as the GIMP, and multimedia applications.
Software Development
This option provides the necessary tools to compile software on your Fedora system.
Web server
This option provides the Apache Web server.
Pour sélectionner un composant, cochez la case correspondante (reportez-vous à la Figure 7.27, « Package Group Selection »).
Pour personnaliser votre ensemble de paquetages, sélectionnez dans l'écran l'option Personnaliser maintenant. Cliquez ensuite sur Suivant pour passer à l'écran Sélection des groupes de paquetages.

7.23.1. Installing from Additional Repositories

You can define additional repositories to increase the software available to your system during installation. A repository is a network location that stores software packages along with metadata that describes them. Many of the software packages used in Fedora require other software to be installed. The installer uses the metadata to ensure that these requirements are met for every piece of software you select for installation.
The basic options are:
  • The Installation Repo repository is automatically selected for you. This represents the collection of software available on your installation CD or DVD.
  • The Fedora 11 - i386 repository contains the complete collection of software that was released as Fedora 11, with the various pieces of software in their versions that were current at the time of release. If you are installing from the Fedora 11 DVD or set of CDs, this option does not offer you anything extra. However, if you are installing from a Fedora Live CD, this option provides access to far more software than is included on the disk. Note that the computer must have access to the internet to use this option.
  • The Fedora 11 - i386 - Updates repository contains the complete collection of software that was released as Fedora 11, with the various pieces of software in their most current stable versions. This option not only installs the software that you select, but makes sure that it is fully updated as well. Note that the computer must have access to the internet to use this option.
Adding a software repository
Enter the details of additional software repositories.
Figure 7.28. Adding a software repository

To include software from repositories other than the Fedora package collection, select Add additional software repositories. You may provide the location of a repository of third-party software. Depending on the configuration of that repository, you may be able to select non-Fedora software during installation.
To edit an existing software repository location, select the repository in the list and then select Modify repository.

Network Access Required

If you change the repository information during a non-network installation, such as from a Fedora DVD, the installer prompts you for network configuration information.
If you select Add additional software repositories, the Edit repository dialog appears. Provide a Repository name and the Repository URL for its location.

Fedora Software Mirrors

To find a Fedora software mirror near you, refer to http://fedoraproject.org/wiki/Mirrors.
Once you have located a mirror, to determine the URL to use, find the directory on the mirror that contains a directory named repodata. For instance, the "Everything" repository for Fedora is typically located in a directory tree releases/11/Everything/arch/os, where arch is a system architecture name.
Once you provide information for an additional repository, the installer reads the package metadata over the network. Software that is specially marked is then included in the package group selection system. See Section 7.23.2, « Customizing the Software Selection » for more information on selecting packages.

Backtracking Removes Repository Metadata

If you choose Back from the package selection screen, any extra repository data you may have entered is lost. This allows you to effectively cancel extra repositories. Currently there is no way to cancel only a single repository once entered.

7.23.2. Customizing the Software Selection

Select Customize now to specify the software packages for your final system in more detail. This option causes the installation process to display an additional customization screen when you select Next.

Installing Support for Additional Languages

Select Customize now to install support for additional languages. Refer to Section 7.23.2.2, « Additional Language Support » for more information on configuring language support.
Informations détaillées sur les groupes de paquetages
Dans ce groupe de paquetages, vous pouvez ajouter ou supprimer des paquetages facultatifs.
Figure 7.29. Informations détaillées sur les groupes de paquetages



[2] A root password is the administrative password for your Fedora system. You should only log in as root when needed for system maintenance. The root account does not operate within the restrictions placed on normal user accounts, so changes made as root can have implications for your entire system.

[3] The fsck application is used to check the file system for metadata consistency and optionally repair one or more Linux file systems.

Chapitre 8. Résolution de problèmes d'installation sur un système Intel® ou AMD

Cette annexe présente les différents problèmes d'installation courants ainsi que les solutions possibles.

8.1. You are unable to boot Fedora

Une erreur Signal 11, plus communément appelée faute de segmentation, signifie que le programme a accédé à un emplacement de la mémoire qui n'était pas assigné. Une erreur signal 11 peut être due à un bogue dans l'un des programmes logiciels qui sont installés ou du matériel fautif.
If you receive a fatal signal 11 error during your installation, it is probably due to a hardware error in memory on your system's bus. Like other operating systems, Fedora places its own demands on your system's hardware. Some of this hardware may not be able to meet those demands, even if they work properly under another OS.
Ensure that you have the latest installation updates and images. Review the online errata to see if newer versions are available. If the latest images still fail, it may be due to a problem with your hardware. Commonly, these errors are in your memory or CPU-cache. A possible solution for this error is turning off the CPU-cache in the BIOS, if your system supports this. You could also try to swap your memory around in the motherboard slots to check if the problem is either slot or memory related.
Another option is to perform a media check on your installation CD-ROMs. Anaconda, the installation program, has the ability to test the integrity of the installation media. It works with the CD, DVD, hard drive ISO, and NFS ISO installation methods. Red Hat recommends that you test all installation media before starting the installation process, and before reporting any installation-related bugs (many of the bugs reported are actually due to improperly-burned CDs). To use this test, type the following command at the boot: prompt:
linux mediacheck
Pour de plus amples informations sur les erreurs Signal 11, consultez le site Web à l'adresse suivante :
http://www.bitwizard.nl/sig11/

8.3. Problèmes durant l'installation

Si, après la phase Configuration du partitionnement de disque (Section 7.18, « Disk Partitioning Setup ») du processus d'installation, vous recevez un message d'erreur semblable à l'extrait suivant :
Impossible de lire la table de partitions sur le périphérique hda. Pour créer de nouvelles partitions, cette table doit être initialisée, ce qui causera la perte de TOUTES LES DONNÉES sur ce disque.
you may not have a partition table on that drive or the partition table on the drive may not be recognizable by the partitioning software used in the installation program.
Les utilisateurs qui ont déjà utilisé des programmes comme EZ-BIOS auront rencontré des problèmes similaires, en traînant la perte de données (en supposant que les données n'aient pas été sauvegardées avant le début de l'installation), qui n'ont pas pu être récupérées.
No matter what type of installation you are performing, backups of the existing data on your systems should always be made.
During some upgrades or installations of Fedora, the installation program (also known as anaconda) may fail with a Python or traceback error. This error may occur after the selection of individual packages or while trying to save the upgrade log in the /tmp/directory. The error may look similar to:
Traceback (innermost last):
File "/var/tmp/anaconda-7.1//usr/lib/anaconda/iw/progress_gui.py", line 20, in run
rc = self.todo.doInstall ()    
File "/var/tmp/anaconda-7.1//usr/lib/anaconda/todo.py", line 1468, in doInstall 
self.fstab.savePartitions ()    
File "fstab.py", line 221, in savePartitions      
sys.exit(0)  
SystemExit: 0   
Local variables in innermost frame:  
self: <fstab.GuiFstab instance at 8446fe0>  
sys: <module 'sys' (built-in)>  
ToDo object:  (itodo  ToDo  p1  (dp2  S'method'  p3  (iimage  CdromInstallMethod  
p4  (dp5  S'progressWindow'  p6   <failed>
Cette erreur apparaît dans certains systèmes lorsque les liens vers /tmp sont des liens symboliques vers d'autres emplacements ou lorsqu'ils ont été modifiés depuis leur création. Ces liens symboliques ou modifiés ne peuvent pas être utilisés au cours du processus d'installation. Le programme d'installation ne peut donc pas enregistrer les informations et échoue.
If you experience such an error, first try to download any available updates for anaconda. Updates for anaconda and instructions for using them can be found at:
http://fedoraproject.org/wiki/Anaconda/Updates
Le site Web d'anaconda qui constitue également une source de références utiles, se trouve en ligne à l'adresse suivante :
http://fedoraproject.org/wiki/Anaconda
Vous pouvez aussi rechercher des rapports de bogues traitant de ce problème. Pour trouver le système de suivi des bogues de Red Hat, rendez-vous sur le site suivant :
http://bugzilla.redhat.com/bugzilla/

8.4. Problèmes après l'installation

If you have installed the X Window System but are not seeing a graphical desktop environment once you log into your system, you can start the X Window System graphical interface using the command startx.
Une fois que vous saisissez cette commande et que vous appuyez sur la touche Entrée, l'environnement de bureau graphique apparaîtra.
Notez toutefois que cette approche n'est qu'une solution temporaire et que le journal en cours n'est pas modifié pour les prochaines connexions.
Pour configurer votre système afin que vous puissiez vous connecter sur un écran de connexion graphique, vous devez modifier un fichier, à savoir /etc/inittab, en changeant seulement un numéro dans la section des niveaux d'exécution. Lorsque vous avez terminé, redémarrez votre ordinateur. Lors de votre prochaine connexion, vous obtiendrez une invite de connexion graphique.
Ouvrez une invite de shell. Si vous êtes dans votre compte d'utilisateur, devenez super-utilisateur en saisissant la commande su.
Saisissez maintenant gedit /etc/inittab pour modifier le fichier avec gedit. Le fichier /etc/inittab sera alors ouvert. Dans ce premier écran, vous verrez une section du fichier ressemblant à l'extrait suivant :
# Default runlevel. The runlevels used are: 
#   0 - halt (Do NOT set initdefault to this) 
#   1 - Single user mode 
#   2 - Multiuser, without NFS (The same as 3, if you do not have networking) 
#   3 - Full multiuser mode 
#   4 - unused 
#   5 - X11 
#   6 - reboot (Do NOT set initdefault to this) 
#  id:3:initdefault:
Pour passer d'une console à une connexion graphique, vous devez changer le chiffre figurant dans la ligne id:3:initdefault: de 3 à 5.

Warning

Ne changez que le chiffre du niveau d'exécution par défaut de 3 à 5.
Votre ligne ainsi modifiée devrait ressembler à celle reproduite ci-dessous :
 id:5:initdefault: 
Lorsque les modifications effectuées vous conviennent, enregistrez le fichier et fermez-le à l'aide des touches Ctrl+Q. Un message apparaîtra alors vous demandant si vous souhaitez enregistrer les modifications. Cliquez sur Enregistrer.
Lors de votre prochaine connexion, après le redémarrage du système, une invite de connexion graphique vous sera présentée.
Si vous n'avez pas créé de compte utilisateur dans l'Agent de configuration, connectez-vous en tant que super-utilisateur et utilisez le mot de passe que vous lui avez donné.
Si vous avez oublié le mot de passe root, démarrez votre système en saisissant linux single.
Si vous utilisez un système x86 et que GRUB est votre chargeur de démarrage, saisissez e (edit) une fois que vous aurez chargé l'écran de démarrage de GRUB. Une liste d'éléments contenus dans le fichier de configuration pour l'étiquette de démarrage sélectionnée apparaît alors à l'écran.
Choisissez la ligne commençant par kernel et saisissez e afin de modifier cette entrée de démarrage.
À la fin de la ligne kernel, ajoutez :
single
Press Enter to exit edit mode.
Once the boot loader screen has returned, type b to boot the system.
Une fois que vous aurez démarré en mode mono-utilisateur et aurez accès à l'invite #, saisissez passwd root ; vous pourrez alors spécifier un nouveau mot de passe root. À ce stade, vous pouvez saisir shutdown -r now pour redémarrer le système avec votre nouveau mot de passe.
Si vous avez oublié le mot de passe de votre compte utilisateur, vous devez vous connecter en tant que super-utilisateur. Pour ce faire, saisissez su - et votre mot de passe root à l'invite. Ensuite, saisissez passwd <nom-utilisateur>. Vous pourrez alors donner un nouveau mot de passe au compte utilisateur spécifié.
If the graphical login screen does not appear, check your hardware for compatibility issues. Linuxquestions.org maintains a Hardware Compatibility List at:
http://www.linuxquestions.org/hcl/index.php

8.4.6. Votre RAM n'est pas reconnue ?

Le noyau ne reconnaît pas toujours toute votre mémoire vive (RAM). Vous pouvez vérifier l'exactitude des informations renvoyées par le noyau à l'aide de la commande cat /proc/meminfo.
Assurez-vous que la quantité de mémoire affichée est identique à la quantité de RAM dont votre système dispose. Si les valeurs ne correspondent pas, ajoutez la ligne suivante au fichier /boot/grub/grub.conf :
mem=xxM
Remplacez xx par la quantité de mémoire vive (RAM) en méga-octets dont dispose votre système.
Dans /boot/grub/grub.conf, l'exemple ci-dessus ressemblerait à l'extrait ci-dessous :
# NOTICE: You have a /boot partition. This means that 
#  all kernel paths are relative to /boot/ 
default=0 
timeout=30 
splashimage=(hd0,0)/grub/splash.xpm.gz 
 title Fedora (2.6.27.19-170.2.35.fc10.i686)
root (hd0,1)
kernel /vmlinuz-2.6.27.19-170.2.35.fc10.i686 ro root=UUID=04a07c13-e6bf-6d5a-b207-002689545705 mem=1024M
initrd /initrd-2.6.27.19-170.2.35.fc10.i686.img
Après le redémarrage, les changements apportés à grub.conf seront appliqués à votre système.
Une fois l'écran de démarrage de GRUB chargé, saisissez e (edit). Une liste d'éléments contenus dans le fichier de configuration pour l'étiquette de démarrage sélectionnée s'affiche à l'écran.
Choisissez la ligne commençant par kernel et saisissez e afin de modifier cette entrée de démarrage.
À la fin de la ligne kernel, ajoutez les éléments suivants :
mem=xxM
xx correspond à la quantité de mémoire vive (RAM) dont dispose votre système.
Press Enter to exit edit mode.
Once the boot loader screen has returned, type b to boot the system.
Itanium users must enter boot commands with elilo followed by the boot command.
Veillez à remplacer xx par la quantité de mémoire vive (RAM) dont dispose votre système. Appuyez sur la touche Entrée pour redémarrer le système.

Table des matières

9. Options de démarrage
9.1. Configuration du système d'installation au menu de démarrage
9.1.1. Spécification du langage
9.1.2. Configuration de l'interface
9.1.3. Updating anaconda
9.1.4. Spécification de la méthode d'installation
9.1.5. Configuration manuelle des paramètres réseau
9.2. Activer l'accès à distance au système d'installation
9.2.1. Activation de l'accès distant avec VNC
9.2.2. Connexion du système d'installation à un serveur VNC
9.2.3. Activer l'accès à distance via Telnet
9.3. Se connecter à un système distant durant l'installation
9.3.1. Configurer un serveur de journalisation
9.4. Automatiser l'installation avec Kickstart
9.5. Amélioration de la prise en charge du matériel
9.5.1. Adding Hardware Support with Driver Disks
9.5.2. Passer outre la détection automatique du matériel
9.6. Utilisation des modes de démarrage de maintenant
9.6.1. Chargement du mode de test de la mémoire (RAM)
9.6.2. Verifying boot media
9.6.3. Démarrer votre ordinateur en « Mode de Secours »
9.6.4. Upgrading your computer
10. Installation sans média
10.1. Retrouver les fichiers de démarrage
10.2. Édition de la configuration de GRUB
10.3. Démarrage de l'installation
11. Préparer un serveur d'installation
11.1. Préparer cobbler
11.2. Préparer la distribution
11.3. Mirroring a Network Location
11.4. Importer la distribution
11.5. Manually configure a PXE server
11.5.1. Setting up the Network Server
11.5.2. PXE Boot Configuration
11.5.3. Adding PXE Hosts
11.5.4. TFTPD
11.5.5. Configuration du serveur DHCP
11.5.6. Adding a Custom Boot Message
11.5.7. Performing the PXE Installation
12. Installing Through VNC
12.1. VNC Viewer
12.2. VNC Modes in Anaconda
12.2.1. Direct Mode
12.2.2. Connect Mode
12.3. Installation Using VNC
12.3.1. Installation Example
12.3.2. Kickstart Considerations
12.3.3. À propos du pare-feu
12.4. References
13. Installations kickstart
13.1. Qu'est-ce qu'une installation kickstart ?
13.2. Comment effectuer une installation kickstart ?
13.3. Création du fichier kickstart
13.4. Options de kickstart
13.4.1. Exemple de partitionnement avancé
13.5. Package Selection
13.6. Script de pré-installation
13.6.1. Exemple
13.7. Script post-installation
13.7.1. Exemples
13.8. Mise à disposition du fichier kickstart
13.8.1. Création d'un support de démarrage Kickstart
13.8.2. Mise à disposition du fichier kickstart sur le réseau
13.9. Mise à disposition de l'arborescence d'installation
13.10. Lancement d'une installation kickstart
14. Kickstart Configurator
14.1. Configuration de base
14.2. Méthode d'installation
14.3. Options de chargeur de démarrage
14.4. Informations sur les partitions
14.4.1. Création de partitions
14.5. Network Configuration
14.6. Authentification
14.7. Configuration du pare-feu
14.7.1. Configuration de SELinux
14.8. Configuration de l'affichage
14.9. Package Selection
14.10. Script de pré-installation
14.11. Script post-installation
14.11.1. Environnement chroot
14.11.2. Utilisation d'un interprète
14.12. Enregistrement du fichier

Chapitre 9. Options de démarrage

L'installation de Fedora inclut de nombreuses fonctionnalits et options pour les qd,inistrqteurs. Pour utiliser les options du dmarrages, entrez linux option au prompt boot: du dmarrage
Si vous spécifiez plus qu'une option, séparez chaque option par un espace simple. Par exemple :
linux option1 option2 option3

Options de démarrage d'Anaconda

The anaconda installer has many boot options, most are listed on the wiki http://fedoraproject.org/wiki/Anaconda/Options.

Options de démarrage du noyau

The http://fedoraproject.org/wiki/KernelCommonProblems page lists many common kernel boot options. The full list of kernel options is in the file /usr/share/doc/kernel-doc-version/Documentation/kernel-parameters.txt, which is installed with the kernel-doc package.

Rescue Mode

L'installation de Fedora et les disques de secours peuvent démarrer en mode de secours, ou charger le système d'installation. Pour plus d'informations sur les disques de secours et le mode de secours, référez à Section 9.6.3, « Démarrer votre ordinateur en « Mode de Secours » ».

9.1. Configuration du système d'installation au menu de démarrage

Vous pouvez utiliser le menu de démarrage pour spécifier un nombre de paramètres pour le système d'installation, y compris :
  • language
  • résolution de l'affichage
  • type d'interface
  • Installation method
  • paramètres du réseau

9.1.1. Spécification du langage

Pour définir la langue pour le processus d'installation et le système final, spécifiez le code ISO pour ce language avec l'option lang. Utilisez l'option keymap pour configurer la disposition du clavier correcte.
Par exemple, les codes ISO el_GR et gr identifient la langue Grecque et la disposition de clavier Grecque :
linux lang=el_GR keymap=gr
Installation method Option format
Lecteur CD ou DVD method=cdrom
Hard Drive method=hd://device/
Serveur HTTP method=http://server.mydomain.com/directory/
Serveur FTP method=ftp://server.mydomain.com/directory/
Serveur NFS method=nfs:server.mydomain.com:/directory/
Tableau 9.1. Installation methods

9.1.5. Configuration manuelle des paramètres réseau

Par défaut, l'installation utilise DHCP pour obtenir automatiquement les paramètres réseau. Pour configurer manuellement les paramètres réseau vous-même, vous pouvez soit les entrer à l'écran Configurer TCP/IP, ou à l'invite boot:. Vous pouvez spécifier l'adresse ip, netmask, gateway, et dns paramètres de réseau pour l'installation du système à l'invite de commande. Si vous spécifiez la configuration du réseau à l'invite de commande boot:, ces paramètres sont utilisés pour le processus d'installation, et l'écran Configure TCP/IP n'apparaît pas.
Cet exemple configure les paramètres du réseau pour une installation qui utilise l'adresse IP 192.168.1.10 :
linux ip=192.168.1.10 netmask=255.255.255.0 gateway=192.168.1.1 dns=192.168.1.2,192.168.1.3

Configuration du système installé

Use the Network Configuration screen to specify the network settings for the new system. Refer to Section 7.15.1, « Manual configuration » for more information on configuring the network settings for the installed system.

9.2. Activer l'accès à distance au système d'installation

You may access either graphical or text interfaces for the installation system from any other system. Access to a text mode display requires telnet, which is installed by default on Fedora systems. To remotely access the graphical display of an installation system, use client software that supports the VNC (Virtual Network Computing) display protocol. A number of providers offer VNC clients for Microsoft Windows and Mac OS, as well as UNIX-based systems.
linux syslog=192.168.1.20:514
linux ks=location/kickstart-file.cfg
Kickstart source Option format
Lecteur CD ou DVD ks=cdrom:/directory/ks.cfg
Hard Drive ks=hd:/device/directory/ks.cfg
Autre périphérique ks=file:/device/directory/ks.cfg
Serveur HTTP ks=http://server.mydomain.com/directory/ks.cfg
Serveur FTP ks=ftp://server.mydomain.com/directory/ks.cfg
Serveur NFS ks=nfs:server.mydomain.com:/directory/ks.cfg
Tableau 9.2. Kickstart sources

Pour obtenir un fichier Kickstart à partir d'un script ou d'un serveur HTTP, spécifiez l'URL de l'application avec l'option ks=. Si vous ajouter l'option kssendmac, la requête envoie aussi les en-têtes HHTP à l'application Web. Votre application peut utiliser ces en-têtes pour identifier votre ordinateur. Cette ligne envoie une requête avec des en-têtes à l'application http://serveur.mondomaine.com/kickstart.cgi :
linux ks=http://server.mydomain.com/kickstart.cgi kssendmac

9.5. Amélioration de la prise en charge du matériel

Par défaut, Fedora tente de détecter et configurer automatique le support pour tous les composants de votre ordinateur. Fedora prend en charge la majorité des matériels en commun avec les pilotes logiciel qui sont inclus avec le système d'exploitation. Pour prendre en charge d'autres périphériques vous devriez fournir un pilote supplémentaire durant l'installation, ou plus tard.

9.5.1. Adding Hardware Support with Driver Disks

The installation system can load drivers from disks, pen drives, or network servers to configure support for new devices. After the installation is complete, remove any driver disks and store them for later use.
dd if=drivers.img of=/dev/fd0
linux dd
Image source Option format
Sélectionnez un lecteur ou un périphérique dd
Serveur HTTP dd=http://server.mydomain.com/directory/drivers.img
Serveur FTP dd=ftp://server.mydomain.com/directory/drivers.img
Serveur NFS dd=nfs:server.mydomain.com:/directory/drivers.img
Tableau 9.3. Driver disk image sources

9.5.2. Passer outre la détection automatique du matériel

Pour certains modèles de périphérique, la configuration automatique du matériel peut échouer, ou causer des instabilités. Dans ces cas, vous pouvez avoir besoin de désactiver la configuration automatique pour ce type de périphérique et prendre des étapes supplémentaires pour configurer manuellement le périphérique après que l'installation soit terminée.

Lire les notes de sortie

Référez vous aux notes de sortie pour des informations sur des problèmes connus avec des périphériques spécifiques.
Pour passer outre la détection automatique du matériel, utilisez une ou plusieurs des options suivantes :
Compatibility Option
Désactive la détection de tout matériel noprobe
Désactive la détection du clavier, de la souris et de l'affichage headless
Disable passing keyboard and mouse information to stage 2 of the installation program nopass
Utilise le pilote VESA basique pour la vidéo xdriver=vesa
Disable shell access on virtual console 2 during installation noshell
Disable advanced configuration and power interface (ACPI) acpi=off
Disable machine check exception (MCE) CPU self-diagnosis. nomce
Disable non-uniform menory access on the AMD64 architecture numa-off
Force kernel to detect a specific amount of memory, where xxx is a value in megabytes mem=xxxm
Active le DMA seulement pour les lecteurs IDE et SATA libata.dma=1
Désactive le RAID assisté par le BIOS nodmraid
Désactive la détection des périphériques Firewire nofirewire
Désactive la détection du port parallèle noparport
Désactive la détection des cartes PC (PCMCIA) nopcmcia
Désactive la détection des périphériques de stockage USB nousbstorage
Désactive la détection de tout les périphériques USB nousb
Disable all probing of network hardware nonet
Tableau 9.4. Options Matériels

Écran additionel

L'option isa demande au système d'afficher un écran de texte supplémentaire au début du processus d'installation. Utilisez cet écran pour configurer les périphériques ISA sur votre ordinateur.

Important

Other kernel boot options have no particular meaning for anaconda and do not affect the installation process. However, if you use these options to boot the installation system, anaconda will preserve them in the bootloader configuration.

9.6. Utilisation des modes de démarrage de maintenant

9.6.1. Chargement du mode de test de la mémoire (RAM)

Des erreurs dans des modules de la mémoire peuvent freezer votre système ou le faire crasher de façon imprévisible. Dans certains cas, les erreurs de mémoire peuvent causer uniquement des erreurs avec des combinaisons particulières de logiciels. Pour cette raison, vous devriez tester la mémoire d'un ordinateur avant d'y installer Fedora pour la première fois, même si il a précédemment fait tourner d'autres systèmes d'exploitation.
Cette section discute de la manière d'installer Fedora sur votre système sans avoir besoin de fabriquer un média physique supplémentaire. À la place vous pouvez utiliser GRUB, le chargeur de démarrage déjà installé, pour démarrer le programme d'installation.

Linux est nécessaire

Cette procédure suppose que vous utilisez déjà Fedora ou une autre distribution Linux relativement moderne, et le chargeur de démarrage GRUB. Elle suppose aussi que vous êtes une utilisateur Linux relativement expérimenté.

10.1. Retrouver les fichiers de démarrage

Pour procéder à une installation sans média ou sans serveur PXE, votre système doit avoir deux fichiers stockés localement, un noyau et un disque de RAM initial (« initial RAM disk » ou « initrd »).
  1. Download a Live image or DVD distribution, or to locate an installation mirror, visit http://mirrors.fedoraproject.org/publiclist/Fedora/11/.
  2. Localisez le dossier isolinux/ en utilisant l'une des deux méthodes suivantes :
    • Si vous choisissez de téléchargez une image, ouvrez la avec l'application de bureau appropriée. Si vous utilisez Fedora, double-cliquez sur le fichier pour l'ouvrir avec le Gestionnaire d'archives. Ouvrez le dossier isolinux/.
    • If you chose not to download a whole image because you wish to install via the network, locate the desired release. In general, once you find a suitable mirror, browse to the releases/11/Fedora/arch/os/isolinux/ folder.

    Types d'installation disponibles

    Si vous téléchargez une image, vous devriez choisir une installation par le disque dur ou le réseau. Si vous téléchargez seulement des fichiers sélectionnés depuis un miroir, vous devriez uniquement procéder à une installation réseau.
  3. Copiez les fichiers vmlinuz et initrd.img depuis la source choisie dans le dossier /boot/, en les renommant vmlinuz-install et initrd.img-install. Vous devez avoir les privilèges root pour écrire des fichiers dans le dossier /boot/.

10.2. Édition de la configuration de GRUB

Le chargeur de démarrage GRUB utilise le fichier de configuration /boot/grub/grub.conf. Pour faire démarrer GRUB à partir des nouveaux fichiers, ajouter un section de démarrage faisant référence à eux dans /boot/grub/grub.conf.
Une section de démarrage minimale ressemble aux lignes suivantes :
title Installation
        root (hd0,0)
        kernel /vmlinuz-install
        initrd /initrd.img-install
Vous pourriez avoir envie d'ajouter des options à la ligne kernel de la section de démarrage. Ces options permettent de paramétrer à l'avance les options que l'utilisateur doit habituellement spécifier interactivement dans Anaconda. Pour une liste complète des options de démarrage de l'installeur, consultez Chapitre 9, Options de démarrage.
Les options suivantes sont généralement utiles pour les installations sans média :
  • ip=
  • method=
  • lang=
  • keymap=
  • ksdevice= (si l'installation nécessite une interface autre que eth0)
  • vnc et vncpassword= pour une installation à distance
Une fois cela terminé, changez l'option default du fichier /boot/grub/grub.conf pour la faire pointer sur la nouvelle section que vous venez d'ajouter :
default 0

10.3. Démarrage de l'installation

Redémarrez le système. GRUB démarre le noyau d'installation et le disque RAM en tenant compte des options que vous avez choisi. Vous devriez à présent consulter le chapitre approprié de ce guide pour la prochaine étape. Si vous choisissez d'installer à distance en utilisant VNC, consultez Section 9.2, « Activer l'accès à distance au système d'installation » pour obtenir de l'aide sur la connexion à un système distant.

Chapitre 11. Préparer un serveur d'installation

Expérience Requise

Cet appendice est destiné aux utilisateurs ayant déjà une certaine expérience avec Linux. Si vous êtes un nouvel utilisateur, vous devriez vouloir installer en utilisant un média de démarrage minimal ou la distribution DVD à la place.

Warning

The instructions in this appendix configures an automated install server. The default configuration includes destruction of all existing data on all disks for hosts that install using this method. This is often different from other network install server configurations which may provide for an interactive installation experience.
Fedora allows for installation over a network using the NFS, FTP, or HTTP protocols. A network installation can be started from a boot CD-ROM, a bootable flash memory drive, or by using the askmethod boot option with the Fedora CD #1 or DVD. Alternatively, if the system to be installed contains a network interface card (NIC) with Pre-Execution Environment (PXE) support, it can be configured to boot from files on another networked system rather than local media such as a CD-ROM.
For a PXE network installation, the client's NIC with PXE support sends out a broadcast request for DHCP information. The DHCP server provides the client with an IP address, other network information such as name server, the IP address or hostname of the tftp server (which provides the files necessary to start the installation program), and the location of the files on the tftp server. This is possible because of PXELINUX, which is part of the syslinux package.
In the past, administrators needed to perform a great deal of manual configuration to produce an installation server. However, if you have a Red Hat Enterprise Linux, CentOS, or Fedora server on your local network, you can use cobbler to perform these tasks. To configure a PXE server manually, see Section 11.5, « Manually configure a PXE server ».
Pour effectuer les tâches décrites dans cette section, connectez-vous au compte root avec la commande su -. Sinon, vous pouvez lancer une commande en utilisant l'option -c, en utilisant la forme su -c 'command'.

11.1. Préparer cobbler

Pour installer cobbler utilisez la commande suivante
yum -y install cobbler
La commande cobbler peut vérifier la validité de ses propres paramètres et rapporter les résultats. Lancer la commande suivante pour vérifier les paramètres :
cobbler check
Changer les paramètres dans le fichier /var/lib/cobbler/settings pour refléter les informations d'adressage IP pour le serveur. Vous devez au moins changer les options, server et next_server, même si ces options désignent la même adresse IP.
Si vous n'utilisez pas déjà un serveur DHCP, vous devrez également changer l'option manage_dhcp à 1. Si vous utilisez un serveur DHCP, configurez le conformément aux informations trouvées dans la documentation du paquet syslinux. Pour plus d'informations, consultez vos fichiers locaux /usr/share/doc/syslinux-version/syslinux.doc et /usr/share/doc/syslinux-version/pxelinux.doc.

11.2. Préparer la distribution

Pour préparer une distribution à partir d'un DVD Fedora complet ou d'une image ISO, utilisez cette procédure.

Emplacements réseaux

Pour créer un miroir local à partir d'une ressource réseau existante, passez cette section et consultez à la place Section 11.3, « Mirroring a Network Location ».
  1. Si vous utilisez un/des disque(s) CD/DVD ou une image ISO, créez un répertoire qui vous servira de point de montage :
    mkdir /mnt/dvd
    
    Pour monter un disque DVD physique, utilisez la commande suivante :
    mount -o context=system_u:object_r:httpd_sys_content_t:s0 /dev/dvd /mnt/dvd
    
    Pour monter l'image ISO d'un DVD, utilisez la commande suivante :
    mount -ro loop,context=system_u:object_r:httpd_sys_content_t:s0 /path/to/image.iso /mnt/dvd
    
  2. Pour prendre en charge l'installation NFS, créez un fichier /etc/exports et ajoutez-y la ligne suivante :
    /mnt/dvd *(ro,async)
    
    Démarrez le serveur NFS en utilisant les commandes suivantes :
    /sbin/service rpcbind start /sbin/service nfs start
    
  3. Pour prendre en charge l'installation HTTP, utilisez yum pour installer le serveur web Apache s'il ne l'est pas déjà.
    yum -y install httpd
    
    Faites un lien vers le disque monté depuis le répertoire public d'Apache :
    ln -s /mnt/dvd /var/www/html/distro
    

11.3. Mirroring a Network Location

Si vous n'avezpas de disque ou d'image ISO pour une distribution, vous pouvez utiliser cobbler pour créer un serveur d'installation. La commande cobbler peut récupérer la distribution sur internet lors du processus d'import.
Localisez la distribution sur le réseau. L'emplacement peut être sur le réseau local ou sur un site distant via les protocoles FTP, HTTP ou rsync. Notez l'URI, qui sera de l'une des formes suivantes :
  • http://mirror.example.com/pub/fedora/linux/releases/11/Fedora/arch/os
  • ftp://mirror.example.com/pub/fedora/linux/releases/11/Fedora/arch/os
  • rsync://mirror.example.com/fedora/linux/releases/11/Fedora/arch/os

11.4. Importer la distribution

Pour offrir une distribution à travers plusieurs méthodes d'installation, faites des cobbler import supplémentaires en utilisant un nom différent pour chaque méthode. Pour plus de résultats, utilisez la méthode d'installation dans le nom, afin que cela apparaisse dans le menu de démarrage du client.
  1. Pour importer le disque DVD ou la distribution ISO dans cobbler, lancez cette commande :
    cobbler import --path=/mnt/dvd --name=distro_name
    
    Pour nom_distrib, remplacez par un nom évocateur pour la distribution.
    Pour importer une distribution réseau local ou distante dans cobbler, lancez cette commande. Remplacez URI_réseau avec l'URI trouvée dans Section 11.3, « Mirroring a Network Location », et nom_distrib comme ci-dessus :
    cobbler import --mirror=network_URI --name=distro_name
    

    Importer une source

    Lorsque cobbler importe une distribution avec les commandes ci-dessus, il copie tout les fichiers sur l'espace de stockage local du serveur, ce qui peut prendre un peu de temps.
    Si vous ne voulez pas faire des copies locales de la distribution parce que les clients peuvent déjà atteindre cette emplacement, utilisez l'option --available-as.
    cobbler import --path=/mnt/dvd --name=distro_name --available-as=network_URI
    cobbler import --mirror=network_URI --name=distro_name --available-as=network_URI
    
    Pour URI_réseau, remplacez l'emplacement réseau de la distribution approprié. Cet URI indique le moyen utilisé par le serveur afin de rendre la distribution disponible pour les clients. Les exemples ci-dessus supposent que votre serveur cobbler atteint l'emplacement du miroir au même URI que les clients. Si ce n'est pas le cas, remplacez par un URI approprié avec l'option --mirror. Les exemples suivants sont des emplacements URI qui fonctionnent si vous avez suivi les procédures de cette section, et l'adresse IP de votre serveur est 192.168.1.1:
    • nfs://192.168.1.1:/mnt/dvd
    • http://192.168.1.1:/distro
    Si nécessaire, remplacez 192.168.1.1 avec l'adresse IP de votre serveur cobbler.
  2. Lancez la commande cobbler sync pour appliquer les changements. Pour vérifier que votre serveur cobbler écoute sur les ports corrects, utilisez la commande netstat -lp.

    À propos du pare-feu

    En fonction de la configuration de votre serveur, vous pourrez avoir besoin d'utilisez la commande system-config-securitylevel pour autoriser l'accès à certains ou à tout ces services réseaux :
    • 67 ou bootps, pour le serveur DHCP/BOOTP
    • 69 ou tftp, pour fournir le chargeur PXE
    • 80 ou http, si le serveur cobbler doit fournir un service d'installation HTTP
    • 20 et 21 ou ftp, si le serveur cobbler doit fournir un service d'installation FTP
    • 111 ou sunrpc, si le serveur cobbler doit fournir un service d'installation NFS

11.5. Manually configure a PXE server

The following steps must be performed to prepare for a PXE installation:
  1. Configure the network (NFS, FTP, HTTP) server to export the installation tree.
  2. Configure the files on the tftp server necessary for PXE booting.
  3. Configure which hosts are allowed to boot from the PXE configuration.
  4. Start the tftp service.
  5. Configure DHCP.
  6. Boot the client, and start the installation.
Add Hosts
Add Hosts
Figure 11.1. Add Hosts

The next step is to configure which hosts are allowed to connect to the PXE boot server.
To add hosts, click the New button.
Add a Host
Add a Host
Figure 11.2. Add a Host

Enter the following information:
  • Hostname or IP Address/Subnet — The IP address, fully qualified hostname, or a subnet of systems that should be allowed to connect to the PXE server for installations.
  • Operating System — The operating system identifier to install on this client. The list is populated from the network install instances created from the Network Installation Dialog.
  • Serial Console — This option allows use of a serial console.
  • Kickstart File — The location of a kickstart file to use, such as http://server.example.com/kickstart/ks.cfg. This file can be created with the Kickstart Configurator. Refer to Chapitre 14, Kickstart Configurator for details.
Ignore the Snapshot name and Ethernet options. They are only used for diskless environments.

Chapitre 12. Installing Through VNC

The Red Hat Enterprise Linux and Fedora installer (anaconda) offers you two interactive modes of operation. The original mode is a text-based interface. The newer mode uses GTK+ and runs in the X Window environment. This chapter explains how you can use the graphical installation mode in environments where the system lacks a proper display and input devices typically associated with a workstation. This scenario is typical of systems in datacenters, which are often installed in a rack environment and do not have a display, keyboard, or mouse. Additionally, a lot of these systems even lack the ability to connect a graphical display. Given that enterprise hardware rarely needs that ability at the physical system, this hardware configuration is acceptable.
Even in these environments, however, the graphical installer remains the recommended method of installation. The text mode environment lacks a lot of capabilities found in the graphical mode. Many users still feel that the text mode interface provides them with additional power or configuration ability not found in the graphical version. The opposite is true. Much less development effort is put in to the text-mode environment and specific things (for example, LVM configuration, partition layout, package selection, and bootloader configuration) are deliberately left out of the text mode environment. The reasons for this are:
  • Less screen real estate for creating user interfaces similar to those found in the graphical mode.
  • Difficult internationalization support.
  • Desire to maintain a single interactive installation code path.
Anaconda therefore includes a Virtual Network Computing (VNC) mode that allows the graphical mode of the installer to run locally, but display on a system connected to the network. Installing in VNC mode provides you with the full range of installation options, even in situations where the system lacks a display or input devices.

12.1. VNC Viewer

Performing a VNC installation requires a VNC viewer running on your workstation or other terminal computer. Locations where you might want a VNC viewer installed:
  • Your workstation
  • Laptop on a datacenter crash cart
VNC is open source software licensed under the GNU General Public License. Versions exist for Linux, Windows, and MacOS X. Here are some recommended VNC viewers:
  • vncviewer is available on Red Hat Enterprise Linux and Fedora Linux by installing the vnc package:
    # yum install vnc
    
  • TightVNC is available for Windows at http://www.tightvnc.com/
  • MacOS X includes built-in VNC support as of version 10.5. In the Finder, click the Go menu and choose Connect to Server. In the server address field, you can type vnc://SERVER:DISPLAY, where SERVER is the IP address or DNS host name of the VNC server you wish to connect to and DISPLAY is the VNC display number (usually 1), and click Connect.
Once you have verified you have a VNC viewer available, it's time to start the installation.

12.2. VNC Modes in Anaconda

Anaconda offers two modes for VNC installation. The mode you select will depend on the network configuration in your environment.

12.2.1. Direct Mode

Direct mode VNC in anaconda is when the client initiates a connection to the VNC server running in anaconda. Anaconda will tell you when to initiate this connection in the VNC viewer. Direct mode can be activated by either of the following commands:
  • Specify vnc as a boot argument.
  • Specify the vnc command in the kickstart file used for installation.
When you activate VNC mode, anaconda will complete the first stage of the installer and then start VNC to run the graphical installer. The installer will display a message on the console in the following format:
Running anaconda VERSION, the PRODUCT system installer - please wait...
Anaconda will also tell you the IP address and display number to use in your VNC viewer. At this point, you need to start the VNC viewer and connect to the target system to continue the installation. The VNC viewer will present anaconda to you in graphical mode.
There are some disadvantages to direct mode, including:
  • Requires visual access to the system console to see the IP address and port to connect the VNC viewer to.
  • Requires interactive access to the system console to complete the first stage of the installer.
If either of these disadvantages would prevent you from using direct mode VNC in anaconda, then connect mode is probably more suited to your environment.

12.2.2. Connect Mode

Certain firewall configurations or instances where the target system is configured to obtain a dynamic IP address may cause trouble with the direct VNC mode in anaconda. In addition, if you lack a console on the target system to see the message that tells you the IP address to connect to, then you will not be able to continue the installation.
The VNC connect mode changes how VNC is started. Rather than anaconda starting up and waiting for you to connect, the VNC connect mode allows anaconda to automatically connect to your view. You won't need to know the IP address of the target system in this case.
To activate the VNC connect mode, pass the vncconnect boot parameter:
boot: linux vncconnect=HOST
Replace HOST with your VNC viewer's IP address or DNS host name. Before starting the installation process on the target system, start up your VNC viewer and have it wait for an incoming connection.
Start the installation and when your VNC viewer displays the graphical installer, you are ready to go.

12.3. Installation Using VNC

Now that you have installed a VNC viewer application and selected a VNC mode for use in anaconda, you are ready to begin the installation.

12.3.1. Installation Example

The easiest way to perform an installation using VNC is to connect another computer directly to the network port on the target system. The laptop on a datacenter crash cart usually fills this role. If you are performing your installation this way, make sure you follow these steps:
  1. Connect the laptop or other workstation to the target system using a crossover cable. If you are using regular patch cables, make sure you connect the two systems using a small hub or switch. Most recent Ethernet interfaces will automatically detect if they need to be crossover or not, so it may be possible to connect the two systems directly using a regular patch cable.
  2. Configure the VNC viewer system to use a RFC 1918 address with no gateway. This private network connection will only be used for the purpose of installation. Configure the VNC viewer system to be 192.168.100.1/24. If that address is in use, just pick something else in the RFC 1918 address space that is available to you.
  3. Start the installation on the target system.
    1. Booting the installation DVD or CD.
      If booting the installation media (CD or DVD), make sure vnc is passed as a boot parameter. To add the vnc parameter, you will need a console attached to the target system that allows you to interact with the boot process. Enter the following at the prompt:
      boot: linux vnc
      
    2. Boot over the network.
      If the target system is configured with a static IP address, add the vnc command to the kickstart file. If the target system is using DHCP, add vncconnect=HOST to the boot arguments for the target system. HOST is the IP address or DNS host name of the VNC viewer system. Enter the following at the prompt:
      boot: linux vncconnect=HOST
      
  4. When prompted for the network configuration on the target system, assign it an available RFC 1918 address in the same network you used for the VNC viewer system. For example, 192.168.100.2/24.

    Note

    This IP address is only used during installation. You will have an opportunity to configure the final network settings, if any, later in the installer.
  5. Once the installer indicates it is starting anaconda, you will be instructed to connect to the system using the VNC viewer. Connect to the viewer and follow the graphical installation mode instructions found in the product documentation.

12.3.2. Kickstart Considerations

If your target system will be booting over the network, VNC is still available. Just add the vnc command to the kickstart file for the system. You will be able to connect to the target system using your VNC viewer and monitor the installation progress. The address to use is the one the system is configured with via the kickstart file.
If you are using DHCP for the target system, the reverse vncconnect method may work better for you. Rather than adding the vnc boot parameter to the kickstart file, add the vncconnect=HOST parameter to the list of boot arguments for the target system. For HOST, put the IP address or DNS host name of the VNC viewer system. See the next section for more details on using the vncconnect mode.

12.3.3. À propos du pare-feu

If you are performing the installation where the VNC viewer system is a workstation on a different subnet from the target system, you may run in to network routing problems. VNC works fine so long as your viewer system has a route to the target system and ports 5900 and 5901 are open. If your environment has a firewall, make sure ports 5900 and 5901 are open between your workstation and the target system.
In addition to passing the vnc boot parameter, you may also want to pass the vncpassword parameter in these scenarios. While the password is sent in plain text over the network, it does provide an extra step before a viewer can connect to a system. Once the viewer connects to the target system over VNC, no other connections are permitted. These limitations are usually sufficient for installation purposes.

Important

Be sure to use a temporary password for the vncpassword option. It should not be a password you use on any systems, especially a real root password.
If you continue to have trouble, consider using the vncconnect parameter. In this mode of operation, you start the viewer on your system first telling it to listen for an incoming connection. Pass vncconnect=HOST at the boot prompt and the installer will attempt to connect to the specified HOST (either a hostname or IP address).

12.4. References

Chapitre 13. Installations kickstart

13.1. Qu'est-ce qu'une installation kickstart ?

Many system administrators would prefer to use an automated installation method to install Fedora on their machines. To answer this need, Red Hat created the kickstart installation method. Using kickstart, a system administrator can create a single file containing the answers to all the questions that would normally be asked during a typical installation.
Kickstart files can be kept on a single server system and read by individual computers during the installation. This installation method can support the use of a single kickstart file to install Fedora on multiple machines, making it ideal for network and system administrators.
Kickstart provides a way for users to automate a Fedora installation.

13.2. Comment effectuer une installation kickstart ?

Il est possible d'effectuer des installations kickstart à l'aide d'un CD-ROM local, d'un disque dur local ou encore via NFS, FTP ou HTTP.
Pour utiliser le mode kickstart, vous devez :
  1. Créer un fichier kickstart.
  2. Créer un média de démarrage avec le fichier kickstart ou faire en sorte que le fichier kickstart soit disponible sur le réseau.
  3. Rendre l'arborescence d'installation disponible ;
  4. Démarrer l'installation kickstart.
Ce chapitre examine les étapes ci-dessus d'une manière détaillée.

13.3. Création du fichier kickstart

The kickstart file is a simple text file, containing a list of items, each identified by a keyword. You can create it by using the Kickstart Configurator application, or writing it from scratch. The Fedora installation program also creates a sample kickstart file based on the options that you selected during installation. It is written to the file /root/anaconda-ks.cfg. You should be able to edit it with any text editor or word processor that can save files as ASCII text.
Pour commencer, examinons quelques règles de base qu'il convient de garder à l'esprit lors de la création de votre fichier kickstart :

13.4. Options de kickstart

Note

Si l'option est suivie du signe égal (=), vous devez indiquer une valeur après ce signe. Dans les exemples de commandes, les options entre parenthèses ([]) sont des arguments facultatifs pour la commande.
autopart (optionnel)
ignoredisk (optionnel)
ignoredisk --drives=drive1,drive2,...
autostep (optionnel)
auth ou authconfig (requis)
bootloader (requis)
clearpart (optionnel)
cmdline (optionnel)
device (optionnel)
device <type> <moduleName> --opts=<options>
driverdisk (optionnel)
driverdisk <partition> [--type=<fstype>]
driverdisk --source=ftp://path/to/dd.img
driverdisk --source=http://path/to/dd.img
driverdisk --source=nfs:host:/path/to/img
firewall (optionnel)
firewall --enabled|--disabled [--trust=] <device> [--port=]
firstboot (optionnel)
halt (optionnel)
graphical (optionnel)
install (optionnel)
  • cdrom — Install from the first CD-ROM drive on the system.
  • harddrive — Install from a Red Hat installation tree on a local drive, which must be either vfat or ext2.
    • --biospart=
      Partition BIOS à partir de laquelle installer (comme 82).
    • --partition=
      Partition à partir de laquelle installer (comme sdb2).
    • --dir=
      Répertoire contenant le répertoire variant de l'arborescence d'installation de Red Hat.
    Par exemple:
    harddrive --partition=hdb2 --dir=/tmp/install-tree
    
  • nfs — Install from the NFS server specified.
    • --server=
      Spécifie le serveur à partir duquel l'installation doit être effectuée (nom d'hôte ou IP).
    • --dir=
      Répertoire contenant le répertoire variant de l'arborescence d'installation de Red Hat.
    • --opts=
      Options de montage à utiliser pour monter l'export NFS (facultatif).
    Par exemple:
    nfs --server=nfsserver.example.com --dir=/tmp/install-tree
    
  • url — Install from an installation tree on a remote server via FTP or HTTP.
    Par exemple:
    url --url http://<server>/<dir>
    
    ou :
    url --url ftp://<username>:<password>@<server>/<dir>
    
interactive (optionnel)
iscsi (optionnel)
key (optionnel)
keyboard (requis)
be-latin1, bg, br-abnt2, cf, cz-lat2, cz-us-qwertz, de, de-latin1, 
de-latin1-nodeadkeys, dk, dk-latin1, dvorak, es, et, fi, fi-latin1, 
fr, fr-latin0, fr-latin1, fr-pc, fr_CH, fr_CH-latin1, gr, hu, hu101, 
is-latin1, it, it-ibm, it2, jp106, la-latin1, mk-utf, no, no-latin1, 
pl, pt-latin1, ro_win, ru, ru-cp1251, ru-ms, ru1, ru2,  ru_win, 
se-latin1, sg, sg-latin1, sk-qwerty, slovene, speakup,  speakup-lt, 
sv-latin1, sg, sg-latin1, sk-querty, slovene, trq, ua,  uk, us, us-acentos
lang (requis)
lang en_US
langsupport (deprecated)
@french-support
logvol (optionnel)
logvol <mntpoint> --vgname=<name> --size=<size> --name=<name> <options>
part pv.01 --size 3000 
volgroup myvg pv.01
logvol / --vgname=myvg --size=2000 --name=rootvol
logging (optionnel)
mediacheck (optionnel)
monitor (optionnel)
mouse (déconseillé)
network (optionnel)
multipath (optionnel)
part ou partition (obligatoire pour les installations, ignoré pour les mises à jour)
  • <mntpoint> — The <mntpoint> is where the partition is mounted and must be of one of the following forms:
    • /<path>
      Par exemple, /, /usr, /home
    • swap
      La partition utilisée comme espace de swap.
      Pour déterminer automatiquement la taille de la partition swap, utilisez l'option --recommended :
      swap --recommended
      
      The recommended maximum swap size for machines with less than 2GB of RAM is twice the amount of RAM. For machines with 2GB or more, this recommendation changes to 2GB plus the amount of RAM.
    • raid.<id>
      La partition utilisée pour le RAID logiciel (reportez-vous à raid).
    • pv.<id>
      La partition est utilisée pour LVM (consultez logvol).
  • --size= — The minimum partition size in megabytes. Specify an integer value here such as 500. Do not append the number with MB.
  • --grow — Tells the partition to grow to fill available space (if any), or up to the maximum size setting.

    Note

    If you use --grow= without setting --maxsize= on a swap partition, Anaconda will limit the maximum size of the swap partition. For systems that have less than 2GB of physical memory, the imposed limit is twice the amount of physical memory. For systems with more than 2GB, the imposed limit is the size of physical memory plus 2GB.
  • --maxsize= — The maximum partition size in megabytes when the partition is set to grow. Specify an integer value here, and do not append the number with MB.
  • --noformat — Tells the installation program not to format the partition, for use with the --onpart command.
  • --onpart= or --usepart= — Put the partition on the already existing device. For example:
    partition /home --onpart=hda1
    
    place /home sur /dev/hda1, qui doit déjà exister.
  • --ondisk= or --ondrive= — Forces the partition to be created on a particular disk. For example, --ondisk=sdb puts the partition on the second SCSI disk on the system.
  • --asprimary — Forces automatic allocation of the partition as a primary partition, or the partitioning fails.
  • --type= (replaced by fstype) — This option is no longer available. Use fstype.
  • --fstype= — Sets the file system type for the partition. Valid values are xfs, ext2, ext3, ext4, swap, vfat, and hfs.
  • --start= — Specifies the starting cylinder for the partition. It requires that a drive be specified with --ondisk= or ondrive=. It also requires that the ending cylinder be specified with --end= or the partition size be specified with --size=.
  • --end= — Specifies the ending cylinder for the partition. It requires that the starting cylinder be specified with --start=.
  • --bytes-per-inode= — Specifies the size of inodes on the filesystem to be made on the partition. Not all filesystems support this option, so it is silently ignored for those cases.
  • --recommended — Determine the size of the partition automatically.
  • --onbiosdisk — Forces the partition to be created on a particular disk as discovered by the BIOS.
  • --encrypted — Specifies that this partition should be encrypted.
  • --passphrase= — Specifies the passphrase to use when encrypting this partition. Without the above --encrypted option, this option does nothing. If no passphrase is specified, the default system-wide one is used, or the installer will stop and prompt if there is no default.

Note

Si le partitionnement échoue pour une raison ou une autre, des messages de diagnostiques seront affichés sur la console virtuelle 3.
poweroff (optionnel)
raid (optionnel)
raid <mntpoint> --level=<level> --device=<mddevice> <partitions*>
part raid.01 --size=60 --ondisk=sda
part raid.02 --size=60 --ondisk=sdb 
part raid.03 --size=60 --ondisk=sdc
part swap --size=128 --ondisk=sda  
part swap --size=128 --ondisk=sdb  
part swap --size=128 --ondisk=sdc
part raid.11 --size=1 --grow --ondisk=sda  
part raid.12 --size=1 --grow --ondisk=sdb  
part raid.13 --size=1 --grow --ondisk=sdc
raid / --level=1 --device=md0 raid.01 raid.02 raid.03  
raid /usr --level=5 --device=md1 raid.11 raid.12 raid.13
reboot (optionnel)
repo (optionnel)
repo --name=<repoid> [--baseurl=<url>| --mirrorlist=<url>]
rootpw (requis)
rootpw [--iscrypted] <password>
selinux (optionnel)
selinux [--disabled|--enforcing|--permissive]
services (optionnel)
shutdown (optionnel)
skipx (optionnel)
text (optionnel)
timezone (requis)
timezone [--utc] <timezone>
upgrade (optionnel)
user (optionnel)
user --name=<username> [--groups=<list>] [--homedir=<homedir>] [--password=<password>] [--iscrypted] [--shell=<shell>] [--uid=<uid>]
vnc (optionnel)
vnc [--host=<hostname>] [--port=<port>] [--password=<password>]
volgroup (optionnel)
volgroup <name> <partition> <options>
part pv.01 --size 3000 
volgroup myvg pv.01 
logvol / --vgname=myvg --size=2000 --name=rootvol
xconfig (optionnel)
zerombr (optionnel)
zfcp (optionnel)
%include (optional)
Utiliser la commande %packages pour commencer une section de fichier kickstart qui liste les paquetages que vous souhaitez installer (uniquement pour des installations, vu que la sélection de paquetages durant les mises à niveau n'est pas prise en charge).
Packages can be specified by group or by individual package name, including with globs using the asterisk. The installation program defines several groups that contain related packages. Refer to the variant/repodata/comps-*.xml file on the first Fedora CD-ROM for a list of groups. Each group has an id, user visibility value, name, description, and package list. In the package list, the packages marked as mandatory are always installed if the group is selected, the packages marked default are selected by default if the group is selected, and the packages marked optional must be specifically selected even if the group is selected to be installed.
Dans la plupart des cas, il est uniquement nécessaire de lister les groupes désirés et non pas les paquetages individuels. Notez que les groupes Core et Base sont toujours sélectionnés par défaut, il n'est dons pas nécessaire de les spécifier dans la section %packages.
Voici un exemple de sélection de %packages :
%packages 
@ X Window System 
@ GNOME Desktop Environment 
@ Graphical Internet 
@ Sound and Video dhcp
Comme vous pouvez le voir, les groupes sont spécifiés, un par ligne, en commençant par un symbole @, un espace puis le nom de groupe complet comme celui donné dans le fichier comps.xml. Les groupes peuvent également être spécifiés en utilisant l'id du groupe, comme gnome-desktop. Spécifiez des paquetages individuels sans aucun caractère supplémentaire (la ligne dhcp dans l'exemple ci-dessus est un paquetage individuel).
Vous pouvez également spécifier dans la liste des paquetages par défaut, ceux qui ne doivent pas être installés :
-autofs
Les options suivantes sont disponibles pour l'option %packages :
--nobase
Ne pas installer le groupe @Base. Utilisez cette option si vous essayez de créer un tout petit système.
--resolvedeps
L'option --resolvedeps est déconseillée. Les dépendances sont désormais automatiquement résolues à chaque fois.
--ignoredeps
L'option --ignoredeps est déconseillée. Les dépendances sont désormais automatiquement résolues à chaque fois.
--ignoremissing
Cette option ne prend pas en compte les paquetages et groupes manquants et continue l'installation sans s'arrêter pour demander si cette dernière devrait être abandonnée ou poursuivie. Par exemple :
%packages --ignoremissing
Vous pouvez ajouter des commandes à exécuter sur le système immédiatement après l'analyse de ks.cfg. Cette section doit se trouver à la fin du fichier kickstart (après les commandes) et doit commencer avec la commande %pre. Vous pouvez accéder au réseau dans la section %pre ; cependant, name service n'a pas encore été configuré, seules les adresses IP fonctionnent donc.

Note

Le script de pré-installation n'est pas exécuté dans l'environnement chroot.
--interpreter /usr/bin/python
Permet de spécifier un autre langage de script, tel que Python. Remplacez /usr/bin/python par le langage de script de votre choix.

13.6.1. Exemple

Voici un exemple de section %pre :
%pre  
#!/bin/sh  
hds="" 
mymedia=""  
for file in /proc/ide/h* do   
        mymedia=`cat $file/media`   
        if [ $mymedia == "disk" ] ; then       
                hds="$hds `basename $file`"   
        fi 
done  
set $hds 
numhd=`echo $#`  
drive1=`echo $hds | cut -d' ' -f1` 
drive2=`echo $hds | cut -d' ' -f2`  
#Write out partition scheme based on whether there are 1 or 2 hard drives  
if [ $numhd == "2" ] ; then   
        #2 drives   
        echo "#partitioning scheme generated in %pre for 2 drives" > /tmp/part-include   
        echo "clearpart --all" >> /tmp/part-include   
        echo "part /boot --fstype ext3 --size 75 --ondisk hda" >> /tmp/part-include   
        echo "part / --fstype ext3 --size 1 --grow --ondisk hda" >> /tmp/part-include   
        echo "part swap --recommended --ondisk $drive1" >> /tmp/part-include   
        echo "part /home --fstype ext3 --size 1 --grow --ondisk hdb" >> /tmp/part-include 
else   
        #1 drive   
        echo "#partitioning scheme generated in %pre for 1 drive" > /tmp/part-include   
        echo "clearpart --all" >> /tmp/part-include   
        echo "part /boot --fstype ext3 --size 75" >> /tmp/part-includ   
        echo "part swap --recommended" >> /tmp/part-include   
        echo "part / --fstype ext3 --size 2048" >> /tmp/part-include   
        echo "part /home --fstype ext3 --size 2048 --grow" >> /tmp/part-include 
fi
Ce script détermine le nombre de disques durs présents sur le système et enregistre un fichier texte avec un schéma de partitionnement différent s'il dispose d'un ou de deux disques. Au lieu d'avoir un ensemble de commandes de partitionnement dans le fichier kickstart, incorporez la ligne :
%include /tmp/part-include
Les commandes de partitionnement sélectionnées dans le script sont utilisées.

Note

La section du script pré-installation de kickstart ne peut pas gérer plusieurs arborescences d'installation ou supports sources. Ces informations doivent être incluses pour chaque fichier ks.cfg crée, vu que le script pré-installation se produit durant la seconde étape du processus d'installation.
Vous avez l'option d'ajouter des commandes à exécuter sur le système une fois l'installation terminée. Cette section doit se trouver à la fin du fichier kickstart et doit commencer avec la commande %post. Cette section est utile pour les fonctions comme l'installation de logiciels supplémentaires et la configuration d'un serveur de noms supplémentaire.

Note

Si vous avez configuré le réseau avec des informations IP statiques, y compris un serveur de noms, vous pouvez accéder au réseau et résoudre les adresses IP dans la section %post. Si vous avez configuré le réseau pour DHCP, le fichier /etc/resolv.conf n'a pas été complété lorsque l'installation exécute la section %post. Vous pouvez accéder au réseau, mais vous ne pouvez pas résoudre les adresses IP. Ainsi, si vous utilisez DHCP, vous devez spécifier les adresses IP dans la section %post.

Note

Le script post-install est exécuté dans un environnement chroot. De ce fait, des tâches comme la copie de scripts ou de RPM du support d'installation ne fonctionnent pas.
--nochroot
Permet de spécifier des commandes que vous souhaitez exécuter en dehors de l'environnement chroot.
L'exemple suivant copie le fichier /etc/resolv.conf sur le système de fichiers qui vient d'être installé.
%post --nochroot cp /etc/resolv.conf /mnt/sysimage/etc/resolv.conf
--interpreter /usr/bin/python
Permet de spécifier un autre langage de script, tel que Python. Remplacez /usr/bin/python par le langage de script de votre choix.

13.7.1. Exemples

Enregistrer le système à un Satellite Red Hat Network :
%post
( # Note that in this example we run the entire %post section as a subshell for logging.
wget -O- http://proxy-or-sat.example.com/pub/bootstrap_script | /bin/bash
/usr/sbin/rhnreg_ks --activationkey=<activationkey>
# End the subshell and capture any output to a post-install log file.
) 1
>/root/post_install.log 2
>&1
Exécuter un script nommé runme d'un partage NFS :
mkdir /mnt/temp 
mount -o nolock 10.10.0.2:/usr/new-machines /mnt/temp open -s -w -- 
/mnt/temp/runme 
umount /mnt/temp

Note

Le verrouillage de fichiers NFS n'est pas pris en charge en mode kickstart, -o nolock est donc requis lors du montage d'un point de montage NFS.
Un fichier kickstart doit être placé dans un des emplacements suivants :
  • Sur une disquette de démarrage
  • Sur un CD-ROM de démarrage
  • Sur un réseau
Un fichier kickstart est normalement copié sur la disquette de démarrage ou mis à disposition sur le réseau. L'approche réseau est celle le plus couramment utilisée étant donné que la plupart des installations kickstart étant réalisées sur des ordinateurs en réseau.
Examinons plus attentivement les emplacements où peuvent se trouver le fichier kickstart.

13.8.1. Création d'un support de démarrage Kickstart

Diskette-based booting is no longer supported in Fedora. Installations must use CD-ROM or flash memory products for booting. However, the kickstart file may still reside on a diskette's top-level directory, and must be named ks.cfg.
Pour effectuer une installation kickstart basée sur la mémoire flash, le fichier kickstart doit se nommer ks.cfg et se trouver dans le répertoire de niveau supérieur de la mémoire flash. Créez tout d'abord l'image d'amorçage, puis copiez le fichier ks.cfg.
L'exemple suivant transfère une image d'amorçage sur la clé (/dev/sda) en utilisant la commande dd :
dd if=diskboot.img of=/dev/sda bs=1M

Note

La création de clés mémoire flash USB pour le démarrage est possible, mais est lourdement dépendante des paramètres du BIOS du matériel du système. Reportez-vous à la documentation du fabricant de votre matériel pour vérifier si votre système prend en charge le démarrage de périphériques différents.
Les installations réseau utilisant kickstart sont assez courantes ; les administrateurs système peuvent en effet aisément automatiser l'installation sur de nombreux ordinateurs en réseau. Cette tâche peut être réalisée rapidement et sans problème. En général, l'approche la plus couramment utilisée consiste, pour l'administrateur, à avoir à la fois un serveur BOOTP/DHCP et un serveur NFS sur le réseau local. Le serveur BOOTP/DHCP sert à communiquer au système client ses informations de mise en réseau, tandis que les fichiers réellement utilisés pendant l'installation se trouvent sur le serveur NFS. Ces deux serveurs fonctionnent souvent sur le même ordinateur, mais ce n'est pas une obligation.
To perform a network-based kickstart installation, you must have a BOOTP/DHCP server on your network, and it must include configuration information for the machine on which you are attempting to install Fedora. The BOOTP/DHCP server provides the client with its networking information as well as the location of the kickstart file.
Si un fichier kickstart est spécifié par le serveur BOOTP/DHCP, le système client essaie d'effectuer un montage NFS du chemin du fichier et copie le fichier spécifié sur le client en l'utilisant comme fichier kickstart. Les paramètres exacts requis varient selon le serveur BOOTP/DHCP que vous utilisez.
Voici un exemple de ligne du fichier dhcpd.conf pour le serveur DHCP :
filename "/usr/new-machine/kickstart/"; next-server blarg.redhat.com;
Notez que vous devriez remplacer la valeur après filename par le nom du fichier kickstart (ou le répertoire dans lequel se trouve le fichier kickstart) et la valeur après next-server par le nom du serveur NFS.
Si le nom de fichier retourné par le serveur BOOTP/DHCP finit par une oblique ("/"), il est interprété comme un chemin uniquement. Dans ce cas, le système client monte ce chemin en utilisant NFS et recherche un fichier particulier. Le nom de fichier recherché par le client est :
<ip-addr>-kickstart
La section <ip-addr> du nom de fichier devrait être remplacée par l'adresse IP du client sous la notation décimale à points. Par exemple, le nom de fichier pour un ordinateur avec une adresse IP 10.10.0.1 serait 10.10.0.1-kickstart.
Notez que si vous ne spécifiez pas de nom de serveur, le système client essaie d'utiliser le serveur qui a répondu à la requête BOOTP/DHCP comme son serveur NFS. Si vous ne spécifiez pas de chemin ou de nom de fichier, le système client essaie de monter /kickstart du serveur BOOTP/DHCP et essaie de trouver le fichier kickstart en utilisant le même nom de fichier <ip-addr>-kickstart que celui décrit ci-dessus.

13.10. Lancement d'une installation kickstart

To begin a kickstart installation, you must boot the system from boot media you have made or the Fedora CD-ROM #1, and enter a special boot command at the boot prompt. The installation program looks for a kickstart file if the ks command line argument is passed to the kernel.
Ci-dessous figurent d'autres options pour démarrer une installation kickstart :
askmethod
Do not automatically use the CD-ROM as the install source if we detect a Fedora CD in your CD-ROM drive.
autostep
Rendre kickstart non-interactif.
debug
Démarrer immédiatement pdb.
dd
Utiliser un disque de pilotes.
dhcpclass=<class>
Envoie un identificateur de classe de vendeur DHCP personnalisé. Le dhcpcd d'ISC peut inspecter cette valeur en utilisant l'option "option vendor-class-identifier".
dns=<dns>
Liste de serveurs de noms séparés par des virgules pour une installation réseau.
driverdisk
Comme 'dd'.
expert
Active des fonctions spéciales  :
  • active le partitionnement des médias amovibles
  • demande le pilote de disque
gateway=<gw>
Passerelle à utiliser pour une installation réseau.
graphique
Force l'installation graphique. Option requise pour que ftp/http utilise la GUI.
isa
Cette commande vous demande de configurer les périphériques ISA.
ip=<ip>
IP à utiliser pour une installation réseau, utilisez 'dhcp' pour DHCP.
keymap=<keymap>
Clavier à utiliser. Les valeurs valides sont celles qui peuvent être utilisées pour la commande kickstart 'keyboard'.
ks=nfs:<server>/<path>
Le programme d'installation recherche le fichier kickstart sur le serveur NFS <server>, comme le fichier <path>. Le programme d'installation utilise DHCP pour configurer la carte Ethernet. Par exemple, si votre serveur NFS est server.example.com et que le fichier kickstart se trouve dans le partage NFS /mydir/ks.cfg, la commande de démarrage correcte serait ks=nfs:server.example.com:/mydir/ks.cfg.
ks=http://<server>/<path>
Le programme d'installation recherche le fichier kickstart sur le serveur HTTP <server>, comme le fichier <path>. Le programme d'installation utilise DHCP pour configurer la carte Ethernet. Par exemple, si votre serveur HTTP est server.example.com et que le fichier kickstart se trouve dans le répertoire HTTP /mydir/ks.cfg, la commande de démarrage correcte serait ks=http://server.example.com/mydir/ks.cfg.
ks=floppy
Le programme d'installation recherche le fichier ks.cfg sur un système de fichiers vfat ou ext2 sur la disquette dans /dev/fd0.
ks=floppy:/<path>
Le programme d'installation recherche le fichier kickstart sur la disquette dans /dev/fd0, comme le fichier <path>.
ks=hd:<device>:/<file>
Le programme d'installation monte le système de fichiers sur <device> (qui doit être vfat ou ext2), et recherche le fichier de configuration kickstart <file> dans ce système de fichiers (par exemple, ks=hd:sda3:/mydir/ks.cfg).
ks=file:/<file>
Le programme d'installation essaie de lire le fichier <file> du système de fichiers. Aucun montage n'est effectué. Cette commande est normalement utilisée si le fichier kickstart est déjà sur l'image initrd.
ks=cdrom:/<path>
Le programme d'installation recherche le fichier kickstart sur le CD-ROM, comme le fichier <path>.
ks
Si ks est utilisé seul, le programme d'installation configure la carte Ethernet pour utiliser DHCP. Ce fichier kickstart est lu depuis "bootServer" de la réponse DHCP comme si il était un serveur NFS partageant le fichier kickstart. Par défaut, bootServer est le même que le serveur DHCP. Le nom du fichier kickstart est l'un des éléments suivants:
  • Si DHCP est spécifié et que le fichier de démarrage commence par /, le fichier de démarrage fourni par DHCP est recherché sur le serveur NFS.
  • Si DHCP est spécifié et que le fichier de démarrage commence par un caractère autre que /, le fichier de démarrage fourni par DHCP est recherché dans le répertoire /kickstart sur le serveur NFS.
  • Si DHCP ne spécifiait pas de fichier de démarrage, le programme d'installation essaie alors de lire le fichier /kickstart/1.2.3.4-kickstart, où 1.2.3.4 représente l'adresse IP numérique de la machine installée.
ksdevice=<device>
Le programme d'installation utilise ce périphérique réseau pour se connecter au réseau. Par exemple, pensez à un système connecté à un serveur NFS via le périphérique eth1. Pour effectuer une installation kickstart sur ce système en utilisant un fichier kickstart du serveur NFS, utilisez la commande ks=nfs:<server>:/<path> ksdevice=eth1 à l'invite boot:.
kssendmac
Ajoute des en-têtes HTTP à la requête ks=http:// qui peut être utile pour dimensionner des systèmes. Sont incluses les adresses MAC de tous les nics dans les variables d'environnement CGI sous la forme  : "X-RHN-Provisioning-MAC-0: eth0 01:23:45:67:89:ab".
lang=<lang>
Langue à utiliser pour l'installation. Elle devrait être valide dans l'utilisation de la commande kickstart 'lang'.
loglevel=<level>
Définit le niveau minimum requis pour les messages à journaliser. Les valeurs pour <level> sont debug, info, warning, error et critical. La valeur par défaut est info.
lowres
Force l'installateur GUI à être exécuté en 640x480.
mediacheck
Active le code du chargeur pour donner l'option utilisateur de tester l'intégrité des sources d'installation (dans le cas d'une méthode ISO).
method=cdrom
Effectue une installation basée sur le CDROM
method=ftp://<path>
Utilise <path> pour une installation FTP.
method=hd:<dev>:<path>
Utilise <path> sur <dev> pour une installation à partir d'un disque dur.
method=http://<path>
Utilise <path> pour une installation HTTP.
method=nfs:<path>
Utilise <path> pour une installation NFS.
netmask=<nm>
Masque réseau à utiliser pour une installation réseau.
nofallback
Si la GUI échoue, quitter.
nofb
Ne pas charger la mémoire tampon VGA16 requise pour effectuer des installations en mode texte dans certaines langues.
nofirewire
Ne pas charger le support pour les périphériques de parefeu.
noipv6
Cette commande désactive la mise en réseau IPv6 durant l'installation.
nokill
Une option de débogage qui empêche anaconda de terminer tous les programmes en exécution lorsqu'une erreur fatale se produit.
nomount
Ne pas monter automatiquement des partitions Linux installées en mode de secours.
nonet
Ne détecte pas automatiquement les périphériques réseau.
noparport
Ne pas essayer de charger le support pour les ports parallèles.
nopass
Cette commande désactive la transmission des informations relatives au clavier et à la souris à la deuxième étape du programme d'installation. Elle est utile pour tester les écrans de configuration du clavier et de la souris au cours de la deuxième étape du programme d'installation lors d'installations réseau.
nopcmcia
Ignore tous les contrôleurs PCMCIA du système.
noprobe
Ne pas essayer de détecter hw, mais demander à l'utilisateur.
noshell
Ne pas mettre de shell sur tty2 durant l'installation.
nostorage
Ne pas détecter automatiquement les périphériques de stockage (SCSI, IDE, RAID).
nousb
Ne pas charger le support USB (utile si l'installation est parfois suspendue tôt).
nousbstorage
Désactive le chargement du module usbstorage dans le chargeur de programme d'installation. Cette commande peut être utile pour le classement des périphériques sur les systèmes SCSI.
rescue
Démarrer l'environnement de secours.
resolution=<mode>
Exécuter l'installateur dans le mode spécifié, par exemple '1024x768'.
serial
Active la prise en charge de la console série.
skipddc
Ignore la détection DDC du moniteur, utile si cette action suspend le système.
syslog=<host>[:<port>]
Une fois l'installation terminée et fonctionnant, envoie des messages journaux au processus syslog sur <host>, et facultativement, sur le port <port>. Requiert le processus syslog distant pour accepter des connexions (option -r).
text
Force l'installation en mode texte.

Important

If you select text mode for a kickstart installation, make sure that you specify choices for the partitioning, bootloader, and package selection options. These steps are automated in text mode, and anaconda cannot prompt you for missing information. If you do not provide choices for these options, anaconda will stop the installation process.
updates
Demande les disquettes contenant les mises à jour (correctifs de bogues).
updates=ftp://<path>
Image contenant les mises à jour sur FTP.
updates=http://<path>
Image contenant les mises à jour sur HTTP.
upgradeany
Ne requiert pas une valeur /etc/redhat-release qui corresponde à la syntaxe attendue pour mettre à niveau.
vnc
Active l'installation basée sur vnc. Vous devrez vous connecter à la machine en utilisant une application client vnc.
vncconnect=<host>[:<port>]
Une fois l'installation terminée et fonctionnant, connectez-vous au client vnc nommé <host>, et utilisez facultativement le port <port>.
Requiert que l'option 'vnc' soit également spécifiée.
vncpassword=<password>
Active un mot de passe pour la connexion vnc. Cela empêche qu'une personne ne se connecte par mégarde sur l'installation vnc.
Requiert que l'option 'vnc' soit également spécifiée.

Chapitre 14. Kickstart Configurator

L'outil de Configuration de Kickstart vous permet de créer ou de modifier un fichier kickstart à l'aide d'une interface utilisateur graphique, afin que vous n'ayez pas à vous rappeler la syntaxe correcte du fichier.
Pour utiliser l'outil de Configuration de Kickstart, le système X Window doit être en cours d'exécution. Pour lancer l'outil de Configuration de Kickstart, sélectionnez Applications le menu principal du tableau de bord) => Outils de système => Kickstart ou saisissez la commande /usr/sbin/system-config-kickstart.
Durant la création d'un fichier kickstart, vous pouvez sélectionner Fichier => Aperçu à tout moment pour obtenir un aperçu de vos sélections actuelles.
Pour démarrer avec un fichier kickstart existant, sélectionnez Fichier => Ouvrir le fichier et sélectionnez le fichier existant.

14.1. Configuration de base

Configuration de base
Configuration de base
Figure 14.1. Configuration de base

Choisissez la langue à utiliser pendant l'installation en tant que langue par défaut après l'installation depuis le menu Langue par défaut.
Choisissez le type de clavier dans le menu Clavier.
Dans le menu Fuseau horaire, choisissez le fuseau horaire à utiliser pour le système. Pour configurer le système afin qu'il utilise le temps universel (UTC), sélectionnez Utiliser l'horloge en temps universel.
Entrez le mot de passe super-utilisateur (ou root) souhaité pour le système dans la zone de texte Mot de passe root. Entrez le même mot de passe dans la zone de texte Confirmer le mot de passe. Le deuxième champ permet d'assurer que vous ne faites pas de fautes d'orthographe et ensuite réaliser que vous ne savez plus quel est le mot de passe une fois l'installation terminée. Pour enregistrer le mot de passe en tant que mot de passe crypté dans le fichier, sélectionnez Crypter le mot de passe root. Si l'option de cryptage est retenue, lorsque le fichier sera enregistré, le mot de passe en texte clair que vous avez entré sera crypté et enregistré dans le fichier kickstart. N'entrez pas de mot de passe déjà crypté pour ensuite sélectionner l'option de cryptage. Vu qu'un fichier kickstart est un fichier en texte clair qui peut être facilement lu, il est recommandé de toujours utiliser un mot de passe crypté.
Choisissez Architecture cible afin de spécifier la distribution de l'architecture matérielle qui est utilisée durant l'installation.
Choisissez Redémarrer le système après l'installation afin que votre système redémarre automatiquement lorsque l'installation est terminée.
Les installations kickstart sont effectuées en mode graphique par défaut. Pour annuler ce choix par défaut et utiliser le mode texte à la place, sélectionnez Effectuer l'installation en mode texte.
Vous pouvez effectuer une installation Kickstart en mode interactif. Dans ce cas, le programme d'installation utilise toutes les options pré-configurées dans le fichier kickstart tout en vous laissant visualiser les options dans chaque écran avant de passer à l'écran suivant. Pour passer à l'écran suivant, cliquez simplement sur le bouton Suivant après avoir accepté ou modifié (s'ils ne vous convenaient pas) les paramètres, avant de poursuivre l'installation. Pour choisir ce type d'installation, sélectionnez l'option Effectuer l'installation en mode interactif.
Méthode d'installation
Méthode d'installation kickstart
Figure 14.2. Méthode d'installation

L'écran Méthode d'installation vous permet de choisir si vous voulez exécuter une installation complète ou une mise à niveau. Si vous sélectionnez la mise à niveau, les options Informations sur la partition et Sélection des paquetages seront désactivées. Elles ne sont pas prises en charge pour les mises à niveau de kickstart.
Choisissez le type d'installation kickstart ou de mise à niveau à partir des options suivantes :

14.3. Options de chargeur de démarrage


Veuillez noter que cet écran sera désactivé si vous avez spécifié une architecture cible différente de x86 / x86_64.
GRUB is the default boot loader for Fedora on x86 / x86_64 architectures. If you do not want to install a boot loader, select Do not install a boot loader. If you choose not to install a boot loader, make sure you create a boot diskette or have another way to boot your system, such as a third-party boot loader.
Vous devez décider où installer le chargeur de démarrage (le bloc de démarrage maître - ou le premier secteur de la partition /boot). Installez le chargeur d'amorçage sur le bloc de démarrage maître si vous prévoyez de l'utiliser en tant que chargeur d'amorçage.
Pour transmettre au noyau des paramètres spéciaux devant être utilisés lors du démarrage, entrez-les dans la zone de texte Paramètres du noyau. Par exemple, si vous avez un graveur de CD-ROM IDE, vous pouvez indiquer au noyau d'utiliser le pilote d'émulation SCSI qui doit être chargé avant l'utilisation de cdrecord en configurant hdd=ide-scsi en tant que paramètre du noyau (où hdd représente le périphérique CD-ROM).
Si vous choisissez le chargeur d'amorçage GRUB, vous pouvez le protéger à l'aide d'un mot de passe en configurant un mot de passe GRUB. Sélectionnez Utiliser le mot de passe GRUB, puis entrez un mot de passe dans le champ Mot de passe. Entrez le même mot de passe dans la zone de texte Confirmer le mot de passe. Pour enregistrer le mot de passe en tant que mot de passe crypté dans le fichier, sélectionnez Crypter le mot de passe GRUB. Avec cette option, lorsque le fichier est enregistré, le mot de passe en texte clair que vous avez entré sera crypté et enregistré dans le fichier kickstart. Si le mot de passe que vous entrez est déjà crypté, désélectionnez cette option.
Si vous avez sélectionné Mettre à niveau une installation existante sur la page Méthode d'installation, sélectionnez Mettre à niveau le chargeur de démarrage existant pour mettre à niveau la configuration du chargeur d'amorçage existant, tout en préservant les anciennes entrées.
Informations sur les partitions
Informations sur les partitions kickstart
Figure 14.4. Informations sur les partitions

Indiquez si vous souhaitez ou non effacer le secteur de partition principal (MBR). Vous pouvez également choisir de supprimer toutes les partitions existantes, de supprimer toutes les partitions Linux existantes ou de préserver les partitions actuelles.
Vous pouvez initialiser l'étiquette du disque (ou label disque) sur la valeur par défaut pour l'architecture du système (par exemple, msdos pour x86 et gpt pour Itanium). Sélectionnez Initialiser l'étiquette du disque si vous effectuez l'installation sur un tout nouveau disque dur.

Note

Bien qu'anaconda et kickstart supportent la gestion par volumes logiques (LVM), pour l'instant il n'y a pas de mécanismes permettant de configurer LVM avec l'outil de Configuration de Kickstart.

14.4.1. Création de partitions

Pour créer une partition, cliquez sur le bouton Ajouter. La fenêtre Options de partition reproduite dans la Figure 14.5, « Création de partitions » apparaîtra alors. Sélectionnez le point de montage, le type de système de fichiers et la taille de la nouvelle partition. Vous pouvez également choisir parmi les options suivantes :
  • Dans la section Options de taille supplémentaires, choisissez une taille de partition fixée, une taille maximale ou de remplir tout l'espace disponible sur le disque dur. Si vous avez sélectionné swap comme type de système de fichiers, vous pouvez demander au programme d'installation de créer la partition swap à la taille recommandée au lieu de préciser une taille.
  • Forcez la partition devant être créée en tant que partition primaire.
  • Créez la partition sur un disque dur spécifique. Par exemple, pour créer la partition sur le premier disque dur IDE (/dev/hda), spécifiez hda comme disque. N'incluez pas /dev dans le nom du disque.
  • Utilisez une partition existante. Par exemple pour créer la partition sur la première partition du premier disque dur IDE (/dev/hda1), spécifiez hda1 comme partition. N'incluez pas /dev dans le nom de la partition.
  • Formatez la partition comme le type de système de fichiers choisi.
Création de partitions
Création de partitions pour kickstart
Figure 14.5. Création de partitions

Pour modifier une partition existante, sélectionnez-la dans la liste et cliquez sur le bouton Modifier. La même fenêtre Options de partition que celle apparaissant lors de l'ajout d'une partition (reproduite dans la Figure 14.5, « Création de partitions ») s'affichera alors, à la différence près toutefois, qu'elle contient les valeurs de la partition sélectionnée. Modifiez les options de la partition et cliquez sur Valider.
Pour supprimer une partition existante, sélectionnez-la dans la liste et cliquez sur le bouton Supprimer.
La fenêtre Configuration du pare-feu est similaire à l'écran du programme d'installation et à l'Outil de configuration du niveau de sécurité.
Configuration du pare-feu
Configuration du pare-feu pour kickstart
Figure 14.10. Configuration du pare-feu

Si Désactiver le pare-feu est sélectionné, le système autorise l'accès complet à tout service et port actifs. Aucune connexion au système n'est refusée ou rejetée.
Si Activer le pare-feu est sélectionné, le système est configuré pour rejeter les connexions entrantes qui sont pas les réponses de requêtes sortantes, comme les réponses DNS ou les requêtes DHCP. Si l'accès aux services exécutés sur cette machine est nécessaire, vous pouvez choisir d'autoriser des services spécifiques à traverser le pare-feu.
Seuls les périphériques configurés dans la section Configuration réseau sont affichés comme des Périphériques sûrs disponibles. Les connexions provenant de périphériques sélectionnés dans la liste sont acceptées par le système. Par exemple, si eth1 ne reçoit que des connexions du système interne, vous voudrez peut-être autoriser les connexions en provenant.
Si un service est sélectionné dans la liste des Périphériques sûrs, les connexions pour le service sont acceptées et traitées par le système.
Dans le champ de texte Autres ports, ajoutez tous les ports supplémentaires qui devraient être ouverts pour l'accès à distance. Utilisez le format suivant : port:protocole. Par exemple, pour autoriser l'accès IMAP à travers du pare-feu, spécifiez imap:tcp. Vous pouvez également spécifier des ports numériques ; pour autoriser les paquets UDP sur le port 1234 à travers le pare-feu, saisissez 1234:udp. Pour spécifier plusieurs ports, séparez-les par des virgules.
X Configuration
Configuration de X Window pour kickstart
Figure 14.11. X Configuration

Indiquez également si vous souhaitez lancer l'Agent de configuration au premier démarrage du système. Il est désactivé par défaut, mais le paramètre peut être activé ou passé en mode de reconfiguration. Le mode de reconfiguration active les options de configuration de langue, souris, clavier, mot de passe root, niveau de sécurité, fuseau horaire et réseau, en plus de celles par défaut.

14.10. Script de pré-installation

Script de pré-installation
Script de pré-installation pour kickstart
Figure 14.13. Script de pré-installation

Vous pouvez ajouter des commandes devant être exécutées sur le système immédiatement après l'analyse syntaxique du fichier kickstart et avant que l'installation ne commence. Si vous avez correctement configuré le réseau dans le fichier kickstart, le réseau est activé avant le traitement de cette section. Si vous souhaitez ajouter un script de pré-installation, entrez-le dans la zone de texte.
Pour spécifier un langage de script à utiliser pour exécuter le script, sélectionnez l'option Utiliser un interprète et entrez l'interprète dans la zone de texte à côté de cette option. Par exemple, vous pouvez spécifier /usr/bin/python2.4 pour un script Python. Cette option correspond en fait à l'utilisation de %pre --interpreter /usr/bin/python2.4 dans votre fichier kickstart.
La plupart des commandes qui sont disponibles dans l'environnement de pré-installation sont fournies par une version de busybox appelée busybox-anaconda. Les commandes de Busybox offrent uniquement des fonctionnalités qui sont utilisées communément. La liste suivante des commandes disponibles inclut les commandes fournies par busybox :
addgroup, adduser, adjtimex, ar, arping, ash, awk, basename, bbconfig, bunzip2, busybox, bzcat, cal, cat, catv, chattr, chgrp, chmod, chown, chroot, chvt, cksum, clear, cmp, comm, cp, cpio, crond, crontab, cut, date, dc, dd, deallocvt, delgroup, deluser, devfsd, df, diff, dirname, dmesg, dnsd, dos2unix, dpkg, dpkg-deb, du, dumpkmap, dumpleases, e2fsck, e2label, echo, ed, egrep, eject, env, ether-wake, expr, fakeidentd, false, fbset, fdflush, fdformat, fdisk, fgrep, find, findfs, fold, free, freeramdisk, fsck, fsck.ext2, fsck.ext3, fsck.ext4, fsck.minix, ftpget, ftpput, fuser, getopt, getty, grep, gunzip, gzip, hdparm, head, hexdump, hostid, hostname, httpd, hush, hwclock, id, ifconfig, ifdown, ifup, inetd, insmod, install, ip, ipaddr, ipcalc, ipcrm, ipcs, iplink, iproute, iptunnel, kill, killall, lash, last, length, less, linux32, linux64, ln, load_policy, loadfont, loadkmap, login, logname, losetup, ls, lsattr, lsmod, lzmacat, makedevs, md5sum, mdev, mesg, mkdir, mke2fs, mkfifo, mkfs.ext2, mkfs.ext3, mkfs.ext4, mkfs.minix, mknod, mkswap, mktemp, modprobe, more, mount, mountpoint, msh, mt, mv, nameif, nc, netstat, nice, nohup, nslookup, od, openvt, passwd, patch, pidof, ping, ping6, pipe_progress, pivot_root, printenv, printf, ps, pwd, rdate, readlink, readprofile, realpath, renice, reset, rm, rmdir, rmmod, route, rpm, rpm2cpio, run-parts, runlevel, rx, sed, seq, setarch, setconsole, setkeycodes, setlogcons, setsid, sh, sha1sum, sleep, sort, start-stop-daemon, stat, strings, stty, su, sulogin, sum, swapoff, swapon, switch_root, sync, sysctl, tail, tar, tee, telnet, telnetd, test, tftp, time, top, touch, tr, traceroute, true, tty, tune2fs, udhcpc, udhcpd, umount, uname, uncompress, uniq, unix2dos, unlzma, unzip, uptime, usleep, uudecode, uuencode, vconfig, vi, vlock, watch, watchdog, wc, wget, which, who, whoami, xargs, yes, zcat, zcip
For a description of any of these commands, run:
busybox command --help
In addition to the aforementioned commands, the following commands are provided in their full featured versions:
anaconda, bash, bzip2, jmacs, ftp, head, joe, kudzu-probe, list-harddrives, loadkeys, mtools, mbchk, mtools, mini-wm, mtools, jpico, pump, python, python2.4, raidstart, raidstop, rcp, rlogin, rsync, setxkbmap, sftp, shred, ssh, syslinux, syslogd, tac, termidx, vncconfig, vncpasswd, xkbcomp, Xorg, Xvnc, zcat

Warning

N'incluez pas la commande %pre. Elle sera en effet automatiquement ajoutée.

Note

Le script de pré-installation est démarré après que le média source soit monté et que l'Étape 2 du chargeur d'amorçage ait été chargée. C'est pour cette raison qu'il n'est pas possible de changer le média source dans le script de pré-installation.
Script post-installation
Script après installation pour kickstart
Figure 14.14. Script post-installation

Vous pouvez également ajouter des commandes devant être exécutées sur le système une fois l'installation terminée. Si vous avez correctement configuré le réseau dans le fichier kickstart, le réseau est activé et le script peut inclure des commandes permettant d'accéder à des ressources du réseau. Si vous souhaitez inclure un script post-installation, entrez-le dans la zone de texte.

Warning

N'incluez pas la commande %post. Elle sera en effet automatiquement ajoutée.
Par exemple, pour modifier le message du jour du nouveau système installé, ajoutez la commande ci-dessous dans la section %post :
echo "Hackers will be punished!" > /etc/motd

14.11.1. Environnement chroot

Si vous désirez que votre script post-installation soit exécuté en dehors de l'environnement chroot, cochez la case qui se trouve près de cette option en haut de la fenêtre Post-Installation. Cette option correspond en fait à l'utilisation de l'option --nochroot dans la section %post.
Pour apporter des changements au système de fichiers nouvellement installé dans la section post-installation mais en dehors de l'environnement chroot, vous devez ajouter /mnt/sysimage/ au nom du répertoire.
Par exemple, si vous sélectionnez Exécuter en dehors de l'environnement chroot, l'exemple précédent doit être modifié de la façon indiquée ci-dessous :
echo "Hackers will be punished!" > /mnt/sysimage/etc/motd

14.11.2. Utilisation d'un interprète

Si vous souhaitez spécifier un langage de script à utiliser pour exécuter votre script, sélectionnez l'option Utiliser un interprète et entrez l'interprète dans la zone de texte à côté de cette option. Par exemple, vous pouvez spécifier /usr/bin/python2.2 pour un script Python. Cette option correspond en fait à l'utilisation de %post --interpreter /usr/bin/python2.2 dans votre fichier kickstart.

Partie IV. After installation

This part of the Fedora Installation Guide covers finalizing the installation, as well as some installation-related tasks that you might perform at some time in the future. These include:
  • using a Fedora installation disk to rescue a damaged system.
  • upgrading to a new version of Fedora.
  • removing Fedora from your computer.

Chapitre 15. Firstboot

Firstboot launches the first time that you start a new Fedora system. Use Firstboot to configure the system for use before you log in.
Firstboot welcome screen
Firstboot welcome screen
Figure 15.1. Firstboot welcome screen

Select Forward to start the Firstboot.

Interface graphique requise

Firstboot requires a graphical interface. If you did not install one, or if Fedora has trouble starting it, you may see a slightly different setup screen.

15.2. Utilisateur système

Créez-vous un utilisateur avec cet écran. Utilisez toujours ce compte pour vous connecter à votre système Fedora plutôt que d'utiliser le compte root.
Firstboot create user screen
Firstboot create user screen
Figure 15.3. Firstboot create user screen

Enter a user name and your full name, and then enter your chosen password. Type your password once more in the Confirm Password box to ensure that it is correct. Refer to Section 7.17, « Set the Root Password » for guidelines on selecting a secure password.

Créer des comptes utilisateur supplémentaires

To add additional user accounts to your system after the installation is complete, choose SystemAdministrationUsers & Groups.
Pour configurer Fedora afin d'utiliser les services réseau d'authentification ou d'information utilisateur, choisissez Utiliser une authentification réseau....

15.3. Date et heure

If your system does not have Internet access or a network time server, manually set the date and time for your system on this screen. Otherwise, use NTP (Network Time Protocol) servers to maintain the accuracy of the clock. NTP provides time synchronization service to computers on the same network. The Internet contains many computers that offer public NTP services.

Choisissez l'onglet Network Time Protocol afin de configurer votre système pour utiliser un serveur NTP.

Paramétrer l'horloge

To change these settings later, choose SystemAdministrationDate & Time.
Pour configurer votre système pour utiliser des serveurs de temps réseau, choisissez l'option Activer le protocole de synchronisation de réseau . Cette option désactive les paramètres de l'onglet Date et heure et active les autres paramètres sur cet écran.
Firstboot Network Time Protocol screen
Firstboot Network Time Protocol screen
Figure 15.5. Firstboot Network Time Protocol screen

Par défaut, Fedora est configurée pour utiliser trois groupes séparés, ou pools, de serveur de temps. Les groupes de serveurs de temps permettent la redondance, donc si un serveur est indisponible, votre système se synchronise avec un autre.
Pour utiliser un serveur de temps supplémentaire, choisissez Ajouter, et entrez le nom du serveur dans le champ. Pour enlever un serveur ou un groupe de serveurs de la liste, choisissez son nom et cliquez sur Supprimer.
Si votre machine est toujours connectée à internet via une connexion câblée, sélectionnez l'option Synchroniser l'horloge système avant de démarrer le service. Cette option peut entraîner un court délais lors du démarrage mais permet d'avoir une heure système précise même si l'heure est vraiment fausse avant le démarrage.

Les ordinateurs portables et NTP

N'utilisez pas cette option dur des ordinateurs portables utilisant occasionnellement des réseaux sans-fils.
Si l'horloge interne de votre ordinateur est trop imprécise, vous devrez désactiver votre source de temps locale. Pour cela, choisissez Montrer les options avancées et décochez l'option Utiliser source de temps locale. Si vous désactivez votre source de temps locale, les serveurs NTP auront la priorité sur l'horloge interne.
Si vous activez l'option avancée Activer la diffusion NTP Fedora essaye de localiser automatiquement les serveurs de temps du réseau.
Firstboot hardware profile screen
Firstboot hardware profile screen
Figure 15.6. Firstboot hardware profile screen

To opt in to this important work, select Send Profile. If you choose not to submit any profile data, do not change the default. Select Finish to continue to the login screen.

Mettre à jour votre système

Pour assurer la sécurité de votre système, exécutez une mise à jour des paquets après la fin de l'installation. Le Chapitre 16, Vos prochaines étapes vous explique comment mettre à jour votre système Fedora.

Chapitre 16. Vos prochaines étapes

Fedora fournit un système d'exploitation complet avec un vaste champ de possibilités, soutenu par une grande communauté.

16.1. Mettre à jour votre système

Le Projet Fedora met à disposition des paquets logiciels mis à jour pour Fedora tout au long de la période de support de chaque version. Les paquets mis à jour apportent de nouvelles fonctionnalités, améliorent la fiabilité, corrigent des bogues, ou suppriment des failles de sécurité. Pour vous assurer de la sécurité de votre système, mettez-le à jour régulièrement et dès que possible après qu'une faille de sécurité soit publiée. Consultez la Section 16.4, « Souscrire aux services d'informations et de nouvelles de Fedora » pour plus de renseignements sur les services d'informations de Fedora.
Un applet de mise à jour vous informe des mises à jour lorsque celles-ci sont disponibles. Cet applet est installé par défaut sur Fedora. Il vérifie la présence de mises à jour sur tous les dépôts paramétrés et s'exécute comme service en arrière plan. Il génère une notification sur le bureau si des mises à jour sont disponibles, vous pouvez cliquer sur le message pour mettre à jour les logiciels de votre système.
To update your system with the latest packages manually, use Update System:

su -c 'yum update'
Refer to http://docs.fedoraproject.org/yum/ for more information on yum.

Connexion réseau nécessaire

Assurez-vous que votre système dispose d'une connexion réseau active avant de lancer Mise à jour des logiciels, ou l'utilitaire yum. Le processus de mise à jour télécharge des informations et des paquets depuis un réseau de serveurs.
If your Fedora system has a permanent network connection, you may choose to enable daily system updates. To enable automatic updates, follow the instructions on the webpage http://docs.fedoraproject.org/yum/sn-updating-your-system.html.

16.2. Finaliser une mise à niveau

Mises à jour systèmes recommandées

Une fois que vous avez redémarré votre système après une mise à niveau, vous devriez aussi procéder à une mise à jour manuelle du système. Consultez Section 16.1, « Mettre à jour votre système » pour plus d'informations.
Si vous choisissez de mettre votre système à niveau à partir d'une version précédente plutôt que de procéder à une installation fraîche, vous pouvez vouloir examiner les différences dans l'ensemble de paquets. Section 7.14.2, « Mettre à jour en utilisant l'installeur » vous conseille de créer une liste des paquet de votre système original. Vous pouvez dès à présent utiliser cette liste pour déterminer comment rapprocher votre nouveau système de l'ancien.
La plupart des configurations des dépôts logiciels sont stockées dans des paquets qui terminent par le terme release. Vérifier votre ancienne liste de paquet pour connaitre les dépôts qui y étaient installés :
awk '{print $1}' ~/old-pkglist.txt | grep 'release$'
Si nécessaire, retrouvez et installez ces paquets de dépôt logiciel depuis leur source original sur Internet. Suivez les instructions du site d'origine pour installer le paquet de configuration du dépôt afin de l'utiliser avec yum et d'autres outils de gestion de logiciels sur votre système Fedora.
Lancez ensuite les commandes suivantes pour générer une liste des autres paquets manquant :
awk '{print $1}' ~/old-pkglist.txt | sort | uniq > ~/old-pkgnames.txt
rpm -qa --qf '%{NAME}\n' | sort | uniq > ~/new-pkgnames.txt
diff -u ~/old-pkgnames.txt ~/new-pkgnames.txt | grep '^-' | sed 's/^-//' > /tmp/pkgs-to-install.txt
Utilisez maintenant /tmp/pkgs-to-install.txt avec la commande yum pour restaurer la plupart de vos anciens logiciels :
su -c 'yum install `cat /tmp/pkgs-to-install.txt`'

Logiciels Manquants

Du fait de changements dans les paquets entre deux sorties de Fedora, il est possible que cette méthode ne restaure pas tous les logiciels sur votre système. Vous pouvez utiliser la routine ci-dessus pour comparer les logiciels sur votre système, et remédier à tout problème que vous trouveriez.

16.3. Passer à une identification graphique.

Si vous avez installé en utilisant une identification texte et que vous désirez passer à une identification graphique, suivez cette procédure.
  1. Passer des utilisateurs au compte root :
    su -
    
    Fournissez le mot de passe administrateur lorsque demandé.
  2. Si vous ne l'avez pas encore fait, installez l'un des environnements de bureau graphiques. Par exemple, pour installer l'environnement de bureau GNOME, utilisez cette commande :
    yum groupinstall "GNOME Desktop Environment"
    
    Cette étape peut prendre un certain temps car votre système Fedora télécharge et installe des logiciels supplémentaires. Il est possible que votre média d'installation vous soit demandé, en fonction de votre source d'installation original.
  3. Éxécuter la commande suivante pour éditer le fichier /etc/inittab :
    nano /etc/inittab
    
  4. Trouvez la ligne contenant le texte initdefault. Changer le nombre de 3 à 5.
  5. Appuyez sur Ctrl+O pour écrire le fichier sur le disque, et appuyez ensuite sur Ctrl+X pour quitter le programme.
  6. Entrer exit pour quitter le compte administrateur.
Si vous le désirez, vous pouvez redémarrer votre système en utilisant la commande reboot. Votre système redémarrera et vous présentera une étape d'identification graphique.
Si vous rencontrez un problème quelconque avec l'identification graphique, consultez l'une des sources d'aide listées dans Section 1.2, « Obtenir de l'aide supplémentaire ».

16.4. Souscrire aux services d'informations et de nouvelles de Fedora

Pour recevoir des informations concernant les mises à jour de paquets, souscrivez soit à la liste de diffusion d'informations de Fedora soit aux flux RSS.
Liste de diffusion d'informations du Projet Fedora
Flux RSS du Projet Fedora
La liste de diffusion donne également des nouvelles sur le Projet et la communauté Fedora.

Annonces de sécurité

Les annonces avec le mot-clé [SECURITY] dans le titre identifient les mises à jour de paquets qui résolvent des failles de sécurité.

16.5. Trouver de la documentation et du support technique

Members of the Fedora community provide support through mailing lists, Web forums and Linux User Groups (LUGs) across the world.
The Web site for the formally endorsed forums is http://forums.fedoraforum.org/.
Les ressources suivantes fournissent des informations sur différents aspects de Fedora :
Many other organizations and individuals also provide tutorials and HOWTOs for Fedora on their Web sites. You can locate information on any topic by using Google's Linux search site, located at http://www.google.com/linux.

16.6. Adhérer à la communauté Fedora

Le Projet Fedora est dirigé par les personnes qui y contribuent. Les membres de la communauté proposent du support et de la documentation aux autres utilisateurs, aident à l'amélioration des logiciels inclus dans Fedora et développent de nouveaux logiciels en collaboration avec les programmeurs employés par Red Hat. Les résultats de ce travail sont disponibles à tous.
Pour faire une différence, commencez ici :

Chapitre 17. Restauration de base du système

En cas de problèmes, vous pouvez compter sur un certain nombre de méthodes pour vous aider à les résoudre. Toutefois, il est nécessaire de bien connaître le système pour pouvoir les utiliser. Ce chapitre illustre d'une part, les différentes façons qui vous permettent d'effectuer le démarrage en mode de secours et en mode mono-utilisateur et, d'autre part, la manière d'utiliser vos propres connaissances pour réparer le système.

17.1. Problèmes courants

Il se peut que, pour l'une des raisons suivantes, vous deviez démarrer votre système dans l'un de ces modes de restauration :
  • You are unable to boot normally into Fedora (runlevel 3 or 5).
  • Vous rencontrez des problèmes logiciels et matériels et vous souhaitez retirer un certain nombre de fichiers importants du disque dur de votre système.
  • Vous avez oublié le mot de passe super-utilisateur (ou root).
Rescue mode provides the ability to boot a small Fedora environment entirely from CD-ROM, or some other boot method, instead of the system's hard drive.
As the name implies, rescue mode is provided to rescue you from something. During normal operation, your Fedora system uses files located on your system's hard drive to do everything — run programs, store your files, and more.
However, there may be times when you are unable to get Fedora running completely enough to access files on your system's hard drive. Using rescue mode, you can access the files stored on your system's hard drive, even if you cannot actually run Fedora from that hard drive.
  • By booting the system from an installation boot CD-ROM or DVD.
  • En démarrant le système à partir d'autres médias d'installation, tels que les périphériques flash USB.
  • By booting the system from the Fedora CD-ROM #1 or DVD.
Une fois que vous avez démarré à l'aide de l'une des méthodes décrites ci-dessus, ajoutez le mot-clé rescue en tant que paramètre du noyau. Par exemple, pour un système x86, entrez la commande suivante à l'invite de démarrage de l'installation :
linux rescue
You are prompted to answer a few basic questions, including which language to use. It also prompts you to select where a valid rescue image is located. Select from Local CD-ROM, Hard Drive, NFS image, FTP, or HTTP. The location selected must contain a valid installation tree, and the installation tree must be for the same version of Fedora as the Fedora disk from which you booted. If you used a boot CD-ROM or other media to start rescue mode, the installation tree must be from the same tree from which the media was created. For more information about how to setup an installation tree on a hard drive, NFS server, FTP server, or HTTP server, refer to the earlier section of this guide.
Si vous sélectionnez une image de secours qui ne nécessite pas de connexion réseau, le système vous demandera de préciser si vous souhaitez ou non, établir une connexion réseau. Cette dernière est utile si vous devez sauvegarder des fichiers sur un ordinateur différent ou si vous devez installer certains paquetages RPM à partir d'un emplacement réseau partagé, par exemple.
Le message suivant est affiché :
The rescue environment will now attempt to find your Linux installation and mount it under the directory /mnt/sysimage. You can then make any changes required to your system. If you want to proceed with this step choose 'Continue'. You can also choose to mount your file systems read-only instead of read-write by choosing 'Read-only'. If for some reason this process fails you can choose 'Skip' and this step will be skipped and you will go directly to a command shell.
Si vous sélectionnez Continuer, il essaiera de monter votre système de fichiers sous le répertoire /mnt/sysimage/. S'il ne parvient pas à monter une partition, il vous en informera. Si vous sélectionnez Lecture-seule, il essaiera de monter votre système de fichiers sous le répertoire /mnt/sysimage/, mais en mode lecture seule. Si vous sélectionnez Ignorer, votre système de fichiers ne sera pas monté. Choisissez Ignorer si vous craignez que votre système de fichiers ne soit corrompu.
Une fois le système en mode de secours, l'invite suivante apparaît sur les consoles virtuelles (ou CV) 1 et 2 (utilisez la combinaison de touches Ctrl-Alt-F1 pour accéder à la CV 1 et Ctrl-Alt-F2 pour accéder à la CV 2) :
sh-3.00b#
Si vous avez sélectionné Continuer pour monter vos partitions de façon automatique et que vos partitions ont effectivement été montées, vous vous trouverez dans le mode mono-utilisateur.
Même si votre système de fichiers est monté, la partition root par défaut, sous le mode de secours, est une partition root temporaire, et non pas la partition root du système de fichiers utilisé durant un mode utilisateur normal (niveau d'exécution 3 ou 5). Si vous avez sélectionné de monter votre système de fichiers et si il est monté avec succès, vous pouvez changer la partition root de l'environnement du mode de secours à la partition root de votre système de fichiers en exécutant la commande suivante :
chroot /mnt/sysimage
Ceci est utile si vous devez exécuter des commandes comme rpm qui nécessite que votre partition root soit montée en tant que /. Pour quitter l'environnement chroot, tapez exit pour revenir à l'invite.
Si vous avez sélectionné Ignorer, vous pouvez toujours essayer de monter une partition ou un volume logique LVM2 manuellement dans un mode de secours, en créant un répertoire comme /foo et en tapant la commande suivante :
mount -t ext4 /dev/mapper/VolGroup00-LogVol02 /foo
In the above command, /foo is a directory that you have created and /dev/mapper/VolGroup00-LogVol02 is the LVM2 logical volume you want to mount. If the partition is of type ext2 or ext3 replace ext4 with ext2 or ext3 respectively.
Si vous ne connaissez pas les noms de toutes les partitions physiques, affichez-les à l'aide de la commande ci-dessous :
fdisk -l
Si vous ne connaissez pas les noms de tous les volumes physiques LVM2, groupes de volume ou volumes logiques, affichez-les à l'aide de la commande suivante :
pvdisplay
vgdisplay
lvdisplay
Depuis l'invite, vous pouvez exécuter de nombreuses commandes utiles, comme :
  • ssh, scp et ping si le réseau est démarré
  • dump et restore pour effectuer ces tâches, si les utilisateurs disposent de lecteurs de bandes
  • parted et fdisk pour effectuer la gestion des partitons
  • rpm pour effectuer l'installation ou la mise à niveau de logiciels
  • joe pour éditer les fichiers de configuration

    Note

    Si vous essayez de démarrer d'autres éditeurs populaires tels que emacs, pico ou vi, l'éditeur joe démarre.
L'un des avantages du mode mono-utilisateur est qu'il ne nécessite pas de CD-ROM de démarrage ; toutefois, il ne vous donne pas la possibilité de monter des systèmes de fichiers en lecture-seule et parfois même, ne vous permet pas de les monter du tout.
Si votre système démarre, mais ne vous permet pas de vous connecter lorsque le démarrage est terminé, essayez le mode mono-utilisateur.
Dans un mode mono-utilisateur, votre ordinateur démarre au niveau d'exécution 1. Vos systèmes de fichiers locaux sont montés, mais votre réseau n'est pas activé. Vous avez un shell utilisable permettant la maintenance de votre système. Contrairement au mode de secours, le mode mono-utilisateur essaie automatiquement de monter votre système de fichiers ; n'utilisez pas un mode mono-utilisateur si votre système de fichiers ne peut pas être monté correctement.. Vous ne pouvez pas utiliser un mode mono-utilisateur si le niveau d'exécution 1 sur votre système est corrompu.
Sur un système x86 utilisant GRUB comme chargeur de démarrage, suivez les étapes suivantes pour démarrer en mode mono-utilisateur :
  1. Appuyez sur une touche quelconque, lorsque l'écran menu de GRUB apparaît au démarrage, pour accéder au menu interactif de GRUB.
  2. Select Fedora with the version of the kernel that you wish to boot and type a to append the line.
  3. Allez à la fin de la ligne et entrez single comme mot séparé (appuyez sur la Barre espace et ensuite tapez single). Appuyez sur Entrée pour sortir du mode de modification.


[4] Pour de plus amples informations, reportez-vous aux sections précédentes de ce guide.

Chapitre 18. Mise à niveau du système actuel

This chapter explains the various methods available for upgrading your Fedora system.

18.1. Choix entre mise à niveau et réinstallation

While upgrading from Fedora 10 is supported, you are more likely to have a consistent experience by backing up your data and then installing this release of Fedora 11 over your previous Fedora installation.
To upgrade from Fedora 10 you should bring your system up to date before performing the upgrade.

Important

It is not possible to upgrade directly from Fedora 9 to Fedora 11. To upgrade Fedora 9 to Fedora 11, upgrade to Fedora 10 first.
Cette méthode de réinstallation recommandée permet d'assurer la meilleure stabilité de système possible.
If you currently use Fedora 10, you can perform a traditional, installation program-based upgrade.
Toutefois, avant de choisir de mettre à niveau votre système, vous devriez considérer les éléments suivants :
  • Les fichiers de configuration de paquetages individuels peuvent fonctionner comme ne pas fonctionner après une mise à niveau à cause des modifications dans différents formats ou structures de fichiers de configuration.
  • If you have one of Red Hat's layered products (such as the Cluster Suite) installed, it may need to be manually upgraded after the upgrade has been completed.
  • Les applications tiers ou ISV peuvent ne pas fonctionner correctement après la mise à niveau.
La mise à niveau du système permet d'installer des versions mises à jours des paquetages actuellement installés sur votre ordinateur.
Le processus de mise à niveau préserve les fichiers de configuration existants en les renommant avec une extension .rpmsave (par exemple, sendmail.cf.rpmsave). Ce processus crée également un journal des opérations effectuées dans /root/upgrade.log.

Warning

Il est possible que les formats des fichiers de configuration changent parallèlement à l'évolution des logiciels. Il est très important de comparer soigneusement les fichiers de configuration d'origine aux nouveaux fichiers, avant d'intégrer les modifications.

Note

Il est vivement recommandé de toujours effectuer une copie de sauvegarde de toutes les données présentes sur vos systèmes. Par exemple, si vous effectuez une mise à niveau ou créez un système à double démarrage, vous devriez sauvegarder toute donnée que vous souhaitez conserver sur votre ou vos disque(s) dur(s). On n'est jamais à l'abri d'une erreur pouvant entraîner la perte de toutes les données.
Certains paquetages mis à niveau peuvent nécessiter l'installation d'autres paquetages pour pouvoir fonctionner correctement. Si vous décidez de personnaliser vos paquetages en les mettant à niveau, vous serez peut-être invité à résoudre des problèmes de dépendances. Dans le cas contraire, la procédure de mise à niveau se charge de ces dépendances, mais il sera peut être nécessaire d'installer des dépendances supplémentaires ne se trouvant pas sur le système actuel.
Selon la manière dont vous avez partitionné votre système, il se peut que le programme de mise à niveau vous demande d'ajouter un fichier swap supplémentaire. Si le programme de mise à niveau ne détecte pas un fichier swap d'une taille deux fois supérieure à votre mémoire vive, il vous demandera si vous souhaitez ajouter un nouveau fichier swap. Si votre système n'a pas beaucoup de RAM (moins de 256 Mo), nous vous conseillons d'ajouter ce fichier swap.

Chapitre 19. Removing Fedora

We respect your freedom to choose an operating system for your computer. This section explains how to uninstall Fedora.

These instructions may destroy data!

If you have data from Fedora that you want to keep, back it up before you proceed. Write your data to CD, DVD, external hard disk, or other storage device.
As a precaution, also back up data from any other operating systems that are installed on the same computer. Mistakes do happen and can result in the loss of all your data.
If you back up data from Fedora to be used later in another operating system, make sure that the storage medium or device is readable by that other operating system. For example, without extra third-party software, Microsoft Windows cannot read an external hard drive that you have formatted with Fedora to use the ext2, ext3, or ext4 file system.
To uninstall Fedora from your x86-based system, you must remove the Fedora boot loader information from your master boot record (MBR) and remove any partitions that contain the operating system. The method for removing Fedora from your computer varies, depending on whether Fedora is the only operating system installed on the computer, or whether the computer is configured to dual-boot Fedora and another operating system.

Legacy versions of Microsoft operating systems

Fdisk, the disk partitioning tool provided with MS-DOS and Microsoft Windows, is unable to remove the file systems used by Fedora. MS-DOS and versions of Windows prior to Windows XP (except for Windows 2000) have no other means of removing or modifying partitions. Refer to Section 19.3, « Replacing Fedora with MS-DOS or legacy versions of Microsoft Windows » for alternative removal methods for use with MS-DOS and these versions of Windows.

19.1. Fedora is the only operating system on the computer

If Fedora is the only operating system on your computer, use the installation media for the replacement operating system to remove Fedora. Examples of installation media include the Windows XP installation CD, Windows Vista installation DVD, Mac OS X installation CDs or DVD, or the installation CD, CDs, or DVD of another Linux distribution.
Note that some manufacturers of factory-built computers pre-installed with Microsoft Windows do not supply the Windows installation CD or DVD with the computer. The manufacturer may instead have supplied their own "system restore disk", or have included software with the computer that allowed you to create your own "system restore disk" when you first started the computer. In some cases, the system restore software is stored on a separate partition on the system's hard drive. If you cannot identify the installation media for an operating system that was pre-installed on your computer, consult the documentation supplied with the machine, or contact the manufacturer.
When you have located the installation media for your chosen operating system:
  1. Back up any data that you want to keep.
  2. Shut down the computer.
  3. Boot your computer with the installation disk for the replacement operating system.
  4. Follow the prompts presented during the installation process. Windows, OS X, and most Linux installation disks allow you to manually partition your hard drive during the installation process, or will offer you the option to remove all partitions and start with a fresh partition scheme. At this point, remove any existing partitions that the installation software detects or allow the installer to remove the partitions automatically. "System restore" media for computers pre-installed with Microsoft Windows might create a default partition layout automatically without input from you.

    Avertissement

    If your computer has system restore software stored on a partition on a hard drive, take care when removing partitions while installing an operating system from other media. Under these circumstances, you could destroy the partition holding the system restore software.

19.2. Your computer dual-boots Fedora and another operating system

If your computer is configured to dual-boot Fedora and another operating system, removing Fedora without removing the partitions containing the other operating system and its data is more complicated. Specific instructions for a number of operating systems are set out below. To keep neither Fedora nor the other operating system, follow the steps described for a computer with only Fedora installed: Section 19.1, « Fedora is the only operating system on the computer »

19.2.1. Your computer dual-boots Fedora and a Microsoft Windows operating system

19.2.1.1. Windows 2000, Windows Server 2000, Windows XP, and Windows Server 2003

Avertissement

Once you commence this process, your computer may be left in an unbootable state until you complete the entire set of instructions. Carefully read the steps below before beginning the removal process. Consider opening these instructions on another computer or printing them so that you have access to them at all times during the process.
This procedure relies on the Windows Recovery Console that loads from the Windows installation disk, so you will not be able to complete the procedure without access to this disk. If you start this procedure and do not complete it, you could leave your computer in a condition where you cannot boot it. The "system restore disk" supplied with some factory-built computers that are sold with Windows pre-installed on them might not include the Windows Recovery Console.
During the process outlined in these instructions, the Windows Recovery Console will prompt you for the Administrator password for your Windows system. Do not follow these instructions unless you know the Administrator password for your system or are certain that an Administrator password has never been created, even by the computer manufacturer.
  1. Remove the Fedora partitions
    1. Boot your computer into your Microsoft Windows environment.
    2. Click Start>Run..., type diskmgmt.msc and press Enter. The Disk Management tool opens.
      The tool displays a graphical representation of your disk, with bars representing each partition. The first partition is usually labeled NTFS and corresponds to your C: drive. At least two Fedora partitions will be visible. Windows will not display a file system type for these partitions, but may allocate drive letters to some of them.
    3. Right-click on one of the Fedora partitions, then click Delete Partition and click Yes to confirm the deletion. Repeat this process for the other Fedora partitions on your system. As you delete partitions, Windows labels the space on the hard drive previously occupied by those partitions as unallocated.
  2. Enable Windows to use the space on your hard drive vacated by Fedora (optional)

    Note

    This step is not required to remove Fedora from your computer. However, if you skip this step, you will leave part of your hard drive's storage capacity unusable by Windows. Depending on your configuration, this might be a a significant portion of the storage capacity of the drive.
    Decide whether to extend an existing Windows partition to use the extra space, or create a new Windows partition in that space. If you create new a Windows partition, Windows will allocate a new drive letter to it and will interact with it as if it is a separate hard drive.
    Extending an existing Windows partition

    Note

    The diskpart tool used in this step is installed as part of the Windows XP and Windows 2003 operating systems. If you are performing this step on a computer running Windows 2000 or Windows Server 2000, you can download a version of diskpart for your operating system from the Microsoft website.
    1. Click Start>Run..., type diskpart and press Enter. A command window appears.
    2. Type list volume and press Enter. Diskpart displays a list of the partitions on your system with a volume number, its drive letter, volume label, filesystem type, and size. Identify the Windows partition that you would like to use to occupy the space vacated on your hard drive by Fedora and take note of its volume number (for example, your Windows C: drive might be "Volume 0").
    3. Type select volume N (where N is the volume number for the Windows partition that you want to extend) and press Enter. Now type extend and press Enter. Diskpart now extends your chosen partition to fill the remaining space on your hard drive. It will notify you when the operation is complete.
    Adding a new Windows partition
    1. In the the Disk Management window, right-click on disk space that Windows labels as unallocated and select New Partition from the menu. The New Partition Wizard starts.
    2. Follow the prompts presented by the New Partition Wizard. If you accept the default options, the tool will create a new partition that fills all available space on the hard drive, assigns it the next available drive letter, and formats it with the NTFS file system.
  3. Restore the Windows bootloader
    1. Insert the Windows installation disk and restart your computer. As your computer starts, the following message will appear on the screen for a few seconds:
      Press any key to boot from CD
      
      Press any key while the message is still showing and the Windows installation software will load.
    2. When the Welcome to Setup screen appears, you can start the Windows Recovery Console. The procedure is slightly different on different versions of Windows:
      • On Windows 2000 and Windows Server 2000, press the R key, then the C key.
      • On Windows XP and Windows Server 2003, press the R key.
    3. The Windows Recovery Console scans your hard drives for Windows installations, and assigns a number to each one. It displays a list of Windows installations and prompts you to select one. Type the number corresponding to the Windows installation that you want to restore.
    4. The Windows Recovery Console prompts you for the Administrator password for your Windows installation. Type the Administrator password and press the Enter key. If there is no administrator password for this system, press only the Enter key.
    5. At the prompt, type the command fixmbr and press the Enter. The fixmbr tool now restores the Master Boot Record for the system.
    6. When the prompt reappears, type exit and press the Enter key.
    7. Your computer will restart and boot your Windows operating system.

19.2.1.2. Windows Vista and Windows Server 2008

Avertissement

Once you commence this process, your computer may be left in an unbootable state until you complete the entire set of instructions. Carefully read the steps below before beginning the removal process. Consider opening these instructions on another computer or printing them so that you have access to them at all times during the process.
This procedure relies on the Windows Recovery Environment that loads from the Windows installation disk and you will not be able to complete the procedure without access to this disk. If you start this procedure and do not complete it, you could leave your computer in a condition where you cannot boot it. The "system restore disk" supplied with some factory-built computers that are sold with Windows pre-installed on them might not include the Windows Recovery Environment.
  1. Remove the Fedora partitions
    1. Boot your computer into your Microsoft Windows environment.
    2. Click Start then type diskmgmt.msc into the Start Search box and press Enter. The Disk Management tool opens.
      The tool displays a graphical representation of your disk, with bars representing each partition. The first partition is usually labeled NTFS and corresponds to your C: drive. At least two Fedora partitions will be visible. Windows will not display a file system type for these partitions, but may allocate drive letters to some of them.
    3. Right-click on one of the Fedora partitions, then click Delete Partition and click Yes to confirm the deletion. Repeat this process for the other Fedora partitions on your system. As you delete partitions, Windows labels the space on the hard drive previously occupied by those partitions as unallocated.
  2. Enable Windows to use the space on your hard drive vacated by Fedora (optional)

    Note

    This step is not required to remove Fedora from your computer. However, if you skip this step, you will leave part of your hard drive's storage capacity unusable by Windows. Depending on your configuration, this might be a a significant portion of the storage capacity of the drive.
    Decide whether to extend an existing Windows partition to use the extra space, or create a new Windows partition in that space. If you create new a Windows partition, Windows will allocate a new drive letter to it and will interact with it as if it is a separate hard drive.
    Extending an existing Windows partition
    1. In the Disk Management window, right-click on the Windows partition that you want to extend and select Extend Volume from the menu. The Extend Volume Wizard opens.
    2. Follow the prompts presented by the Extend Volume Wizard. If you accept the defaults that it offers you, the tool will extend the selected volume to fill all available space on the hard drive.
    Adding a new Windows partition
    1. In the Disk Management window, right-click on disk space that Windows labels as unallocated and select New Simple Volume from the menu. The New Simple Volume Wizard starts.
    2. Follow the prompts presented by the New Simple Volume Wizard. If you accept the default options, the tool will create a new partition that fills all available space on the hard drive, assigns it the next available drive letter, and formats it with the NTFS file system.
  3. Restore the Windows bootloader
    1. Insert the Windows installation disk and restart your computer. As your computer starts, the following message will appear on the screen for a few seconds:
      Press any key to boot from CD or DVD
      
      Press any key while the message is still showing and the Windows installation software will load.
    2. In the Install Windows dialog, select a language, time and currency format, and keyboard type. Click Next
    3. Click Repair your computer.
    4. The Windows Recovery Environment (WRE) shows you the Windows installations that it can detect on your system. Select the installation that you want to restore, then click Next.
    5. Click Command prompt. A command window will open.
    6. Type bootrec /fixmbr and press Enter.
    7. When the prompt reappears, close the command window, then click Restart.
    8. Your computer will restart and boot your Windows operating system.

19.2.2. Your computer dual-boots Fedora and Mac OS X

The procedure to remove Fedora from a system that dual-boots Fedora and Mac OS X varies depending on whether you have installed Boot Camp on your computer:
You are not using Boot Camp on your computer
  1. Open the Disk Utility in /Applications/Utilities.
  2. Select the entry on the left for the disk volume containing Fedora.
  3. Click the Partition tab on the right side of the dialog.
  4. Select the Fedora partitions and click the minus button below the partition layout diagram.
  5. Resize your OS X partition to include the newly freed space.
You are using Boot Camp on your computer
  1. Open the Boot Camp Assistant in /Applications/Utilities.
  2. Select Create or remove a Windows partition and click Next.
  3. If your computer has a single internal disk, click Restore.
  4. If your computer has multiple internal disks, select the Linux disk, and then select Restore to a single Mac OS partition. Click Continue.

19.2.3. Your computer dual-boots Fedora and a different Linux distribution

Note

Because of the differences between the many different Linux distributions, these instructions are a general guide only. Specific details will vary according to your chosen distribution and the configuration of your particular computer. This example uses GParted as a partition editor and gedit as a text editor, but many other tools are available to perform these tasks. To follow these instructions exactly as written, install GParted and gedit.
  1. Remove Fedora partitions
    1. Boot the Linux version that you want to keep on your computer.
    2. Open GParted, either from a desktop menu or by typing gparted at the command line and pressing Enter.
    3. GParted displays the partitions that it detects on your computer, both as a graph and as a table.
      Right-click the Fedora partitions, then select Delete.
  2. Remove Fedora entries from your bootloader

    Example only

    These instructions assume that your system uses the GRUB bootloader. If you use a different bootloader (such as LILO) consult the documentation for that software to identify and remove Fedora entries from its list of boot targets and to ensure that your default operating system is correctly specified.
    1. At the command line, type su - and press Enter. When the system prompts you for the root password, type the password and press Enter.
    2. Type gedit /boot/grub/grub.conf and press Enter. This opens the grub.conf file in the gedit text editor.
    3. A typical Fedora entry in the grub.conf file consists of four lines:
      title Fedora (2.6.27.19-170.2.35.fc10.i686)
      root (hd0,1)
      kernel /vmlinuz-2.6.27.19-170.2.35.fc10.i686 ro root=UUID=04a07c13-e6bf-6d5a-b207-002689545705 rhgb quiet
      initrd /initrd-2.6.27.19-170.2.35.fc10.i686.img
      Exemple 19.1. Example Fedora entry in grub.conf

      Depending on the configuration of your system, there may be multiple Fedora entries in grub.conf, each corresponding to a different version of the Linux kernel. Delete each of the Fedora entries from the file.
    4. Grub.conf contains a line that specifies the default operating system to boot, in the format default=N where N is a number equal to or greater than 0. If N is set to 0, GRUB will boot the first operating system in the list. If N is set to 1, it will boot the second operating system, and so forth.
      Identify the entry for the operating system that you want GRUB to boot by default and note its place in the order within the list.
      Make sure that the default= line contains the number one below the number of your chosen default operating system in the list.
      Save the updated grub.conf file and close gedit
  3. Make space available to your operating system

    Note

    This step is not required to remove Fedora from your computer. However, if you skip this step, you will leave part of your hard drive's storage capacity unusable by your other Linux operating system. Depending on your configuration, this might be a a significant portion of the storage capacity of the drive.

    Note

    To carry out this step, you require live media for a Linux distribution, for example, the Fedora Live CD or the Knoppix DVD.
    The method to make the space freed by removing the Fedora partitions available to your other Linux operating system differs, depending on whether your chosen operating system is installed on disk partitions configured to use Logical Volume Management (LVM) or not.
    • If you do not use LVM
      1. Boot your computer from Linux live media, and install gparted if it is not already present.
      2. Open GParted, either from a desktop menu or by typing gparted at the command line and pressing Enter.
      3. GParted displays the partitions on your system both as a graph and as a table. Click on the partition that you want to extend to use the space freed by removing Fedora, and click the Resize/Move button.
      4. A new dialog opens, allowing you to specify a new size for the partition by entering it as numbers, or by dragging the sides of the graphical representation of the partition so that it fills the available space. Click the Resize/Move button in this dialog to confirm your choice.
      5. Back in the main GParted window, click Apply. Take note of the name of the partition that you just resized, for example, /dev/sda3.
      6. When GParted finishes resizing the partition, type e2fsck partition at a command line and press Enter, where partition is the partition that you just resized. For example, if you just resized /dev/sda3, you would type e2fsck /dev/sda3.
        Linux now checks the file system of the newly-resized partition.
      7. When the file system check finishes, type resize2fs partition at a command line and press Enter, where partition is the partition that you just resized. For example, if you just resized /dev/sda3, you would type resize2fs /dev/sda3.
        Linux now resizes your file system to fill the newly-resized partition.
      8. Restart your computer. The extra space is now available to your Linux installation.
    • If you use LVM
      1. Boot your computer from Linux live media and install gparted and lvm2 if they are not already present.
      2. Create a new partition in the free space on the disk
        1. Open GParted, either from a desktop menu or by typing gparted at the command line and pressing Enter.
        2. GParted displays the partitions on your system both as a graph and as a table. The space freed by removing Fedora is labeled unallocated. Right-click on the unallocated space and select New. Accept the defaults and GParted will create a new partition that fills the space available on the drive.
        3. Click Apply. GParted writes the changes to your hard drive. Take note of the name of the partition that you just created, and the name of the device that holds the partition. For example, you may have created /dev/sda3 on device /dev/sda.
      3. Change the partition type identifier
        1. Fdisk is a partitioning tool capable of preparing partitions for LVM. At a command line, type fdisk device and press Enter, where device is the name of the device on which you just created a partition. For example, fdisk /dev/sda.
        2. At the prompt Command (m for help):, press T and Enter to use fdisk to change a partition type.
        3. At the prompt Partition number (1-4):, type the number of the partition that you just created. For example, if you just created partition /dev/sda3, type the number 3 and press Enter. This identifies the partition whose type fdisk will change.
        4. At the prompt Hex code (type L to list codes):, type the code 8e and press Enter. This is the code for a Linux LVM partition.
        5. At the prompt Command (m for help):, press W and Enter. Fdisk writes the new type code to the partition and exits.
      4. Expand the volume group
        1. At the command prompt, type lvm and press Enter to start the lvm2 tool.
        2. At the lvm> prompt, type pvcreate partition and press Enter, where partition is the partition that you recently created. For example, pvcreate /dev/sda3. This creates /dev/sda3 as a physical volume in LVM.
        3. At the lvm> prompt, type vgextend VolumeGroup partition and press Enter, where VolumeGroup is the LVM volume group on which Linux is installed and partition is the partition that you recently created. For example, if Linux is installed on /dev/VolumeGroup00, you would type vgextend /dev/VolumeGroup00 /dev/sda3 to extend that volume group to include the physical volume at /dev/sda3.
        4. At the lvm> prompt, type lvextend -l +100%FREE LogVol and press Enter, where LogVol is the logical volume that contains your Linux filesystem. For example, to extend LogVol00 to fill the newly-available space in its volume group, VolGroup00, type lvextend -l +100%FREE /dev/VolGroup00/LogVol00.
        5. At the lvm> prompt, type exit and press Enter to exit lvm2
      5. Type e2fsck LogVol at the command line and press Enter, where LogVol is the logical volume that you just resized. For example, if you just resized /dev/VolumeGroup00/LogVol00, you would type e2fsck /dev/VolumeGroup00/LogVol00.
        Linux now checks the file system of the newly-resized logical volume.
      6. When the file system check finishes, type resize2fs LogVol at a command line and press Enter, where LogVol is the partition that you just resized. For example, if you just resized /dev/VolumeGroup00/LogVol00, you would type resize2fs /dev/VolumeGroup00/LogVol00.
        Linux now resizes your file system to fill the newly-resized logical volume.
      7. Restart your computer. The extra space is now available to your Linux installation.

19.3. Replacing Fedora with MS-DOS or legacy versions of Microsoft Windows

Sous DOS et Windows vous pouvez utiliser l'utilitaire fdisk de Windows pour créer un nouveau bloc de démarrage principal /mbr avec la balise non documenté. Ainsi, SEUL le bloc de démarrage principal sera réécrit pour que le démarrage s'effectue sur la partition DOS principale. La commande doit ressembler à l'extrait ci-dessous :
fdisk /mbr
Si vous devez supprimer Linux d'un disque dur et avez essayé de le faire à l'aide de fdisk, l'utilitaire DOS (Windows) par défaut, vous serez confronté au problème des partitions qui existent sans exister. La meilleure façon de supprimer des partitions non-DOS consiste à utiliser un outil reconnaissant les partitions autres que DOS.
To begin, insert the Fedora CD #1 and boot your system. Once you have booted off the CD, a boot prompt appears. At the boot prompt, type: linux rescue. This starts the rescue mode program.
You are prompted for your keyboard and language requirements. Enter these values as you would during the installation of Fedora.
Next, a screen appears telling you that the program attempts to find a Fedora install to rescue. Select Skip on this screen.
Après avoir choisi Ignorer, une invite de commande apparaît grâce à laquelle vous pourrez avoir accès aux partitions que vous souhaitez supprimer.
Saisissez tout d'abord la commande list-harddrives. Cette dernière renverra une liste de tous les disques durs de votre système que le programme d'installation peut identifier, ainsi que leur taille en méga-octets.

Warning

Be careful to remove only the necessary Fedora partitions. Removing other partitions could result in data loss or a corrupted system environment.
Pour supprimer des partitions, utilisez l'outil de partitionnement parted. Lancez parted comme dans l'exemple suivant, où /dev/hda correspond au périphérique sur lequel la partition doit être supprimée :
parted /dev/hda
À l'aide de la commande print, affichez la table actuelle des partitions afin de déterminer le numéro mineur de la partition à supprimer :
imprimer
The print command also displays the partition's type (such as linux-swap, ext2, ext3, ext4 and so on). Knowing the type of the partition helps you in determining whether to remove the partition.
Supprimez la partition à l'aide de la commande rm. Par exemple, pour supprimer la partition portant le numéro mineur 3, saisissez la commande suivante :
rm 3

Important

Les modifications sont mises en oeuvre dès que vous appuyez sur la touche [Entrée]. Il est donc fortement recommandé de minutieusement passer en revue la commande avant de l'exécuter.
Après avoir supprimé la partition, utilisez la commande print pour obtenir confirmation qu'elle a bien été retirée de la table de partitions.
Une fois que les partitions Linux ont été supprimées et que toutes les modifications nécessaires ont été apportées, saisissez quit pour quitter l'utilitaire parted.
Après avoir quitté parted, saisissez exit à l'invite boot afin de sortir du mode de secours et redémarrer le système au lieu de poursuivre l'installation. Le système devrait redémarrer automatiquement. Dans le cas contraire, il est possible de redémarrer l'ordinateur en utilisant Ctrl+Alt+Suppr.

Partie V. Technical appendixes

The appendixes in this section do not contain instructions that tell you how to install Fedora. Instead, they provide technical background that you might find helpful to understand the options that Fedora offers you at various points in the installation process.

Table des matières

A. Introduction aux partitions de disque
A.1. Concepts de base concernant le disque dur
A.1.1. Ce qui compte n'est pas tant ce que vous écrivez que la manière dont vous l'écrivez
A.1.2. Partitions : transformation d'un disque dur en plusieurs disques
A.1.3. Partitions à l'intérieur de partitions — Présentation des partitions étendues
A.1.4. Making Room For Fedora
A.1.5. Système de dénomination des partitions
A.1.6. Partitions de disque et autres systèmes d'exploitation
A.1.7. Partitions de disque et points de montage
A.1.8. Combien de partitions ?
B. ISCSI disks
B.1. iSCSI disks in anaconda
B.2. iSCSI disks during start up
C. Disk Encryption Guide
C.1. What is block device encryption?
C.2. Encrypting block devices using dm-crypt/LUKS
C.2.1. Overview of LUKS
C.2.2. How will I access the encrypted devices after installation? (System Startup)
C.2.3. Choosing a Good Passphrase
C.3. Creating Encrypted Block Devices in Anaconda
C.3.1. What Kinds of Block Devices Can Be Encrypted?
C.3.2. Limitations of Anaconda's Block Device Encryption Support
C.4. Creating Encrypted Block Devices on the Installed System After Installation
C.4.1. Create the block devices
C.4.2. Optional: Fill the device with random data
C.4.3. Format the device as a dm-crypt/LUKS encrypted device
C.4.4. Create a mapping to allow access to the device's decrypted contents
C.4.5. Create filesystems on the mapped device, or continue to build complex storage structures using the mapped device
C.4.6. Add the mapping information to /etc/crypttab
C.4.7. Add an entry to /etc/fstab
C.5. Common Post-Installation Tasks
C.5.1. Set a randomly generated key as an additional way to access an encrypted block device
C.5.2. Add a new passphrase to an existing device
C.5.3. Remove a passphrase or key from a device
D. Understanding LVM
E. Chargeur de démarrage GRUB
E.1. GRUB
E.1.1. GRUB et le processus de démarrage x86
E.1.2. Caractéristiques de GRUB
E.2. Installing GRUB
E.3. Terminologie relative à GRUB
E.3.1. Noms des périphériques
E.3.2. Noms de fichiers et listes des blocs
E.3.3. Le système de fichiers racine et GRUB
E.4. Interfaces GRUB
E.4.1. Ordre de chargement des interfaces
E.5. Commandes GRUB
E.6. Fichier de configuration du menu de GRUB
E.6.1. Structure des fichiers de configuration
E.6.2. Directives des fichiers de configuration
E.7. Changement de niveau d'exécution au démarrage
E.8. Ressources supplémentaires
E.8.1. Documentation installée
E.8.2. Sites Web utiles
E.8.3. Livres sur le sujet
F. Processus de démarrage, Init et arrêt
F.1. Processus de démarrage
F.2. Examen détaillé du processus de démarrage
F.2.1. Le BIOS
F.2.2. Le chargeur de démarrage
F.2.3. Le noyau
F.2.4. Le programme /sbin/init
F.3. Exécution de programmes supplémentaires au démarrage
F.4. Niveaux d'exécution de SysV Init
F.4.1. Niveaux d'exécution (Runlevels)
F.4.2. Utilitaires de niveaux d'exécution
F.5. Arrêt
G. Autre document technique

Introduction aux partitions de disque

Note

This appendix is not necessarily applicable to non-x86-based architectures. However, the general concepts mentioned here may apply.
This appendix is not necessarily applicable to non-x86-based architectures. However, the general concepts mentioned here may apply.
If you are reasonably comfortable with disk partitions, you could skip ahead to Section A.1.4, « Making Room For Fedora », for more information on the process of freeing up disk space to prepare for a Fedora installation. This section also discusses the partition naming scheme used by Linux systems, sharing disk space with other operating systems, and related topics.

A.1. Concepts de base concernant le disque dur

Les disques durs ont une fonction très simple — ils permettent de conserver des données et de les récupérer de façon fiable à la demande.
Disque dur non utilisé
Illustration d'un disque dur non utilisé
Figure A.1. Disque dur non utilisé

Comme vous pouvez le constater, il n'y a pas grand chose à voir. Mais étant donné que nous parlons ici de disques durs à un niveau élémentaire, ce schéma est tout à fait approprié. Imaginons que nous voulions stocker des données sur ce disque. Dans l'état actuel du disque dur, l'opération ne pourrait pas réussir. Avant de pouvoir stocker des données, il faut d'abord effectuer certaines tâches.

A.1.1. Ce qui compte n'est pas tant ce que vous écrivez que la manière dont vous l'écrivez

Les vétérans de l'informatique auront probablement vite compris. Il faut formater le disque. Le formatage (que l'on appelle habituellement "création d'un système de fichiers") écrit des informations sur le disque, organisant ainsi l'espace vide d'un disque non formaté.
Disque dur avec système de fichiers
Illustration d'un disque dur formaté
Figure A.2. Disque dur avec système de fichiers

Comme la Figure A.2, « Disque dur avec système de fichiers » l'indique, l'ordre imposé par un système de fichiers entraîne un certain nombre de compromis :
  • Un petit pourcentage de l'espace disponible sur le disque est utilisé pour stocker des données en rapport avec le système de fichiers et peut être considéré comme perdu.
  • Le système de fichiers fractionne l'espace restant en petits segments de taille égale. Dans l'univers Linux, ces segments sont appelés blocks. [5]
Étant donné que les systèmes de fichiers permettent l'existence de répertoires ainsi que de fichiers, ce type de compromis est généralement considéré comme un prix modique à payer.
It is also worth noting that there is no single, universal file system. As Figure A.3, « Disque dur avec un système de fichiers différent », shows, a disk drive may have one of many different file systems written on it. As you might guess, different file systems tend to be incompatible; that is, an operating system that supports one file system (or a handful of related file system types) may not support another. This last statement is not a hard-and-fast rule, however. For example, Fedora supports a wide variety of file systems (including many commonly used by other operating systems), making data interchange between different file systems easy.
Disque dur avec un système de fichiers différent
Illustration d'un disque dur avec un système de fichiers différent.
Figure A.3. Disque dur avec un système de fichiers différent

Naturellement, l'écriture d'un système de fichiers sur le disque n'est que le début. Ce processus a pour objectif de stocker et de récupérer des données. Voyons quel est l'aspect du disque après écriture de certains fichiers.
Disque dur sur lequel figurent des données
Illustration d'un disque dur sur lequel figurent des données
Figure A.4. Disque dur sur lequel figurent des données

Comme l'illustre la Figure A.4, « Disque dur sur lequel figurent des données », des blocs précédemment vides contiennent à présent des données. Il est impossible de déterminer le nombre de fichiers se trouvant sur cette unité ; il peut n'y en avoir qu'un seul ou plusieurs, étant donné que tous les fichiers utilisent au moins un bloc et que certains fichiers utilisent plusieurs blocs. Un autre point important est que les blocs utilisés n'ont pas la forme d'une zone continue ; les blocs utilisés et inutilisés peuvent être intercalés. C'est ce qu'on appelle la fragmentation. Celle-ci peut jouer un rôle en cas de tentative de redimensionner une partition existante.
Comme toutes les technologies en rapport avec l'informatique, les disques durs évoluent en permanence. Cela se traduit notamment par une augmentation de leur taille, non de leur taille physique, mais de leur capacité de stockage d'informations. C'est précisément ce gain de capacité qui a induit une évolution fondamentale dans le mode d'utilisation des disques durs.

A.1.2. Partitions : transformation d'un disque dur en plusieurs disques

Face à l'augmentation des capacités des disques durs, certaines personnes ont commencé à se demander si le fait de disposer de tout cet espace d'un seul tenant était une bonne idée. Ce point de vue était le fruit de plusieurs considérations tant philosophiques que techniques. Du point de vue philosophique, il apparaissait qu'au-delà d'une certaine taille, l'espace supplémentaire offert par un disque de plus grande capacité était également source de confusion. Sur le plan technique, certains systèmes de fichiers n'étaient pas conçus pour prendre en charge des disques d'une telle capacité ; ou alors, s'ils pouvaient le faire, la surcharge imposée par le système de fichiers pour assurer le suivi des fichiers devenait excessive.
La solution à ce problème consistait à diviser les disques en partitions. Chaque partition est accessible comme s'il s'agissait d'un disque distinct. Ceci est possible grâce à l'ajout d'une table des partitions.

Note

Même si les schémas de ce chapitre montrent la table des partitions comme étant distincte du disque dur réel, ce n'est pas rigoureusement exact. En réalité, elle est stockée au tout début du disque, avant tout système de fichiers et ou toute donnée de l'utilisateur. C'est par souci de clarté que nous l'avons séparée du reste de l'unité sur les schémas.
Disque dur avec table des partitions
Illustration d'un disque dur non utilisé avec table des partitions.
Figure A.5. Disque dur avec table des partitions

Comme l'indique la Figure A.5, « Disque dur avec table des partitions », la table des partitions est divisée en quatre sections ou quatre partitions primaires. Une partition primaire est une partition sur un disque dur qui peut contenir qu'un seul lecteur logique (ou section). Chaque section peut accueillir les informations nécessaires pour la définition d'une simple partition, ce qui signifie que la table des partitions ne peut pas définir plus de quatre partitions.
Chaque table des partitions contient un ensemble d'informations portant sur les caractéristiques importantes de la partition telles que :
  • les points du disque où la partition commence et se termine ;
  • le caractère " actif " ou non de la partition ;
  • le type de partition.
Examinons de plus près chacune de ces caractéristiques. Les points de début et de fin de la partition définissent en réalité sa taille ainsi que son emplacement physique sur le disque. L'indicateur "active" (pour activée) est utilisée par les chargeurs de démarrage de certains systèmes d'exploitation. Autrement dit, c'est le système d'exploitation se trouvant sur la partition marquée comme étant "active" qui sera démarré.
La notion de type de partition peut sembler un peu confuse. Le type est un nombre qui identifie l'utilisation prévue de la partition. Si cette définition semble un peu vague, c'est parce que la signification du concept de type de partition l'est également. Certains systèmes d'exploitation utilisent le type de partition pour indiquer un type de système de fichiers spécifique, marquer la partition comme étant associée à un système d'exploitation donné, indiquer que la partition contient un système d'exploitation amorçable, voire une combinaison des trois.
Maintenant, vous vous demandez peut-être comment toute cette complexité supplémentaire est normalement utilisée. Reportez-vous à la Figure A.6, « Disque dur avec partition unique » pour un exemple.
Disque dur avec partition unique
Illustration d'un disque dur ayant une seule partition
Figure A.6. Disque dur avec partition unique

Très souvent, une seule partition occupe tout le disque, ce qui correspond principalement à la méthode utilisée avant l'existence des partitions. La table des partitions n'utilise qu'une seule entrée pointant sur le début de la partition.
Nous avons classé cette partition parmi celles de type "DOS". Bien qu'il ne s'agisse que de l'un des différents types de partitions possibles listés dans le Tableau A.1, « Partition Types », cette qualification est adéquate dans le cadre de cette présentation.
Tableau A.1, « Partition Types ». Ce tableau contient la liste de quelques types de partitions courants (et obscurs), avec leurs valeurs numériques hexadécimales.
Partition Type Value Partition Type Value
Empty 00 Novell Netware 386 65
DOS 12-bit FAT 01 PIC/IX 75
XENIX root 02 Old MINIX 80
XENIX usr 03 Linux/MINUX 81
DOS 16-bit <=32M 04 Linux swap 82
Extended 05 Linux native 83
DOS 16-bit >=32 06 Linux extended 85
OS/2 HPFS 07 Amoeba 93
AIX 08 Amoeba BBT 94
AIX bootable 09 BSD/386 a5
OS/2 Boot Manager 0a OpenBSD a6
Win95 FAT32 0b NEXTSTEP a7
Win95 FAT32 (LBA) 0c BSDI fs b7
Win95 FAT16 (LBA) 0e BSDI swap b8
Win95 Extended (LBA) 0f Syrinx c7
Venix 80286 40 CP/M db
Novell 51 DOS access e1
PPC PReP Boot 41 DOS R/O e3
GNU HURD 63 DOS secondary f2
Novell Netware 286 64 BBT ff
Tableau A.1. Partition Types

Naturellement, avec le temps, il est devenu évident que quatre partitions ne suffiraient pas. Étant donné l'augmentation de la capacité des unités de disque, il devenait possible de configurer quatre partitions de taille raisonnable tout en ayant encore de l'espace libre sur le disque. Il fallait trouver un moyen de créer davantage de partitions.
Entrer dans la partition étendue. Comme indiqué dans le Tableau A.1, « Partition Types », il existe un type de partition "Etendue". Ce type de partition est au coeur des partitions étendues.
Lorsqu'une partition est créée et que son type est paramétré sur "Etendue", une table des partitions étendue est créée. Essentiellement, la partition étendue est comparable à un disque dur à part entière — elle comprend une table des partitions qui pointe sur une ou plusieurs partitions (désormais appelées partitions logiques, par opposition aux quatre partitions primaires) entièrement contenues dans la partition étendue elle-même. La Figure A.7, « Disque dur avec partition étendue » montre un disque dur avec une partition primaire et une partition étendue contenant deux partitions logiques (de même qu'une certaine quantité d'espace disque non partitionné).
Disque dur avec partition étendue
Illustration d'un disque dur ayant une partition étendue
Figure A.7. Disque dur avec partition étendue

Comme le montre cette illustration, il existe une différence entre une partition primaire et une partition logique — il ne peut y avoir que quatre partitions primaires, mais le nombre de partitions logiques est illimité. Cependant, vu la manière utilisée pour accéder aux partitions sous Linux, il n'est pas conseillé de définir plus de 12 partitions logiques sur un seul disque dur.
Now that we have discussed partitions in general, let us review how to use this knowledge to install Fedora.

A.1.4. Making Room For Fedora

Si vous tentez de repartitionner un disque dur, vous serez peut-être confronté à l'un des scénarios suivants :
  • de l'espace libre non partitionné est disponible ;
  • une partition non utilisée est disponible ;
  • de l'espace libre est disponible dans une partition utilisée
Examinons, dans l'ordre, chacun de ces scénarios.

Note

Keep in mind that the following illustrations are simplified in the interest of clarity and do not reflect the exact partition layout that you encounter when actually installing Fedora.

A.1.4.1. Utilisation de l'espace libre non partitionné

Disque dur avec de l'espace disque non partitionné
Illustration d'un disque dur avec de l'espace libre non partitionné, où 1 représente une partifion non définie avec de l'espace non attribué et 2 correspond à une partiton définie avec de l'espace attribué.
Figure A.8. Disque dur avec de l'espace disque non partitionné

Dans la Figure A.8, « Disque dur avec de l'espace disque non partitionné », 1 représente une partifion non définie avec de l'espace non attribué et 2 correspond à une partition définie avec de l'espace attribué.
A bien y regarder, un disque dur non utilisé s'inscrit également dans cette catégorie ; la seule différence réside dans le fait que tout l'espace disque ne fait pas partie d'une partition définie.
In any case, you can create the necessary partitions from the unused space. Unfortunately, this scenario, although very simple, is not very likely (unless you have just purchased a new disk just for Fedora). Most pre-installed operating systems are configured to take up all available space on a disk drive (refer to Section A.1.4.3, « Utilisation de l'espace libre d'une partition active »).
Examinons maintenant une situation un peu plus courante.

A.1.4.2. Utilisation de l'espace d'une partition non utilisée

Disque dur avec une partition inutilisée
Illustration d'un disque dur avec une partition non utilisée, où 1 correspond à une partition qui n'est pas utilisée et 2 représente la nouvelle attribution pour Linux d'une partition non utilisée.
Figure A.9. Disque dur avec une partition inutilisée

Dans la Figure A.9, « Disque dur avec une partition inutilisée », 1 correspond à une partition qui n'est pas utilisée et 2 représente la nouvelle attribution pour Linux d'une partition non utilisée.
Si vous vous trouvez dans cette situation, vous pouvez utiliser l'espace alloué à la partition non utilisée. Vous devrez tout d'abord supprimer la partition, puis créer à sa place la ou les partition(s) Linux appropriée(s). Vous pouvez supprimer la partition non utilisée et créer manuellement des partitions lors du processus d'installation.

A.1.4.3. Utilisation de l'espace libre d'une partition active

Il s'agit de la situation la plus courante. Il s'agit aussi, malheureusement, de la plus complexe. Le principal problème est que, même si vous avez suffisamment d'espace libre, il est actuellement alloué à une partition en cours d'utilisation. Si vous avez acheté un ordinateur avec des logiciels préinstallés, le disque dur a probablement une partition très importante contenant le système d'exploitation et les données.
Outre l'ajout d'un nouveau disque dur au système, vous avez deux possibilités :
Repartitionnement destructeur
Disque dur en cours de repartitionnement destructeur
Illustration d'un disque dur étant repartitionné de manière destructive, où 1 correspond à la situation avant l'opération et 2 à la situation après l'opération.
Figure A.10. Disque dur en cours de repartitionnement destructeur

Dans la Figure A.10, « Disque dur en cours de repartitionnement destructeur », 1 représente la situation avant l'opération et 2 la situation après l'opération.

Warning

Comme l'illustre la Figure A.10, « Disque dur en cours de repartitionnement destructeur » toutes les données présentes dans la partition d'origine seront perdues à défaut de sauvegarde appropriée !
Repartitionnement non destructeur
Comme l'illustre la Figure A.11, « Disque dur en cours de compression » la première étape consiste à comprimer les données dans la partition existante. Cela permet de réorganiser les données de façon à disposer d'un maximum d'espace libre disponible à la "fin" de la partition.
Disque dur en cours de compression
Illustration d'un disque dur en cours de compression, où 1 représente la situation avant l'opération et 2 la situation après l'opération.
Figure A.11. Disque dur en cours de compression

Dans la Figure A.11, « Disque dur en cours de compression », 1 représente la situation avant l'opération et 2 la situation après l'opération.
Cette étape est essentielle ; sans elle, il est possible que l'emplacement occupé par les données empêche le redimensionnement de la partition à la taille désirée. En outre, il est impossible de déplacer certaines données. Dans cette hypothèse (et ceci limite la taille des nouvelles partitions), vous risquez de devoir repartitionner votre disque de façon destructive.
A.1.4.3.2. Redimensionnement de la partition existante
Figure A.12, « Disque dur avec partition redimensionnée » montre le processus de redimensionnement réel. Si le résultat final de l'opération de redimensionnement varie en fonction du logiciel utilisé, le plus souvent, l'espace disque libéré est utilisé pour créer une partition non formatée du même type que la partition d'origine.
Disque dur avec partition redimensionnée
Illustration d'un disque dur avec une partition redimensionnée où1 représente la situation avant l'opération et 2 la situation après l'opération.
Figure A.12. Disque dur avec partition redimensionnée

Dans la Figure A.12, « Disque dur avec partition redimensionnée », 1 représente la situation avant l'opération et 2 la situation après l'opération.
Il est important de comprendre ce que le logiciel de redimensionnement utilisé libère de l'espace libéré de manière à pouvoir prendre les mesures appropriées. Dans le cas que nous avons illustré, il serait préférable de supprimer simplement la nouvelle partition DOS et de créer la ou les partition(s) Linux appropriée(s).
A.1.4.3.3. Création d'une/de nouvelle(s) partition(s).
Comme l'impliquait l'étape précédente, il peut être ou non nécessaire de créer de nouvelles partitions. Toutefois, à moins que votre logiciel de redimensionnement ne tienne compte de Linux, vous devrez probablement supprimer la partition créée durant le processus de redimensionnement. La Figure A.13, « Disque dur avec configuration de partition finale » illustre cette procédure.
Disque dur avec configuration de partition finale
Illustration d'un disque dur avec la configuration finale des partitions, 1 représente la situation avant l'opératon et 2 la situation après.
Figure A.13. Disque dur avec configuration de partition finale

Dans la Figure A.13, « Disque dur avec configuration de partition finale », 1 représente la situation avant l'opération et 2 la situation après l'opération.

Note

Les informations suivantes sont spécifiques aux ordinateurs utilisant un processeur x86.
Pour plus de commodité pour nos clients, nous fournissons l'utilitaire parted Ce programme, disponible de manière libre, permet de redimensionner les partitions.
Si vous décidez de repartionner votre disque dur avec parted, il est important d'une part, que vous disposiez de bonnes connaissances quant au stockage disque et d'autre part, que vous effectuiez une sauvegarde des données présentes sur votre ordinateur. Vous devriez faire deux copies de sauvegarde de toutes les données importantes figurant sur votre ordinateur. Stockez ces copies sur des supports amovibles (tels qu'une bande ou une disquette) et assurez-vous que les données sauvegardées sont accessibles avant de poursuivre.
Should you decide to use parted, be aware that after parted runs you are left with two partitions: the one you resized, and the one parted created out of the newly freed space. If your goal is to use that space to install Fedora, you should delete the newly created partition, either by using the partitioning utility under your current operating system or while setting up partitions during installation.
Linux fait référence aux partitions de disque à l'aide d'une combinaison de lettres et de chiffres, ce qui peut sembler peu clair, en particulier si vous êtes accoutumé à appeler par exemple "lecteur C" le disque dur et ses partitions. Voici comment les partitions sont nommées dans l'environnement DOS/Windows :
  • Chaque type de partition est vérifié afin de déterminer s'il peut être lu par DOS/Windows.
  • Si le type de partition est compatible, le système lui attribue une "lettre d'unité". La première lettre d'unité est "C", suivie des autres lettres en fonction du nombre de partitions à libeller.
  • Cette lettre peut être utilisée pour désigner cette partition de même que le système de fichiers figurant dans cette partition.
Fedora uses a naming scheme that is more flexible and conveys more information than the approach used by other operating systems. The naming scheme is file-based, with file names in the form of /dev/xxyN.
Voici comment déchiffrer le système de dénomination de partition :
/dev/
Ceci correspond au nom du répertoire dans lequel se trouvent tous les fichiers de périphériques. Étant donné que les partitions se trouvent sur des disques durs et que ceux-ci sont des périphériques, les fichiers représentant toutes les partitions possibles se situent dans /dev/.
xx
Les deux premières lettres du nom de la partition indiquent le type de périphérique sur lequel se trouve la partition. Il s'agira généralement de hd (pour les disques IDE) ou de sd (pour les disques SCSI).
y
Cette lettre indique le périphérique sur lequel se trouve la partition. Par exemple, /dev/hda (premier disque dur IDE) ou /dev/sdb (second disque SCSI).
N
Le nombre final désigne la partition. Les quatre premières partitions (primaires ou étendues) sont numérotées de 1 à 4. La numérotation des partitions logiques commence à 5. Par exemple, /dev/hda3 désigne la troisième partition primaire ou étendue du premier disque dur IDE ; /dev/sdb6 désigne la seconde partition logique du second disque dur SCSI.

Note

There is no part of this naming convention that is based on partition type; unlike DOS/Windows, all partitions can be identified under Fedora. Of course, this does not mean that Fedora can access data on every type of partition, but in many cases it is possible to access data on a partition dedicated to another operating system.
Keep this information in mind; it makes things easier to understand when you are setting up the partitions Fedora requires.
Un aspect que de nombreux débutants dans l'utilisation de Linux trouvent confus est la manière dont les partitions sont utilisées par le système d'exploitation Linux. Sous DOS/Windows, c'est relativement simple : si vous avez plusieurs partitions, une "lettre d'unité" est attribuée à chaque partition. Vous utilisez alors la lettre du lecteur pour faire référence aux fichiers et répertoires figurant sur la partition correspondante.
La façon dont Linux gère les partitions, et donc les disques en général, est complètement différente. La différence principale réside dans le fait que chaque partition est utilisée afin de former une partie du stockage nécessaire à la prise en charge d'un ensemble unique de fichiers et de répertoires. Pour ce faire, vous associez une partition à un répertoire dans le cadre d'un processus appelé montage. Le montage d'une partition rend son contenu disponible à partir d'un répertoire spécifié (appelé point de montage).
For example, if partition /dev/hda5 is mounted on /usr/, that would mean that all files and directories under /usr/ physically reside on /dev/hda5. So the file /usr/share/doc/FAQ/txt/Linux-FAQ would be stored on /dev/hda5, while the file /etc/gdm/custom.conf would not.
Si nous poursuivons avec notre exemple, il est également possible qu'un ou plusieurs répertoires sous /usr/ soient des points de montage pour d'autres partitions. Par exemple, une partition (disons /dev/hda7) pourrait être montée sur /usr/local/, ce qui signifie que /usr/local/man/whatis se trouverait alors sur /dev/hda7 plutôt que sur /dev/hda5.


[5] Les blocs sont dimensionnés de façon uniforme, contrairement à ce que semblent indiquer nos illustrations. Gardez à l'esprit qu'une unité moyenne de disque contient des milliers de blocs. Cependant, dans le cadre de cette présentation , veuillez ignorer ces détails.

ISCSI disks

Internet Small Computer System Interface (iSCSI) is a protocol that allows computers to communicate with storage devices by SCSI requests and responses carried over TCP/IP. Because iSCSI is based on the standard SCSI protocols, it uses some terminology from SCSI. The device on the SCSI bus to which requests get sent (and which answers these requests) is known as the target and the device issuing requests is known as the initiator. In other words, an iSCSI disk is a target and the iSCSI software equivalent of a SCSI controller or SCSI Host Bus Adapter (HBA) is called an initiator. This appendix only covers Linux as an iSCSI initiator: how Linux uses iSCSI disks, but not how Linux hosts iSCSI disks.
Linux has a software iSCSI initiator in the kernel that takes the place and form of a SCSI HBA driver and therefore allows Linux to use iSCSI disks. However, as iSCSI is a fully network-based protocol, iSCSI initiator support needs more than just the ability to send SCSI packets over the network. Before Linux can use an iSCSI target, Linux must find the target on the network and make a connection to it. In some cases, Linux must send authentication information to gain access to the target. Linux must also detect any failure of the network connection and must establish a new connection, including logging in again if necessary.
The discovery, connection, and logging in is handled in userspace by the iscsiadm utility, and the error handling is also handled in userspace by iscsid.
Both iscsiadm and iscsid are part of the iscsi-initiator-utils package under Fedora.

B.1. iSCSI disks in anaconda

Anaconda can discover (and then log in to) iSCSI disks in two ways:
  1. When anaconda starts, it checks if the BIOS or add-on boot ROMs of the system support iSCSI Boot Firmware Table (iBFT), a BIOS extension for systems which can boot from iSCSI. If the BIOS supports iBFT, anaconda will read the iSCSI target information for the configured boot disk from the BIOS and log in to this target, making it available as an installation target.
  2. The initial partitioning screen presents you with an Advanced storage configuration button that allows you to add iSCSI target information like the discovery IP-address. Anaconda will probe the given IP-address and log in to any targets that it finds. See Section 7.19, « Advanced Storage Options  » for the details that you can specify for iSCSI targets.
While anaconda uses iscsiadm to find and log into iSCSI targets, iscsiadm automatically stores any information about these targets iscsiadm iSCSI database. Anaconda then copies this database to the installed system and marks any iSCSI targets not used for / so that the system will automatically log in to them when it starts. If / is placed on an iSCSI target, initrd will log into this target and anaconda does not include this target in start up scripts to avoid multiple attempts to log into the same target.
If / is placed on an iSCSI target, anaconda sets NetworkManager to ignore any network interfaces that were active during the installation process. These interfaces will also be configured by initrd when the system starts. If NetworkManager were to reconfigure these interfaces, the system would lose its connection to /.

B.2. iSCSI disks during start up

ISCSI-related events might occur at a number of points while the system starts:
  1. The init script in the initrd will log in to iSCSI targets used for / (if any). This is done using the iscsistart utility (which can do this without requiring iscsid to run).
  2. When the root filesystem has been mounted and the various service initscripts get run, the iscsid initscript will get called. This script will then start iscsid if any iSCSI targets are used for /, or if any targets in the iSCSI database are marked to be logged in to automatically.
  3. After the classic network service script has been run (or would have been run if enabled) the iscsi initscript will run. If the network is accessible, this will log in to any targets in the iSCSI database which are marked to be logged in to automatically. If the network is not accessible, this script will exit quietly.
  4. When using NetworkManager to access the network (instead of the classic network service script), NetworkManager will call the iscsi initscript. See: /etc/NetworkManager/dispatcher.d/04-iscsi

    Important

    Because NetworkManager is installed in /usr, you cannot use it to configure network access if /usr is on network-attached storage such as an iSCSI target.
If iscsid is not needed as the system starts, it will not start automatically. If you start iscsiadm, iscsiadm will start iscsid in turn.

Disk Encryption Guide

C.1. What is block device encryption?

Block device encryption protects the data on a block device by encrypting it. To access the device's decrypted contents, a user must provide a passphrase or key as authentication. This provides additional security beyond existing OS security mechanisms in that it protects the device's contents even if it has been physically removed from the system.

C.2. Encrypting block devices using dm-crypt/LUKS

LUKS (Linux Unified Key Setup) is a specification for block device encryption. It establishes an on-disk format for the data, as well as a passphrase/key management policy.
LUKS uses the kernel device mapper subsystem via the dm-crypt module. This arrangement provides a low-level mapping that handles encryption and decryption of the device's data. User-level operations, such as creating and accessing encrypted devices, are accomplished through the use of the cryptsetup utility.

C.2.1. Overview of LUKS

  • What LUKS does:
    • LUKS encrypts entire block devices
      • LUKS is thereby well-suited for protecting the contents of mobile devices such as:
        • Removable storage media
        • Laptop disk drives
    • The underlying contents of the encrypted block device are arbitrary.
      • This makes it useful for encrypting swap devices.
      • This can also be useful with certain databases that use specially formatted block devices for data storage.
    • LUKS uses the existing device mapper kernel subsystem.
      • This is the same subsystem used by LVM, so it is well tested.
    • LUKS provides passphrase strengthening.
      • This protects against dictionary attacks.
    • LUKS devices contain multiple key slots.
      • This allows users to add backup keys/passphrases.
  • What LUKS does not do:
    • LUKS is not well-suited for applications requiring many (more than eight) users to have distinct access keys to the same device.
    • LUKS is not well-suited for applications requiring file-level encryption.

C.2.2. How will I access the encrypted devices after installation? (System Startup)

During system startup you will be presented with a passphrase prompt. After the correct passphrase has been provided the system will continue to boot normally. If you used different passphrases for multiple encypted devices you may need to enter more than one passphrase during the startup.

Tip

Consider using the same passphrase for all encrypted block devices in a given system. This will simplify system startup and you will have fewer passphrases to remember. Just make sure you choose a good passphrase!

C.2.3. Choosing a Good Passphrase

While dm-crypt/LUKS supports both keys and passphrases, the anaconda installer only supports the use of passphrases for creating and accessing encrypted block devices during installation.
LUKS does provide passphrase strengthening but it is still a good idea to choose a good (meaning "difficult to guess") passphrase. Note the use of the term "passphrase", as opposed to the term "password". This is intentional. Providing a phrase containing multiple words to increase the security of your data is important.

C.3. Creating Encrypted Block Devices in Anaconda

You can create encrypted devices during system installation. This allows you to easily configure a system with encrypted partitions.
To enable block device encryption, check the "Encrypt System" checkbox when selecting automatic partitioning or the "Encrypt" checkbox when creating an individual partition, software RAID array, or logical volume. After you finish partitioning, you will be prompted for an encryption passphrase. This passphrase will be required to access the encrypted devices. If you have pre-existing LUKS devices and provided correct passphrases for them earlier in the install process the passphrase entry dialog will also contain a checkbox. Checking this checkbox indicates that you would like the new passphrase to be added to an available slot in each of the pre-existing encrypted block devices.

Tip

Checking the "Encrypt System" checkbox on the "Automatic Partitioning" screen and then choosing "Create custom layout" does not cause any block devices to be encrypted automatically.

Tip

You can use kickstart to set a separate passphrase for each new encrypted block device.

C.3.1. What Kinds of Block Devices Can Be Encrypted?

Most types of block devices can be encrypted using LUKS. From anaconda you can encrypt partitions, LVM physical volumes, LVM logical volumes, and software RAID arrays.

C.3.2. Limitations of Anaconda's Block Device Encryption Support

This section is about Anaconda's Block Device Encryption Support

C.4. Creating Encrypted Block Devices on the Installed System After Installation

Encrypted block devices can be created and configured after installation.

C.4.1. Create the block devices

Create the block devices you want to encrypt by using parted, pvcreate, lvcreate and mdadm.

C.4.2. Optional: Fill the device with random data

Filling <device> (eg: /dev/sda3) with random data before encrypting it greatly increases the strength of the encryption. The downside is that it can take a very long time.

Warning

The commands below will destroy any existing data on the device.
  • The best way, which provides high quality random data but takes a long time (several minutes per gigabyte on most systems):
    dd if=/dev/urandom of=<device>
    
  • Fastest way, which provides lower quality random data:
    badblocks -c 10240 -s -w -t random -v <device>
    

C.4.3. Format the device as a dm-crypt/LUKS encrypted device

Warning

The command below will destroy any existing data on the device.
cryptsetup luksFormat <device>

Tip

For more information, read the cryptsetup(8) man page.
After supplying the passphrase twice the device will be formatted for use. To verify, use the following command:
cryptsetup isLuks <device> && echo Success
To see a summary of the encryption information for the device, use the following command:
cryptsetup luksDump <device>

C.4.4. Create a mapping to allow access to the device's decrypted contents

To access the device's decrypted contents, a mapping must be established using the kernel device-mapper.
It is useful to choose a meaningful name for this mapping. LUKS provides a UUID (Universally Unique Identifier) for each device. This, unlike the device name (eg: /dev/sda3), is guaranteed to remain constant as long as the LUKS header remains intact. To find a LUKS device's UUID, run the following command:
cryptsetup luksUUID <device>
An example of a reliable, informative and unique mapping name would be luks-<uuid>, where <uuid> is replaced with the device's LUKS UUID (eg: luks-50ec957a-5b5a-47ee-85e6-f8085bbc97a8). This naming convention might seem unwieldy but is it not necessary to type it often.
cryptsetup luksOpen <device> <name>
There should now be a device node, /dev/mapper/<name>, which represents the decrypted device. This block device can be read from and written to like any other unencrypted block device.
To see some information about the mapped device, use the following command:
dmsetup info <name>

Tip

For more information, read the dmsetup(8) man page.

C.4.5. Create filesystems on the mapped device, or continue to build complex storage structures using the mapped device

Use the mapped device node (/dev/mapper/<name>) as any other block device. To create an ext2 filesystem on the mapped device, use the following command:
mke2fs /dev/mapper/<name>
To mount this filesystem on /mnt/test, use the following command:

Important

The directory /mnt/test must exist before executing this command.
mount /dev/mapper/<name> /mnt/test

C.4.6. Add the mapping information to /etc/crypttab

In order for the system to set up a mapping for the device, an entry must be present in the /etc/crypttab file. If the file doesn't exist, create it and change the owner and group to root (root:root) and change the mode to 0744. Add a line to the file with the following format:
<name>  <device>  none
The <device> field should be given in the form "UUID=<luks_uuid>", where <luks_uuid> is the LUKS uuid as given by the command cryptsetup luksUUID <device>. This ensures the correct device will be identified and used even if the device node (eg: /dev/sda5) changes.

Tip

For details on the format of the /etc/crypttab file, read the crypttab(5) man page.

C.4.7. Add an entry to /etc/fstab

Add an entry to /etc/fstab. This is only necessary if you want to establish a persistent association between the device and a mountpoint. Use the decrypted device, /dev/mapper/<name> in the /etc/fstab file.
In many cases it is desirable to list devices in /etc/fstab by UUID or by a filesystem label. The main purpose of this is to provide a constant identifier in the event that the device name (eg: /dev/sda4) changes. LUKS device names in the form of /dev/mapper/luks-<luks_uuid> are based only on the device's LUKS UUID, and are therefore guaranteed to remain constant. This fact makes them suitable for use in /etc/fstab.

Title

For details on the format of the /etc/fstab file, read the fstab(5) man page.

C.5. Common Post-Installation Tasks

The following sections are about common post-installation tasks.

C.5.1. Set a randomly generated key as an additional way to access an encrypted block device

These sections are about generating keys and adding keys.

C.5.1.1. Generate a key

This will generate a 256-bit key in the file $HOME/keyfile.
dd if=/dev/urandom of=$HOME/keyfile bs=32 count=1
                chmod 600 $HOME/keyfile

C.5.1.2. Add the key to an available keyslot on the encrypted device

cryptsetup luksAddKey <device> ~/keyfile

C.5.2. Add a new passphrase to an existing device

cryptsetup luksAddKey <device>
After being prompted for any one of the existing passprases for authentication, you will be prompted to enter the new passphrase.

C.5.3. Remove a passphrase or key from a device

cryptsetup luksRemoveKey <device>
You will be prompted for the passphrase you wish to remove and then for any one of the remaining passphrases for authentication.

Understanding LVM

When a computer running Linux is turned on, the operating system is loaded into memory by a special program called a boot loader. A boot loader usually exists on the system's primary hard drive (or other media device) and has the sole responsibility of loading the Linux kernel with its required files or (in some cases) other operating systems into memory.
This appendix discusses commands and configuration options for the GRUB boot loader included with Fedora for the x86 architecture.

E.1. GRUB

Le GNU GRand Unified Boot loader (ou GRUB) est un programme permettant à l'utilisateur de sélectionner le système d'exploitation ou noyau qui doit être chargé au démarrage du système. Il permet également à l'utilisateur de transmettre des arguments au noyau.

E.1.1. GRUB et le processus de démarrage x86

GRUB se charge en mémoire en suivant les étapes suivantes :
  1. The Stage 1 or primary boot loader is read into memory by the BIOS from the MBR [6]. The primary boot loader exists on less than 512 bytes of disk space within the MBR and is capable of loading either the Stage 1.5 or Stage 2 boot loader.
  2. Le chargeur de démarrage Étape 1.5 est lu en mémoire par le chargeur de démarrage Étape 1, si cela est nécessaire. Selon le matériel, une étape intermédiaire est parfois nécessaire pour arriver au chargeur de démarrage Étape 2. Ceci peut être le cas si la partition /boot/ se situe au-dessus de la tête de cylindre 1024 du disque dur ou lorsque le mode LBA (Logical Block Addressing) est utilisé. Le chargeur de démarrage Étape 1.5 se trouve sur la partition /boot/ ou sur une petite portion du MBR et de la partition /boot/.
  3. Le chargeur de démarrage Étape 2 (ou secondaire) est lu et stocké en mémoire. Le chargeur de démarrage secondaire affiche le menu et l'environnement de commandes de GRUB. Cette interface permet à l'utilisateur de sélectionner le système d'exploitation ou le noyau particulier à démarrer, de transmettre des arguments au noyau ou de vérifier des paramètres système.
  4. Le chargeur de démarrage secondaire lit en mémoire le système d'exploitation ou le noyau ainsi que le contenu de /boot/sysroot/. Une fois que GRUB détermine le système d'exploitation ou noyau spécifique à démarrer, il le charge en mémoire et cède le contrôle de la machine à ce système d'exploitation.
The method used to boot Linux is called direct loading because the boot loader loads the operating system directly. There is no intermediary between the boot loader and the kernel.
Il est possible que le processus de démarrage utilisé par d'autres systèmes d'exploitation soit différent. Par exemple, le système d'exploitation Microsoft® Windows®, ainsi que d'autres systèmes d'exploitation, sont chargés en utilisant le chargement en chaîne. Avec cette méthode, le MBR pointe simplement vers le premier secteur de la partition contenant le système d'exploitation où il trouve les fichiers nécessaires au démarrage proprement dit de ce système d'exploitation.
GRUB prend en charge les méthodes de chargement direct et en chaîne, ce qui lui permet de lancer tout système d'exploitation.

Warning

Lors de l'installation, les programmes d'installation DOS et Windows de Microsoft écrasent complètement le MBR, détruisant ainsi tout chargeur de démarrage existant. Si vous créez un système à double démarrage, nous vous conseillons d'installer en premier le système d'exploitation Microsoft.

E.1.2. Caractéristiques de GRUB

GRUB contient un certain nombre de caractéristiques qui le rendent plus intéressant que d'autres chargeurs de démarrage disponibles pour l'architecture x86. Vous trouverez ci-dessous une liste de certaines des caractéristiques les plus importantes :
Un des points fondamentaux à maîtriser avant d'utiliser GRUB est la façon dont le programme fait référence aux périphériques, tels que votre disque dur et les partitions. Ces informations sont très importantes lorsque vous configurez GRUB pour qu'il démarre plusieurs systèmes d'exploitation.

E.3.1. Noms des périphériques

Lorsque vous faites référence à un périphérique spécifique avec GRUB, utilisez le format suivant (notez que les parenthèses et les virgules sont très importantes dans la syntaxe) :
(<type-of-device><bios-device-number>,<partition-number>)
<bios-device-number> correspond au numéro du périphérique BIOS. Le disque dur IDE primaire est numéroté 0 et un disque dur IDE secondaire est numéroté 1. Cette syntaxe est équivalente à celle utilisée pour les périphériques par le noyau. Par exemple, la lettre a dans hda pour le noyau est analogue au 0 dans hd0 pour GRUB, le b dans hdb est analogue au 1 dans hd1, et ainsi de suite.
<partition-number> se rapporte au numéro d'une partition sur un périphérique. Comme pour l'élément <bios-device-number>, la numérotation des partitions commence par 0. Toutefois, les partitions BSD sont désignées par des lettres, où a correspond à 0, b correspond à 1, et ainsi de suite.

Note

Le système de numérotation de GRUB pour les périphériques commence toujours par 0 et non pas 1. Le non respect de cette distinction est la source d'une des erreurs les plus courantes commises par les nouveaux utilisateurs.
Par exemple, si un système possède plusieurs disques durs, GRUB fait référence au premier disque dur en tant que (hd0) et au deuxième en tant que (hd1). De la même manière, GRUB fait référence à la première partition du premier disque en tant que (hd0,0) et à la troisième partition sur le second disque dur en tant que (hd1,2).
GRUB fait appel aux règles suivantes pour nommer les périphériques et les partitions :
  • Peu importe si vos disques durs sont IDE ou SCSI. Le nom de tous les disques durs commence par hd. Les lecteurs de disquette quant à eux commencent par fd.
  • Pour indiquer un périphérique en entier sans spécifier ses partitions, il suffit de retirer la virgule et le numéro de la partition. Ceci est important lorsque l'on souhaite que GRUB configure le MBR pour un disque donné. Par exemple, (hd0) indique le MBR sur le premier périphérique et (hd3) indique le MBR sur le quatrième.
  • Si un système est doté de plusieurs lecteurs de disque, il est très important de connaître l'ordre de démarrage défini dans le BIOS. Cette tâche est relativement simple si vous ne possédez que des disques IDE ou SCSI, mais s'il existe un mélange de périphériques, il est alors critique que le type de lecteur lisant la partition boot soit démarrer en premier.

E.3.2. Noms de fichiers et listes des blocs

Lorsque des commandes saisies pour GRUB référencent un fichier, comme une liste de type menu, il est impératif de spécifier le chemin absolu du fichier immédiatement après avoir désigné le périphérique et la partition.
L'exemple suivant illustre la structure d'une telle commande :
(<device-type><device-number>,<partition-number>)</path/to/file>
Dans cet exemple, remplacez <device-type> par hd, fd ou nd. Remplacez <device-number> par le nombre entier du périphérique. Remplacez </path/to/file> par le chemin absolu du périphérique de niveau supérieur.
Il est également possible d'indiquer à GRUB des fichiers qui n'apparaissent pas en fait dans le système de fichiers, tel qu'un chargeur de chaîne qui apparaît dans les tout premiers blocs d'une partition. Pour charger de tels fichiers, vous devez fournir une liste de blocs (blocklist) qui indique bloc par bloc, l'emplacement du fichier sur la partition. Étant donné qu'un fichier est souvent constitué de plusieurs blocs, les listes de blocs utilisent une syntaxe particulière. Chaque bloc contenant le fichier est spécifié par un nombre de blocs décalé, suivi du nombre de blocs existant après ce point de décalage précis. Les décalages des blocs sont énumérés séquentiellement dans une liste délimitée par des virgules.
Prenons l'exemple de la liste de blocs ci-dessous pour illustrer cette notion :
0+50,100+25,200+1
Cette liste de blocs indique à GRUB qu'il doit utiliser un fichier commençant au premier bloc de la partition et qui utilise les blocs 0 à 49, 100 à 124 et 200.
Il est très utile de savoir comment écrire des listes de blocs, particulièrement lorsque GRUB doit charger des systèmes d'exploitation qui utilisent le chargement en chaîne. Vous pouvez laisser tomber le décalage de blocs si vous commencez au bloc 0. Par exemple, le fichier de chargement en chaîne sur la première partition du premier disque dur devrait s'appeler ainsi :
(hd0,0)+1
Vous pouvez également utiliser la commande chainloader suivante avec un mode d'indication de liste de blocs similaire à la ligne de commande GRUB après avoir spécifié le bon périphérique et la bonne partition et en étant connecté en tant que root :
chainloader +1

E.4. Interfaces GRUB

GRUB offre trois interfaces, qui fournissent différents niveaux de fonctionnalités. Chacune de ces interfaces permet aux utilisateurs de démarrer le noyau Linux ou d'autres systèmes d'exploitation.
Les interfaces sont les suivantes :

Note

Les interfaces GRUB mentionnées ci-après sont accessibles en appuyant sur une touche quelconque seulement pendant trois secondes après l'affichage de l'écran menu de GRUB.
Interface Menu
Il s'agit de l'interface par défaut qui s'affiche lorsque GRUB est configuré par le programme d'installation. Un menu des différents systèmes d'exploitation ou noyaux pré-configurés est affiché sous la forme d'une liste, organisée par nom. Utilisez les flèches du clavier pour sélectionner une version du système d'exploitation ou du noyau, puis appuyez sur la touche Entrée pour le démarrer. Sinon, un délai d'attente est déterminé et, dans le cas où aucun choix n'est fait avant l'écoulement de ce dernier, GRUB procède au démarrage de l'option par défaut.
Appuyez sur la touche e pour accéder à l'interface éditeur d'entrées ou sur la touche c pour charger une interface de ligne de commande.
Reportez-vous à la Section E.6, « Fichier de configuration du menu de GRUB » pour davantage d'informations sur la configuration de l'interface.
Interface éditeur d'entrées de menu
Pour accéder à l'éditeur d'entrée de menu, appuyez sur la touche e depuis le menu du chargeur de démarrage. Les commandes de GRUB relatives à cette entrée sont présentées ci-après. Ces lignes de commande peuvent être modifiées par les utilisateurs avant le démarrage du système d'exploitation en ajoutant une ligne de commande (o insère la nouvelle ligne après la ligne actuelle et O l'insère avant), en modifiant une ligne de commande (e) ou finalement en supprimant une ligne de commande (d).
Une fois que vos modifications sont effectuées, appuyez sur la touche b pour exécuter les commandes et démarrer le système d'exploitation. La touche Échap elle, permet d'annuler ces modifications et recharge l'interface menu standard. Finalement, la touche c elle, charge l'interface de ligne de commande.

Note

Pour obtenir des informations sur le moyen de changer les niveaux d'exécution à l'aide de l'éditeur d'entrées du menu de GRUB, reportez-vous à la Section E.7, « Changement de niveau d'exécution au démarrage ».
Interface de ligne de commande
L'interface de ligne de commande est certes la plus élémentaire des interfaces GRUB, mais c'est celle qui fournit le plus grand niveau de contrôle. La ligne de commande permet de taper toute commande GRUB pertinente et de l'exécuter en appuyant sur la touche Entrée. Cette interface présente certaines fonctionnalités avancées de type shell parmi lesquelles figurent la touche Tab pour l'achèvement automatique de ligne en fonction du contexte et les combinaisons de touches avec Ctrl lors de la saisie de commandes, telles que Ctrl+a pour se déplacer au début de la ligne et Ctrl+e pour aller directement à la fin de la ligne. De plus, les flèches, les touches Début, Fin et Suppr fonctionnent de la même façon que sous le shell bash.
Consultez la Section E.5, « Commandes GRUB » pour obtenir une liste de commandes standards.
GRUB permet un certain nombre de commandes utiles dans son interface ligne de commande. Certaines de ces commandes acceptent une option après leur nom. Pour être acceptées, ces options doivent être séparées de la commande et des autres options présentes par un espace.
Ci-après figure une liste de commandes utiles :
  • boot — Démarre le dernier système d'exploitation ou le chargeur de chaîne qui a été chargé.
  • chainloader </path/to/file> — Charge le fichier indiqué comme chargeur de chaîne. Si le fichier se situe sur le premier secteur de la partition spécifiée, utilisez la notation de type liste de blocs, +1, au lieu du nom de fichier.
    Ce qui suit est un exemple de commande chainloader :
    chainloader +1
    
  • displaymem — Affiche l'utilisation actuelle de mémoire, sur la base des informations fournies par le BIOS. Cette commande est pratique pour déterminer la quantité de mémoire vive dont le système dispose, avant de le démarrer.
  • initrd </path/to/initrd> — Enables users to specify an initial RAM disk to use when booting. An initrd is necessary when the kernel needs certain modules in order to boot properly, such as when the root partition is formatted with the ext3 or ext4 file system.
    Ce qui suit est un exemple de commande initrd :
    initrd /initrd-2.6.8-1.523.img
    
  • install <stage-1> <install-disk> <stage-2> p config-file — Installe GRUB sur le MBR du système.
    • <stage-1> — Précise un périphérique, une partition et un fichier où l'image du premier chargeur de démarrage peut être trouvée, tel que (hd0,0)/grub/stage1.
    • <install-disk> — Spécifie le disque où le chargeur de démarrage Étape 1 doit être installé, comme par exemple (hd0).
    • <stage-2> — Indique au chargeur de démarrage Étape 2, l'emplacement du chargeur de démarrage Étape 1 comme par exemple, (hd0,0)/grub/stage2.
    • p <config-file> — Indique à la commande install de rechercher le fichier de configuration du menu spécifié par <config-file>, comme, par exemple, (hd0,0)/grub/grub.conf.

    Warning

    La commande install écrase toutes les informations déjà présentes sur le MBR.
  • kernel </path/to/kernel> <option-1> <option-N> ... — Indique le fichier noyau à charger lors du démarrage du système d'exploitation. Remplacez </path/to/kernel> par le chemin absolu de la partition spécifiée par la commande root. Remplacez <option-1> par les options du noyau Linux, comme par exemple, root=/dev/VolGroup00/LogVol00 pour spécifier le périphérique sur lequel la partition root du système se trouve. Plusieurs options peuvent être transmises au noyau dans une liste délimitée par des espaces.
    Ce qui suit est un exemple de commande kernel :
    kernel /vmlinuz-2.6.8-1.523 ro root=/dev/VolGroup00/LogVol00
    
    L'option de l'exemple précédent indique que le système de fichiers root de Linux se trouve sur la partition hda5.
  • root (<device-type><device-number>,<partition>) — Configure la partition root de GRUB, comme, par exemple, (hd0,0) et monte la partition.
    Ce qui suit est un exemple de commande root :
    root (hd0,0)
    
  • rootnoverify (<device-type><device-number>,<partition>) — Configure la partition root de GRUB, tout comme la commande root, mais ne monte pas la partition.

E.6. Fichier de configuration du menu de GRUB

E.6.1. Structure des fichiers de configuration

Le fichier de configuration de l'interface menu de GRUB est /boot/grub/grub.conf. Les commandes servant à la définition des préférences générales pour l'interface menu sont placées au début du fichier, suivies des différentes strophes (aussi appelées stanzas) pour chacun des systèmes d'exploitation ou noyaux énumérés dans le menu.
The following is a very basic GRUB menu configuration file designed to boot either Fedora or Microsoft Windows Vista:
default=0 
timeout=10 
splashimage=(hd0,0)/grub/splash.xpm.gz 
hiddenmenu 
title Fedora (2.6.27.19-170.2.35.fc10.i686)
root (hd0,1)
kernel /vmlinuz-2.6.27.19-170.2.35.fc10.i686 ro root=UUID=04a07c13-e6bf-6d5a-b207-002689545705 rhgb quiet
initrd /initrd-2.6.27.19-170.2.35.fc10.i686.img 

# section to load Windows 
title Windows         
rootnoverify (hd0,0)         
chainloader +1
This file configures GRUB to build a menu with Fedora as the default operating system and sets it to autoboot after 10 seconds. Two sections are given, one for each operating system entry, with commands specific to the system disk partition table.

Note

Notez bien que le paramètre par défaut est spécifié sous la forme d'un chiffre entier. Ceci se rapporte à la première ligne title du fichier de configuration de GRUB. Si vous voulez que Windows soit le paramètre par défaut dans l'exemple précédent, changez la valeur default=0 en default=1.

E.6.2. Directives des fichiers de configuration

Les commandes suivantes sont des directives utilisées couramment dans le fichier de configuration du menu de GRUB :
  • chainloader </path/to/file> — Charge le fichier indiqué comme chargeur de chaîne. Remplacez </path/to/file> par le chemin absolu du chargeur de chaîne. Si le fichier se trouve sur le premier secteur de la partition donnée, utilisez la notation de liste de blocs, +1.
  • color <normal-color> <selected-color> — Permet de définir les couleurs spécifiques à utiliser dans le menu, où deux couleurs sont configurées, une pour le premier plan et une pour l'arrière-plan. Utilisez des noms de couleur simples tels que red/black (rouge/noir). Par exemple :
    color red/black green/blue
    
  • default=<integer> — Remplacez <integer> par le numéro du titre de l'entrée par défaut qui sera chargée si le délai imparti pour le choix d'une option du menu est dépassé.
  • fallback=<integer> — Remplacez <integer> par le numéro du titre de l'entrée à essayer en cas d'échec de la première tentative.
  • hiddenmenu — Empêche l'affichage de l'interface menu de GRUB, chargeant l'entrée par défaut (default) lorsque la durée d'attente initiale (timeout) est dépassée. L'utilisateur peut visualiser le menu standard de GRUB en appuyant sur la touche Échap.
  • initrd </path/to/initrd> — Permet à l'utilisateur de spécifier un disque RAM initial à utiliser pour l'amorçage. Remplacez </path/to/initrd> par le chemin absolu du disque RAM initial.
  • kernel </path/to/kernel> <option-1> <option-N> — Spécifie le fichier noyau à charger lors du démarrage du système d'exploitation. Remplacez </path/to/kernel> par le chemin absolu de la partition spécifiée dans la directive root. Plusieurs options peuvent être transmises au noyau lors de son chargement.
  • password=<password> — Interdit à tout utilisateur ne connaissant pas le mot de passe d'éditer les entrées relatives à l'option de ce menu.
    Il est possible éventuellement, d'indiquer un autre fichier de configuration de menu après la commande password=<password>. Dans ce cas, GRUB redémarrera le chargeur de démarrage Étape 2 et utilisera l'autre fichier de configuration spécifié pour construire le menu. Si ce fichier alternatif n'est pas indiqué dans cette commande, tout utilisateur en possession du mot de passe sera à même d'éditer le fichier de configuration actuel.
    For more information about securing GRUB, refer to the chapter titled Workstation Security in the Red Hat Enterprise Linux Deployment Guide.
  • root (<device-type><device-number>,<partition>) — Configure la partition root de GRUB, comme, par exemple, (hd0,0) et monte la partition.
  • rootnoverify (<device-type><device-number>,<partition>) — Configure la partition root de GRUB, tout comme la commande root, mais ne monte pas la partition.
  • timeout=<integer> — Spécifie la durée, en secondes, qui peut s'écouler avant que GRUB ne charge l'entrée indiquée dans la commande default.
  • splashimage=<path-to-image> — Précise l'emplacement de l'image de fond utilisée lors du démarrage de GRUB.
  • title group-title — Définit le titre à utiliser avec un groupe donné de commandes utilisé pour charger un système d'exploitation ou un noyau.
Pour ajouter des commentaires plus lisibles au fichier de configuration du menu, commencez la ligne par le symbole dièse (#).


[6] For more on the system BIOS and the MBR, refer to Section F.2.1, « Le BIOS ».

Processus de démarrage, Init et arrêt

An important and powerful aspect of Fedora is the open, user-configurable method it uses for starting the operating system. Users are free to configure many aspects of the boot process, including specifying the programs launched at boot-time. Similarly, system shutdown gracefully terminates processes in an organized and configurable way, although customization of this process is rarely required.
La compréhension des processus de démarrage et d'arrêt vous permettra non seulement de personnaliser, mais également de résoudre plus rapidement les problèmes liés au démarrage ou à l'arrêt de votre système.
Le début du processus de démarrage varie en fonction de la plate-forme matérielle utilisée. Toutefois, une fois le noyau trouvé et chargé par le chargeur de démarrage, le processus de démarrage par défaut est identique pour toutes les architectures. Ce chapitre se concentre principalement sur l'architecture x86.

F.2.1. Le BIOS

Lors du démarrage d'un ordinateur x86, le processeur recherche le programme BIOS (de l'anglais Basic Input/Output System) dans la mémoire morte (ROM) de la carte mère et l'exécute. Le BIOS est le plus bas niveau d'interface pour les périphériques et contrôle la première étape du processus de démarrage. C'est la raison pour laquelle le BIOS est enregistré en lecture-seule dans la mémoire morte et peut ainsi être utilisé à tout moment.
D'autres plates-formes utilisent différents programmes pour réaliser des tâches de bas niveau plus ou moins équivalentes à celles effectuées par le BIOS sur un système x86. Par exemple, les ordinateurs basés sur Itanium utilisent le Shell EFI (de l'anglais Extensible Firmware Interface).
Une fois chargé, le BIOS teste le système, recherche et vérifie les périphériques et trouve ensuite un périphérique valide qui sera utilisé pour amorcer le système. Normalement, il vérifie d'abord les lecteurs de disquettes et les lecteurs CD-ROM présents afin de trouver un support amorçable ; s'il n'en trouve aucun, il cherche sur les disques durs du système. Dans la plupart des cas, l'ordre des unités recherchées lors du démarrage peut être contrôlé par un paramètre du BIOS ; il cherche sur le périphérique IDE maître sur le bus IDE principal. Le BIOS charge ensuite en mémoire tout programme résidant sur le premier secteur de ce périphérique appelé bloc de démarrage maître ou MBR(de l'anglais Master Boot Record). Le MBR a une taille de 512 octets seulement et contient des instructions de codes machine, appelée chargeur de démarrage, qui sont nécessaires pour démarrer l'ordinateur ainsi que la table des partitions. Une fois que le BIOS trouve et charge en mémoire le programme du chargeur de démarrage, il lui cède le contrôle du processus de démarrage.
Un chargeur de démarrage pour la plate-forme x86 fonctionne au minimum en deux étapes. La première est un petit binaire de code machine sur le MBR. Son seul rôle est de localiser le chargeur de démarrage pour l'Étape 2 et d'en charger la première partie en mémoire.
GRUB has the advantage of being able to read ext2 and ext3 [7] partitions and load its configuration file — /boot/grub/grub.conf — at boot time. Refer to Section E.6, « Fichier de configuration du menu de GRUB » for information on how to edit this file.

ext4 and Btrfs

The GRUB bootloader does not support the ext4 or Btrfs file systems.

Note

Si vous mettez à niveau le noyau en utilisant l'Agent de mise à jour Red Hat, le fichier de configuration du chargeur de démarrage sera mis à jour automatiquement. De plus amples informations sur Red Hat Network se trouvent en ligne à l'adresse suivante : https://rhn.redhat.com/.
Une fois que le chargeur de démarrage Étape 2 est en mémoire, il affiche l'écran graphique indiquant à l'utilisateur les différents systèmes d'exploitation ou noyaux qu'il doit charger en fonction de sa configuration. Sur cet écran, l'utilisateur peut, à l'aide des touches fléchées, choisir le système d'exploitation ou le noyau qu'il souhaite charger et valider ce choix en appuyant sur la touche Entrée. Si l'utilisateur n'appuie sur aucune touche avant qu'un certain laps de temps - configurable - ne se soit écoulé, le chargeur de démarrage chargera la sélection par défaut.
Une fois que le chargeur de démarrage Étape 2 a déterminé le noyau à lancer, il localise le binaire de noyau correspondant dans le répertoire /boot/. Le binaire du noyau est baptisé d'après le format— fichier /boot/vmlinuz-<kernel-version> (où <kernel-version> correspond à la version du noyau spécifiée dans les paramètres du chargeur de démarrage).
Pour obtenir des instructions sur la manière d'utiliser le chargeur de démarrage pour transmettre au noyau des arguments en ligne de commande, reportez-vous au Annexe E, Chargeur de démarrage GRUB. Pour des informations sur la manière de changer le niveau d'exécution à l'invite du chargeur de démarrage, reportez-vous à la Section E.7, « Changement de niveau d'exécution au démarrage ».
The boot loader then places one or more appropriate initramfs images into memory. Next, the kernel decompresses these images from memory to /sysroot/, a RAM-based virtual file system, via cpio. The initramfs is used by the kernel to load drivers and modules necessary to boot the system. This is particularly important if SCSI hard drives are present or if the systems use the ext3 or ext4 file system.
Une fois que le noyau et une ou plusieurs images initramfs sont chargées en mémoire, le chargeur de démarrage cède le contrôle du processus de démarrage au noyau.
Pour plus d'informations sur les supports de pilotes, reportez-vous à l'Chapitre 5, Supports de pilotes pour les systèmes Intel et AMD.
Le programme /sbin/init (aussi appelé init) coordonne le reste du processus de démarrage et configure l'environnement de l'utilisateur.
Lorsque la commande init est lancée, elle devient le parent ou grand-parent de tous les processus qui sont lancés automatiquement sur le système. Tout d'abord, elle exécute le script /etc/rc.d/rc.sysinit qui définit le chemin d'accès de l'environnement, démarre swap, contrôle les systèmes de fichiers et exécute toutes les autres étapes nécessaires à l'initialisation du système. Par exemple, la plupart des systèmes utilisant une horloge, rc.sysinit lit le fichier de configuration /etc/sysconfig/clock pour initialiser l'horloge matérielle. Autre exemple : s'il existe des processus de port série spéciaux qui doivent être initialisés, rc.sysinit exécute le fichier /etc/rc.serial.
Ensuite, la commande init configure la bibliothèque de fonctions sources, /etc/rc.d/init.d/functions, pour le système. Celle-ci indique comment démarrer ou arrêter un programme et comment déterminer le PID d'un programme.
Le programme init démarre l'ensemble des processus d'arrière-plan en consultant le répertoire rc approprié au niveau d'exécution spécifié comme valeur par défaut dans /etc/inittab. Les répertoires rc sont numérotés de façon à correspondre au niveau d'exécution qu'ils représentent. Par exemple, /etc/rc.d/rc5.d/ est le répertoire correspondant au niveau d'exécution 5.
En démarrant au niveau d'exécution 5, le programme init examine le répertoire /etc/rc.d/rc5.d/ afin de déterminer les processus à arrêter et à démarrer.
Ci-dessous figure un exemple de listing pour un répertoire /etc/rc.d/rc5.d/ :
K05innd -> ../init.d/innd 
K05saslauthd -> ../init.d/saslauthd 
K10dc_server -> ../init.d/dc_server 
K10psacct -> ../init.d/psacct 
K10radiusd -> ../init.d/radiusd 
K12dc_client -> ../init.d/dc_client 
K12FreeWnn -> ../init.d/FreeWnn 
K12mailman -> ../init.d/mailman 
K12mysqld -> ../init.d/mysqld 
K15httpd -> ../init.d/httpd 
K20netdump-server -> ../init.d/netdump-server 
K20rstatd -> ../init.d/rstatd 
K20rusersd -> ../init.d/rusersd 
K20rwhod -> ../init.d/rwhod 
K24irda -> ../init.d/irda 
K25squid -> ../init.d/squid 
K28amd -> ../init.d/amd 
K30spamassassin -> ../init.d/spamassassin 
K34dhcrelay -> ../init.d/dhcrelay 
K34yppasswdd -> ../init.d/yppasswdd 
K35dhcpd -> ../init.d/dhcpd 
K35smb -> ../init.d/smb 
K35vncserver -> ../init.d/vncserver 
K36lisa -> ../init.d/lisa 
K45arpwatch -> ../init.d/arpwatch 
K45named -> ../init.d/named 
K46radvd -> ../init.d/radvd 
K50netdump -> ../init.d/netdump 
K50snmpd -> ../init.d/snmpd 
K50snmptrapd -> ../init.d/snmptrapd 
K50tux -> ../init.d/tux 
K50vsftpd -> ../init.d/vsftpd 
K54dovecot -> ../init.d/dovecot 
K61ldap -> ../init.d/ldap 
K65kadmin -> ../init.d/kadmin 
K65kprop -> ../init.d/kprop 
K65krb524 -> ../init.d/krb524 
K65krb5kdc -> ../init.d/krb5kdc 
K70aep1000 -> ../init.d/aep1000 
K70bcm5820 -> ../init.d/bcm5820 
K74ypserv -> ../init.d/ypserv 
K74ypxfrd -> ../init.d/ypxfrd 
K85mdmpd -> ../init.d/mdmpd 
K89netplugd -> ../init.d/netplugd 
K99microcode_ctl -> ../init.d/microcode_ctl 
S04readahead_early -> ../init.d/readahead_early 
S05kudzu -> ../init.d/kudzu 
S06cpuspeed -> ../init.d/cpuspeed 
S08ip6tables -> ../init.d/ip6tables 
S08iptables -> ../init.d/iptables 
S09isdn -> ../init.d/isdn 
S10network -> ../init.d/network 
S12syslog -> ../init.d/syslog 
S13irqbalance -> ../init.d/irqbalance 
S13portmap -> ../init.d/portmap 
S15mdmonitor -> ../init.d/mdmonitor 
S15zebra -> ../init.d/zebra 
S16bgpd -> ../init.d/bgpd 
S16ospf6d -> ../init.d/ospf6d 
S16ospfd -> ../init.d/ospfd 
S16ripd -> ../init.d/ripd 
S16ripngd -> ../init.d/ripngd 
S20random -> ../init.d/random 
S24pcmcia -> ../init.d/pcmcia 
S25netfs -> ../init.d/netfs 
S26apmd -> ../init.d/apmd 
S27ypbind -> ../init.d/ypbind 
S28autofs -> ../init.d/autofs 
S40smartd -> ../init.d/smartd 
S44acpid -> ../init.d/acpid 
S54hpoj -> ../init.d/hpoj 
S55cups -> ../init.d/cups 
S55sshd -> ../init.d/sshd 
S56rawdevices -> ../init.d/rawdevices 
S56xinetd -> ../init.d/xinetd 
S58ntpd -> ../init.d/ntpd 
S75postgresql -> ../init.d/postgresql 
S80sendmail -> ../init.d/sendmail 
S85gpm -> ../init.d/gpm 
S87iiim -> ../init.d/iiim 
S90canna -> ../init.d/canna 
S90crond -> ../init.d/crond 
S90xfs -> ../init.d/xfs 
S95atd -> ../init.d/atd 
S96readahead -> ../init.d/readahead 
S97messagebus -> ../init.d/messagebus 
S97rhnsd -> ../init.d/rhnsd 
S99local -> ../rc.local
Comme le montre ce listing, aucun des scripts qui lancent et arrêtent vraiment les services n'est réellement situé dans le répertoire /etc/rc.d/rc5.d/. Tous les fichiers dans /etc/rc.d/rc5.d/ sont en fait des liens symboliques qui pointent vers les scripts situés dans le répertoire /etc/rc.d/init.d/. Des liens symboliques sont utilisés dans chacun des répertoires rc afin que les niveaux d'exécution puissent être reconfigurés en créant, modifiant et supprimant les liens symboliques, et ce, sans affecter les scripts auxquels ils font référence.
Le nom de chaque lien symbolique commence soit par K, soit par S. Les liens K correspondent à des processus arrêtés à ce niveau d'exécution, tandis que les liens S correspondent à des processus démarrés à ce niveau d'exécution.
La commande init arrête tout d'abord tous les liens symboliques K du répertoire en émettant la commande /etc/rc.d/init.d/<command> stop, <command> correspondant au processus à arrêter. Elle démarre ensuite tous les liens symboliques S en émettant la commande /etc/rc.d/init.d/<command> start.

Note

Une fois que le système a terminé son démarrage, il est possible d'établir une connexion en tant que super-utilisateur et d'exécuter ces mêmes scripts pour démarrer et arrêter des services. Par exemple, la commande /etc/rc.d/init.d/httpd stop arrêtera le serveur HTTP Apache.
Chacun des liens symboliques est numéroté de façon à établir l'ordre de démarrage. L'ordre dans lequel les services sont démarrés ou arrêtés peut être modifié en changeant ce numéro. Plus le numéro est bas, plus le démarrage se produira tôt. Les liens symboliques disposant du même numéro sont démarrés par ordre alphabétique.

Note

Une des dernières choses que le programme init exécute est le fichier /etc/rc.d/rc.local. Ce dernier est utilisé pour la personnalisation du système. Reportez-vous à la Section F.3, « Exécution de programmes supplémentaires au démarrage » pour de plus amples informations sur l'utilisation du fichier rc.local.
After the init command has progressed through the appropriate rc directory for the runlevel, the /etc/inittab script forks an /sbin/mingetty process for each virtual console (login prompt) allocated to the runlevel. Runlevels 2 through 5 have all six virtual consoles, while runlevel 1 (single user mode) has one, and runlevels 0 and 6 have none. The /sbin/mingetty process opens communication pathways to tty devices[8], sets their modes, prints the login prompt, accepts the user's username and password, and initiates the login process.
In runlevel 5, the /etc/inittab runs a script called /etc/X11/prefdm. The prefdm script executes the preferred X display manager[9]gdm, kdm, or xdm, depending on the contents of the /etc/sysconfig/desktop file.
Une fois l'ensemble du processus terminé, le système fonctionne à un niveau d'exécution 5 et affiche un écran de connexion.
Le système de niveaux d'exécution SysV init fournit un processus standard pour contrôler les programmes lancés et arrêtés par init lors de l'initialisation d'un niveau d'exécution. SysV init a été choisi parce qu'il est non seulement plus facile à utiliser et mais également parce qu'il est plus flexible que le processus init BSD traditionnel.
Les fichiers de configuration de SysV init se trouvent dans le répertoire /etc/rc.d/. Dans ce répertoire, se trouvent les scripts rc, rc.local, rc.sysinit et, de manière optionnelle, les scripts rc.serial ainsi que les répertoires suivants :
init.d/ rc0.d/ rc1.d/ rc2.d/ rc3.d/ rc4.d/ rc5.d/ rc6.d/
The init.d/ directory contains the scripts used by the /sbin/init command when controlling services. Each of the numbered directories represent the six runlevels configured by default under Fedora.

F.4.1. Niveaux d'exécution (Runlevels)

L'idée derrière les niveaux d'exécution de SysV init se résume au principe que divers systèmes peuvent être utilisés de différentes manières. Par exemple, un serveur fonctionne plus efficacement lorsqu'il n'est pas dépendant de l'utilisation des ressources du système par le système X Window. En d'autres occasions, il se peut qu'un administrateur système doive faire fonctionner le système à un niveau d'exécution inférieur afin d'effectuer des tâches de diagnostic ; comme par exemple pour résoudre la corruption de disques à un niveau d'exécution 1.
Les caractéristiques d'un niveau d'exécution donné déterminent les services qui seront arrêtés ou démarrés par init. Par exemple, le niveau d'exécution 1 (mode mono-utilisateur) arrête tout service réseau alors que le niveau d'exécution 3 lui, démarre ces mêmes services. En déterminant le démarrage ou l'arrêt de services spécifiques à un niveau d'exécution donné, init peut rapidement changer le mode de l'ordinateur sans que l'utilisateur n'ait à arrêter ou démarrer ces services manuellement.
The following runlevels are defined by default under Fedora:
  • 0 — Arrêt
  • 1 — Mode texte mono-utilisateur
  • 2 — Pas utilisé (peut être défini par l'utilisateur)
  • 3 — Mode texte multi-utilisateurs complet
  • 4 — Pas utilisé (peut être défini par l'utilisateur)
  • 5 — Mode graphique multi-utilisateurs complet (avec un écran de connexion de type X Window)
  • 6 — Redémarrage
In general, users operate Fedora at runlevel 3 or runlevel 5 — both full multi-user modes. Users sometimes customize runlevels 2 and 4 to meet specific needs, since they are not used.
Le niveau d'exécution par défaut du système se trouve dans /etc/inittab. Pour trouver le niveau d'exécution par défaut d'un système, recherchez la ligne semblable à celle reproduite ci-dessous, au début de /etc/inittab :
id:5:initdefault:
Dans l'exemple ci-dessus, le niveau d'exécution par défaut est 5, comme l'indique le chiffre qui suit le premier signes des deux-points (:). Si vous désirez le changer, modifiez /etc/inittab en étant connecté en tant que super-utilisateur.

Warning

Faites très attention lorsque vous éditez /etc/inittab. De simples fautes de frappe peuvent empêcher votre système de démarrer. Si cela se produit, vous devrez utiliser une disquette d'amorçage pour votre système ou passer en mode mono-utilisateur ou en mode de secours pour redémarrer l'ordinateur et réparer le fichier.
For more information on single-user and rescue mode, refer to the chapter titled Basic System Recovery in the Red Hat Enterprise Linux Deployment Guide.


[7] GRUB reads ext3 file systems as ext2, disregarding the journal file. Refer to the chapter titled The ext3 File System in the Red Hat Enterprise Linux Deployment Guide for more information on the ext3 file system.

[8] Refer to the Red Hat Enterprise Linux Deployment Guide for more information about tty devices.

[9] Refer to the Red Hat Enterprise Linux Deployment Guide for more information about display managers.

Autre document technique

This document provides a reference for using the Fedora installation software, known as anaconda. To learn more about anaconda, visit the project Web page: http://www.fedoraproject.org/wiki/Anaconda.
anaconda et les systèmes Fedora utilisent un ensemble commun de composants logiciels. Pour des informations détaillées sur les technologies clefs, référez-vous aux sites Web listés ci-dessous :
Chargeur de démarrage
Partitionnement du disque
Fedora uses parted to partition disks. Refer to http://www.gnu.org/software/parted/ for more information.
Gestion du stockage
Support audio
Système graphique
affichages distants
interface en ligne de commande
By default, Fedora uses the GNU bash shell to provide a command-line interface. The GNU Core Utilities complete the command-line environment. Refer to http://www.gnu.org/software/bash/bash.html for more information on bash. To learn more about the GNU Core Utilities, refer to http://www.gnu.org/software/coreutils/.
Accès à distance au système
Contrôle d'accès
Pare-feu
Installation de logiciels
Virtualization

Contributors and production methods

H.1. Contributors

  • Fabian Affolter (translator - German)
  • Amanpreet Singh Alam (translator - Punjabi)
  • Jean-Paul Aubry (translator - French)
  • David Barzilay (translator - Brazilian Portuguese)
  • Domingo Becker (translator - Spanish)
  • Subhransu Behera (translator - Oriya)
  • Michał Bentkowski (translator - Polish)
  • Rahul Bhalerao (translator - Marathi)
  • Runa Bhattacharjee (translator - Bengali (India))
  • Teta Bilianou (translator - Greek)
  • Lucas Brausch (translator - German)
  • Hector Daniel Cabrera (translator - Spanish)
  • David Cantrell (writer - VNC installation)
  • Guido Caruso (translator - Italian)
  • Guillaume Chardin (translator - French)
  • Nikos Charonitakis (translator - Greek)
  • Chester Cheng (translator - Chinese (Traditional))
  • Glaucia Cintra (translator - Brazilian Portuguese)
  • Fabien Decroux (translator - French)
  • Hans De Goede (writer - iSCSI)
  • Claudio Rodrigo Pereyra Diaz (translator - Spanish)
  • Piotr Drąg (translator - Polish)
  • Damien Durand (translator - French)
  • Stuart Ellis (writer, editor)
  • Ali Fakoor (translator - Persian)
  • Felix I (translator - Tamil)
  • Tony Fu (translator - Chinese (Simplified))
  • Paul W. Frields (writer, editor)
  • Paul Gampe (translator - Japanese)
  • Sree Ganesh (translator - Telugu)
  • Dimitris Glezos (translator - Greek)
  • Guillermo Gómez (translator - Spanish)
  • Rui Gouveia (translator - Portuguese)
  • Kiyoto James Hashida (translator - Japanese)
  • Severin Heiniger (translator - German)
  • Xi Huang (translator - Chinese (Simplified))
  • Ryuichi Hyugabaru (translator - Japanese)
  • Jayaradha N (translator - Tamil)
  • Chris Johnson (writer)
  • Eunju Kim (translator - Korean)
  • Michelle J Kim (translator - Korean)
  • Miloš Komarčević (translator - Serbian)
  • Alexey Kostyuk (translator - Russian)
  • Daniela Kugelmann (translator - German)
  • Rüdiger Landmann (writer, editor)
  • Magnus Larsson (translator - Swedish)
  • Christopherus Laurentius (translator - Indonesian)
  • Florent Le Coz (translator - French)
  • Erick Lemon (writer)
  • Andy Liu (translator - Chinese (Traditional))
  • Wei Liu (translator - Chinese (Simplified))
  • Yelitza Louze (translator - Spanish)
  • Gan Lu (translator - Chinese (Simplified))
  • Igor Miletić (translator - Serbian)
  • Noriko Mizumoto (translator - Japanese)
  • Jeremy W. Mooney (writer)
  • Enikő Nagy (translator - Hungarian)
  • Igor Nestorović (translator - Serbian)
  • David Nalley (writer, editor)
  • John Nguyen (writer)
  • Manuel Ospina (translator - Spanish)
  • Janis Ozolins (translator - Latvian)
  • Ankit Patel (translator - Gujarati)
  • Davidson Paulo (translator - Brazilian Portuguese)
  • Ani Peter (translator - Malayalam)
  • Amitakhya Phukan (translator - Assamese)
  • Silvio Pierro (translator - Italian)
  • Micha Pietsch (translator - German)
  • José Nuno Pires (translator - Portuguese)
  • Piotr Podgórski (translator - Polish)
  • Yulia Poyarkova (translator - Russian)
  • Shankar Prasad (translator - Kannada)
  • Rajesh Ranjan (translator - Hindi)
  • Tim Richert (translator - German)
  • Dominik Sandjaja (translator - German)
  • Sharuzzaman Ahmat Raslan (translator - Malay)
  • Mohsen Saeedi (translator - Persian)
  • Tian Shixiong (translator - Chinese (Simplified))
  • Audrey Simons (translator - French)
  • Keld Simonsen (translator - Danish)
  • Jared K. Smith (writer, editor)
  • Espen Stefansen (translator - Norwegian Bokmål)
  • Sulyok Péter (translator - Hungarian)
  • Sümegi Zoltán (translator - Hungarian)
  • Francesco Tombolini (translator - Italian)
  • Timo Trinks (translator - German)
  • Dimitris Typaldos (translator - Greek)
  • Göran Uddeborg (translator - Swedish)
  • Michaël Ughetto (translator - French)
  • Francesco Valente (translator - Italian)
  • Karsten Wade (writer, editor, publisher)
  • Sarah Saiying Wang (translator - Chinese (Simplified))
  • Geert Warrink (translator - Dutch)
  • Elizabeth Ann West (editor)
  • Tyronne Wickramarathne (translator - Sinhalese)
  • Ben Wu (translator - Chinese (Traditional))
  • Xiaofan Yang (translator - Chinese (Simplified))
  • Yuan Yijun (translator - Chinese (Simplified))
  • Diego Búrigo Zacarão (translator - Brazilian Portuguese)
  • Izaac Zavaleta (translator - Spanish)

H.2. Production methods

Writers produce the Install Guide directly in DocBook XML in a revision control repository. They collaborate with other subject matter experts during the beta release phase of Fedora to explain the installation process. The editorial team ensures consistency and quality of the finished guide. At this point, the team of translators produces other language versions of the release notes, and then they become available to the general public as part of Fedora. The publication team also makes the guide, and subsequent errata, available via the Web.

Revision History

Historique des versions
Version 11.0.0Wed Apr 01 2009Hans De Goede, Paul W. Frields, Ruediger Landmann, David Nalley, The anaconda team, Red Hat Engineering Content Services
Major update, incorporating material from the Red Hat Enterprise Linux Installation Guide and elsewhere, plus fixes for numerous bugs
Version 10.0.1Mon Feb 16 2009Ruediger Landmann
Convert to build in Publican
Version 10.0.0Mon Nov 24 2008Karsten Wade
Build and publish Fedora 10 version
Version 9.9.2Sat Oct 18 2008Jared K. Smith
Prepare for release of Fedora 10
Version 9.0.2Fri Jul 25 2008Paul W. Frields
Corrige les instructions incorrect à propos de « livecd-tools »
Version 9.0.1Sat Jun 28 2008Paul W. Frields
Correction de nombreux bogues
Version 9.0.0Tue May 13 2008Paul W. Frields
Ajout d'informations à propos de la mise à niveau d'une distribution

Index

Symboles

/root/install.log
emplacement du fichier journal de l'installation, Début de l'installation

A

adding partitions, Ajout de partitions
file system type, Types de systèmes de fichiers
allocation des touches
sélection du type de clavier, Keyboard Configuration
Anaconda, Autre document technique
annulation de l'installation, Installation à partir du DVD/CD-ROM
architecture, Quelle est l'architecture de mon ordinateur ?
déterminant, Quelle est l'architecture de mon ordinateur ?
array (voir RAID)
arrêt, Arrêt
(voir aussi arrêt)
automatic partitioning, Disk Partitioning Setup, Create Default Layout

B

BIOS
définition, Le BIOS
(voir aussi processus de démarrage)
BIOS (Basic Input/Output System, Système de base d'entrée/sortie), Comment puis-je lancer le programme d'installation ?
BitTorrent, Depuis BitTorrent
envoie, Depuis BitTorrent
boot loader, Mise à jour de la configuration du chargeur de démarrage
(voir aussi GRUB)
upgrading, Mise à jour de la configuration du chargeur de démarrage
boot options, Additional Boot Options
boot.iso, Additional Boot Options
linux mediacheck, Préparation à une installation depuis le disque dur
mediacheck, Additional Boot Options
serial mode, Additional Boot Options
UTF-8, Additional Boot Options
text mode, Additional Boot Options
boot process, Processus de démarrage, Init et arrêt, Examen détaillé du processus de démarrage
(voir aussi chargeurs de démarrage)
chargement à la chaîne, GRUB et le processus de démarrage x86
chargement direct, GRUB et le processus de démarrage x86
étapes de, Processus de démarrage, Examen détaillé du processus de démarrage
BIOS, Le BIOS
boot loader, Le chargeur de démarrage
commande /sbin/init, Le programme /sbin/init
noyau, Le noyau
shell EFI, Le BIOS
pour x86, Examen détaillé du processus de démarrage
boot.iso, Création d'un CD-ROM de démarrage d'installation, Additional Boot Options
booting
installation program
x86, AMD64 and Intel 64, Booting the Installation Program on x86, AMD64, and Intel 64 Systems
mode d'urgence, Démarrage en mode d'urgence
mode de secours, Démarrage en mode de secours
mode mono-utilisateur, Démarrage en mode mono-utilisateur

C

CD-ROM
ATAPI, Installation à partir du DVD/CD-ROM
unrecognized, problems with, Que faire si le CD-ROM IDE n'est pas détecté ?
CD-ROM de démarrage, création, Création d'un CD-ROM de démarrage d'installation
IDE, Installation à partir du DVD/CD-ROM
unrecognized, problems with, Que faire si le CD-ROM IDE n'est pas détecté ?
installation depuis, Installation à partir du DVD/CD-ROM
SCSI, Installation à partir du DVD/CD-ROM
CD-ROM ATAPI
unrecognized, problems with, Que faire si le CD-ROM IDE n'est pas détecté ?
CD-ROM IDE
unrecognized, problems with, Que faire si le CD-ROM IDE n'est pas détecté ?
chargeur d'amorçage, Configuration du chargeur d'amorçage pour les systèmes x86, AMD64 et Intel 64
configuration, Configuration du chargeur d'amorçage pour les systèmes x86, AMD64 et Intel 64
GRUB, Configuration du chargeur d'amorçage pour les systèmes x86, AMD64 et Intel 64
installation sur la partition de démarrage, Configuration avancée du chargeur d'amorçage
MBR, Configuration avancée du chargeur d'amorçage
mot de passe, Configuration du chargeur d'amorçage pour les systèmes x86, AMD64 et Intel 64
chargeurs de démarrage, GRUB
(voir aussi GRUB)
definition of, Chargeur de démarrage GRUB
chkconfig, Utilitaires de niveaux d'exécution
(voir aussi services)
Clef USB
méthodes de démarrage, Autres méthodes de démarrage
clock, Configuration du fuseau horaire
commande init, Le programme /sbin/init
(voir aussi processus de démarrage)
fichiers de configuration
/etc/inittab, Niveaux d'exécution de SysV Init
niveaux d'exécution
répertoire pour, Niveaux d'exécution de SysV Init
niveaux d'exécution accédés par, Niveaux d'exécution (Runlevels)
rôle dans le processus de démarrage, Le programme /sbin/init
(voir aussi processus de démarrage)
SysV init
définition, Niveaux d'exécution de SysV Init
commande setserial
configuration, Exécution de programmes supplémentaires au démarrage
commentaires
coordonnées pour ce manuel, Vos commentaires sont importants !
configuration
clock, Configuration du fuseau horaire
GRUB, Configuration du chargeur d'amorçage pour les systèmes x86, AMD64 et Intel 64
heure, Configuration du fuseau horaire
matériel, System Specifications List
time zone, Configuration du fuseau horaire
Configuration TCP/IP, Installation réseau
consoles, virtual, A Note about Virtual Consoles

D

démarrage du CD-ROM, Autres méthodes de démarrage
creating, Création d'un CD-ROM de démarrage d'installation
désinstallation, Removing Fedora
DHCP
environnement sans disque, Configuration du serveur DHCP
Installations PXE, Configuration du serveur DHCP
DHCP (Protocole de configuration dynamique du nom d'hôte), Network Configuration
disquette
supports, Supports de pilotes pour les systèmes Intel et AMD
dmraid
installation, Advanced Storage Options
domain name, Network Configuration
driver diskette, Starting the Installation Program
driver disks, Adding Hardware Support with Driver Disks

E

environnement sans disque
Configuration de DHCP, Configuration du serveur DHCP
espace disque, Avez-vous suffisamment d'espace disque ?
ext2 (voir file systems)
ext3 (voir file systems)
ext4 (voir file systems)
extended partitions, Partitions à l'intérieur de partitions — Présentation des partitions étendues

F

fichier journal de l'installation
/root/install.log, Début de l'installation
fichier kickstart
%include, Options de kickstart
%post, Script post-installation
%pre, Script de pré-installation
à partir d'un CD-ROM, Création d'un support de démarrage Kickstart
à partir d'une disquette, Création d'un support de démarrage Kickstart
à partir du réseau, Mise à disposition du fichier kickstart sur le réseau, Mise à disposition de l'arborescence d'installation
aspect, Création du fichier kickstart
auth, Options de kickstart
authconfig, Options de kickstart
autopart, Options de kickstart
autostep, Options de kickstart
bootloader, Options de kickstart
clearpart, Options de kickstart
cmdline, Options de kickstart
configuration avant installation, Script de pré-installation
configuration post-installation, Script post-installation
creating, Options de kickstart
driverdisk, Options de kickstart
firewall, Options de kickstart
firstboot, Options de kickstart
flash-based, Création d'un support de démarrage Kickstart
format de, Création du fichier kickstart
graphique, Options de kickstart
halt, Options de kickstart
ignoredisk, Options de kickstart
Inclure le contenu d'un autre fichier, Options de kickstart
install, Options de kickstart
interactive, Options de kickstart
iscsi, Options de kickstart
key, Options de kickstart
keyboard, Options de kickstart
lang, Options de kickstart
langsupport, Options de kickstart
logging, Options de kickstart
logvol, Options de kickstart
mediacheck, Options de kickstart
méthodes d'installation, Options de kickstart
mise à niveau, Options de kickstart
multipath, Options de kickstart
network, Options de kickstart
options, Options de kickstart
exemples de partitionnement, Exemple de partitionnement avancé
part, Options de kickstart
partition, Options de kickstart
périphérique, Options de kickstart
poweroff, Options de kickstart
raid, Options de kickstart
reboot, Options de kickstart
rootpw, Options de kickstart
selinux, Options de kickstart
services, Options de kickstart
shutdown, Options de kickstart
skipx, Options de kickstart
souris, Options de kickstart
spécification de sélection de paquetages, Package Selection
text, Options de kickstart
timezone, Options de kickstart
utilisateur, Options de kickstart
vnc, Options de kickstart
volgroup, Options de kickstart
xconfig, Options de kickstart
zerombr, Options de kickstart
zfcp, Options de kickstart
fichier swap
mise à niveau, Choix entre mise à niveau et réinstallation
file systems
ext2, Installation à partir d'un disque dur
ext3, Installation à partir d'un disque dur
ext4, Installation à partir d'un disque dur
vfat, Installation à partir d'un disque dur
firewall
documentation, Autre document technique
Firstboot, Firstboot
FTP
installation, Préparation à une installation réseau

G

gestionnaire de démarrage OS/2, Configuration avancée du chargeur d'amorçage
GRUB, Configuration du chargeur d'amorçage pour les systèmes x86, AMD64 et Intel 64, Le chargeur de démarrage
(voir aussi chargeurs de démarrage)
alternatives au, Alternatives aux chargeurs d'amorçage
caractéristiques, Caractéristiques de GRUB
Changement de niveau d'exécution au démarrage, Changement de niveau d'exécution au démarrage
commandes, Commandes GRUB
configuration, Configuration du chargeur d'amorçage pour les systèmes x86, AMD64 et Intel 64
definition of, GRUB
documentation, Autre document technique
fichier de configuration
/boot/grub/grub.conf, Structure des fichiers de configuration
structure, Structure des fichiers de configuration
fichier de configuration du menu, Fichier de configuration du menu de GRUB
directives, Directives des fichiers de configuration
installing, Installing GRUB
interfaces, Interfaces GRUB
éditeur d'entrées de menu, Interfaces GRUB
ligne de commande, Interfaces GRUB
menu, Interfaces GRUB
ordre de, Ordre de chargement des interfaces
modification des niveaux d'exécution avec, Interfaces GRUB
processus de démarrage, GRUB et le processus de démarrage x86
ressources supplémentaires, Ressources supplémentaires
documentation installée, Documentation installée
livre sur le sujet, Livres sur le sujet
sites Web utiles, Sites Web utiles
rôle dans le processus de démarrage, Le chargeur de démarrage
terminologie, Terminologie relative à GRUB
fichiers, Noms de fichiers et listes des blocs
périphériques, Noms des périphériques
système de fichiers root, Le système de fichiers racine et GRUB
grub.conf, Structure des fichiers de configuration
(voir aussi GRUB)

I

Images ISO
téléchargement, Télécharger les fichiers
installation
abandon, Installation à partir du DVD/CD-ROM
CD-ROM, Installation à partir du DVD/CD-ROM
espace disque, Avez-vous suffisamment d'espace disque ?
FTP, Préparation à une installation réseau
GUI
CD-ROM, Installing on Intel and AMD Systems
hard drive, Préparation à une installation depuis le disque dur, Installation à partir d'un disque dur
HTTP, Préparation à une installation réseau, Installing via FTP or HTTP
kickstart (voir installations kickstart)
mediacheck, Additional Boot Options
méthode
CD-ROM, Choix d'une méthode d'installation
hard drive, Choix d'une méthode d'installation
image NFS, Choix d'une méthode d'installation
selecting, Choix d'une méthode d'installation
URL, Choix d'une méthode d'installation
navigation au moyen du clavier, Navigation au moyen du clavier
network, Préparation à une installation réseau
NFS, Préparation à une installation réseau, Installation via NFS
informations sur le serveur, Installation via NFS
partitioning, Partitionnement du système
pouvez-vous l'installer avec le CD-ROM ou DVD, Pouvez-vous installer à partir du CD-ROM ou du DVD ?
problèmes
liés aux CD-ROM IDE, Que faire si le CD-ROM IDE n'est pas détecté ?
program
graphical user interface, The Graphical Installation Program User Interface
interface utilisateur en mode texte, Interface utilisateur du programme d'installation en mode texte
starting, Starting the Installation Program
virtual consoles, A Note about Virtual Consoles
serial mode, Additional Boot Options
UTF-8, Additional Boot Options
starting, Installation à partir du DVD/CD-ROM
text mode, Additional Boot Options
installation de paquetages, Package Group Selection
installation program
x86, AMD64 and Intel 64
booting, Booting the Installation Program on x86, AMD64, and Intel 64 Systems
installations kickstart, Installations kickstart
à partir d'un CD-ROM, Création d'un support de démarrage Kickstart
à partir d'une disquette, Création d'un support de démarrage Kickstart
à partir du réseau, Mise à disposition du fichier kickstart sur le réseau, Mise à disposition de l'arborescence d'installation
arborescence d'installation, Mise à disposition de l'arborescence d'installation
emplacements de fichiers, Mise à disposition du fichier kickstart
flash-based, Création d'un support de démarrage Kickstart
format fichier, Création du fichier kickstart
LVM, Options de kickstart
starting, Lancement d'une installation kickstart
à partir d'un CD-ROM de démarrage, Lancement d'une installation kickstart
à partir du CD-ROM #1 avec une disquette, Lancement d'une installation kickstart
interface utilisateur, mode texte
installation program, Interface utilisateur du programme d'installation en mode texte
IPv4, Network Configuration
iscsi
installation, Advanced Storage Options
ISO images
téléchargement, Comment télécharger les fichiers d'installation ?

K

kernel options, Kernel Options
keyboard
configuration, Keyboard Configuration
navigation dans le programme d'installation au moyen du, Navigation au moyen du clavier
Kickstart, Automatiser l'installation avec Kickstart
kickstart
comment trouver le fichier, Lancement d'une installation kickstart
Kickstart Configurator, Kickstart Configurator
aperçu, Kickstart Configurator
boot loader, Options de chargeur de démarrage
choix de la méthode d'installation, Méthode d'installation
configuration de l'affichage, Configuration de l'affichage
configuration de SELinux, Configuration de SELinux
configuration du pare-feu, Configuration du pare-feu
configuration réseau, Network Configuration
enregistrement, Enregistrement du fichier
installation en mode texte, Configuration de base
interactive, Configuration de base
keyboard, Configuration de base
language, Configuration de base
options d'authentification, Authentification
options de base, Configuration de base
options de chargeur de démarrage, Options de chargeur de démarrage
partitioning, Informations sur les partitions
RAID logiciel, Création de partitions RAID logicielles
reboot, Configuration de base
root password, Configuration de base
crypter, Configuration de base
script %post, Script post-installation
script %pre, Script de pré-installation
sélection des paquetages, Package Selection
time zone, Configuration de base

L

language
selecting, Language Selection
LILO, Le chargeur de démarrage
(voir aussi chargeurs de démarrage)
rôle dans le processus de démarrage, Le chargeur de démarrage
LVM
avec kickstart, Options de kickstart
documentation, Autre document technique
logical volume, Understanding LVM
physical volume, Understanding LVM
understanding, Understanding LVM
volume group, Understanding LVM

M

master boot record, Configuration du chargeur d'amorçage pour les systèmes x86, AMD64 et Intel 64
Master Boot Record, Unable to Boot into Fedora (voir MBR)
réinstallation, Réinstallation du chargeur de démarrage
matériel
configuration, System Specifications List
MBR
définition, Examen détaillé du processus de démarrage, Le BIOS
(voir aussi chargeurs de démarrage)
(voir aussi processus de démarrage)
installation du chargeur d'amorçage sur, Configuration avancée du chargeur d'amorçage
Média d'installation
test, Préparation à une installation depuis le disque dur
Média USB
booting, Comment puis-je lancer le programme d'installation ?
téléchargement, Comment télécharger les fichiers d'installation ?
Médias CD/DVD
booting, Comment puis-je lancer le programme d'installation ?
téléchargement, Comment télécharger les fichiers d'installation ?
(voir aussi ISO images)
memory testing mode, Chargement du mode de test de la mémoire (RAM)
méthodes de démarrage
Clef USB, Autres méthodes de démarrage
démarrage du CD-ROM, Autres méthodes de démarrage
miroir, Depuis un miroir
mise à niveau, Choix entre mise à niveau et réinstallation
ajout d'un fichier swap, Choix entre mise à niveau et réinstallation
mode d'urgence, Démarrage en mode d'urgence
mode de secours
definition of, Démarrage en mode de secours
fonctions disponibles, Démarrage en mode de secours
mode mono-utilisateur, Démarrage en mode mono-utilisateur
modem, Network Configuration
mot de passe
chargeur d'amorçage, Configuration du chargeur d'amorçage pour les systèmes x86, AMD64 et Intel 64
configuration de root, Set the Root Password
mot de passe du chargeur d'amorçage, Configuration du chargeur d'amorçage pour les systèmes x86, AMD64 et Intel 64

N

network
installations
HTTP, Installing via FTP or HTTP
NFS, Installation via NFS
network installation
performing, Installation réseau
preparing for, Préparation à une installation réseau
NFS
installation, Préparation à une installation réseau, Installation via NFS
NFS (Network File System)
install from, Installation réseau
niveau d'exécution 1, Démarrage en mode mono-utilisateur
niveaux d'exécution (voir commande init)
configuration des, Utilitaires de niveaux d'exécution
(voir aussi services)
modification avec GRUB, Interfaces GRUB
noyau
rôle dans le processus de démarrage, Le noyau
NTP (Network Time Protocol), Configuration du fuseau horaire, Date et heure
ntsysv, Utilitaires de niveaux d'exécution
(voir aussi services)

O

OpenSSH, Autre document technique
(voir aussi SSH)
Outil de configuration des services, Utilitaires de niveaux d'exécution
(voir aussi services)
Outil de partitionnement de disque
adding partitions, Ajout de partitions

P

package groups, Customizing the Software Selection
packages
groups, Package Group Selection
selecting, Package Group Selection
installing, Package Group Selection
selecting, Package Group Selection
partition
étendue, Partitions à l'intérieur de partitions — Présentation des partitions étendues
illegal, The partitioning screen
root, The partitioning screen
partition / racine
recommended partitioning, Schéma de partitionnement recommandé
partition /boot/
recommended partitioning, Schéma de partitionnement recommandé
partition /var/
recommended partitioning, Schéma de partitionnement recommandé
partition swap
recommended partitioning, Schéma de partitionnement recommandé
partitioning, Partitionnement du système
automatique, Create Default Layout
autres systèmes d'exploitation, Partitions de disque et autres systèmes d'exploitation
basic concepts, Introduction aux partitions de disque
creating new, Ajout de partitions
file system type, Types de systèmes de fichiers
création d'espace pour les partitions, Making Room For Fedora
dénomination de partitions, Système de dénomination des partitions
destructeur, Utilisation de l'espace libre d'une partition active
extended partitions, Partitions à l'intérieur de partitions — Présentation des partitions étendues
how many partitions, Partitions : transformation d'un disque dur en plusieurs disques, Combien de partitions ?
introduction, Partitions : transformation d'un disque dur en plusieurs disques
modification, Modification de partitions
non destructeur, Utilisation de l'espace libre d'une partition active
numérotage de partitions, Système de dénomination des partitions
partitions primaires, Partitions : transformation d'un disque dur en plusieurs disques
points de montage et, Partitions de disque et points de montage
recommandé, Schéma de partitionnement recommandé
suppression, Suppression d'une partition
types de partition, Partitions : transformation d'un disque dur en plusieurs disques
utilisation d'une partition active, Utilisation de l'espace libre d'une partition active
utilisation d'une partition non utilisée, Utilisation de l'espace d'une partition non utilisée
utilisation de l'espace libre, Utilisation de l'espace libre non partitionné
Partitioning, Partitionnement du système
adding partitions
file system type, Types de systèmes de fichiers
boutons, The partitioning screen
modification de partitions, Modification de partitions
suppression d'une partition, Suppression d'une partition
partitionnement de disque, Disk Partitioning Setup
partitions NTFS
redimensionner, Prépare pour l'installation
points de montage
partitions et, Partitions de disque et points de montage
ports série (voir commande setserial)
programmes
exécution au démarrage, Exécution de programmes supplémentaires au démarrage
PulseAudio, Autre document technique
PXE (Pre-boot eXecution Environment), Démarrer à partir du réseau en utilisant PXE
PXE installations
adding hosts, Adding PXE Hosts
boot message, custom, Adding a Custom Boot Message
configuration, PXE Boot Configuration
Configuration de DHCP, Configuration du serveur DHCP
overview, Manually configure a PXE server
performing, Performing the PXE Installation
setting up the network server, Setting up the Network Server

R

RAID
creating a software RAID, The partitioning screen
hardware, RAID and Other Disk Devices
kickstart installations, Options de kickstart
Kickstart Configurator, Création de partitions RAID logicielles
partitioning a RAID, The partitioning screen
software, RAID and Other Disk Devices
system unbootable after disk failure, Installing GRUB
trouble booting from drive attached to RAID card, Vous ne parvenez pas à démarrer avec votre carte RAID ?
rc.local
modification, Exécution de programmes supplémentaires au démarrage
rc.serial, Exécution de programmes supplémentaires au démarrage
(voir aussi commande setserial)
réinstallation, Choix entre mise à niveau et réinstallation
rescue discs, Démarrer votre ordinateur en « Mode de Secours »
rescue mode, Rescue Mode, Démarrer votre ordinateur en « Mode de Secours »
restauration du système, Restauration de base du système
problèmes courants, Problèmes courants
oubli du mot de passe root, Root Password
problèmes logiciels/matériels, Problèmes logiciels et matériels
réinstallation du chargeur de démarrage, Réinstallation du chargeur de démarrage
unable to boot into Fedora, Unable to Boot into Fedora
root password, Set the Root Password

S

scp, Autre document technique
(voir aussi SSH)
selecting
packages, Package Group Selection
SELinux
documentation, Autre document technique
serial console, Configuration de l'interface
services
configuration à l'aide de l'Outil de configuration des services , Utilitaires de niveaux d'exécution
configuration avecchkconfig , Utilitaires de niveaux d'exécution
configuration avecntsysv , Utilitaires de niveaux d'exécution
Setup Agent
via Kickstart, Options de kickstart
shell EFI
définition, Le BIOS
(voir aussi processus de démarrage)
Shell Extensible Firmware Interface (voir shell EFI)
SSH (Secure SHell)
documentation, Autre document technique
starting
installation, Starting the Installation Program, Installation à partir du DVD/CD-ROM
steps
compatibilité matérielle, Votre matériel est-il compatible ?
espace disque, Avez-vous suffisamment d'espace disque ?
installation avec le CD-ROM ou DVD, Pouvez-vous installer à partir du CD-ROM ou du DVD ?
supports de pilotes, Supports de pilotes pour les systèmes Intel et AMD
création d'une disquette à partir d'une image, Création d'une disquette de pilotes à partir d'un fichier image
produite par d'autres sociétés, Comment se procurer des supports de pilotes ?
produite par Red Hat, Comment se procurer des supports de pilotes ?
utilisation d'une image de pilotes, Utilisation d'une image de pilotes pendant l'installation
suppression
Fedora, Removing Fedora
syslog, Se connecter à un système distant durant l'installation
system-config-kickstart (voir Kickstart Configurator)
Système d'Entrée/Sortie de base (voir BIOS)
système de fichiers
formats, présentation, Ce qui compte n'est pas tant ce que vous écrivez que la manière dont vous l'écrivez
SysV init (voir commande init)

T

Telnet, Activer l'accès à distance via Telnet
text interface, Configuration de l'interface
tftp, Démarrage du serveur tftp
time zone
configuration, Configuration du fuseau horaire
traceback messages
saving traceback messages without removeable media, Saving traceback messages without removeable media
troubleshooting, Résolution de problèmes d'installation sur un système Intel ou AMD
after the installation, Problèmes après l'installation
Arrêt brutal du serveur X, Problèmes d'arrêt brutal du serveur X et utilisateurs qui ne sont pas le super-utilisateur
configuration du son, Problèmes de configuration du son
connexion, Problèmes au moment de la connexion
démarrage dans GNOME ou KDE, Démarrage dans un environnement graphique
démarrage dans le système X Window, Démarrage dans un environnement graphique
démarrage dans un environnement graphique, Démarrage dans un environnement graphique
écran graphique GRUB, Vous rencontrez des problèmes avec l'écran graphique de GRUB sur un système x86 ?
imprimantes, Votre imprimante ne fonctionne pas
mémoire vive (RAM) non reconnue, Votre RAM n'est pas reconnue ?
Sendmail en suspens au démarrage, Service httpd basé sur Apache/Sendmail en suspens au démarrage
Service httpd basé sur Apache en suspens au démarrage, Service httpd basé sur Apache/Sendmail en suspens au démarrage
X (Système X Window), Problèmes avec le système X Window (GUI)
beginning the installation, Problèmes au démarrage de l'installation
frame buffer, disabling, Problems with Booting into the Graphical Installation
GUI installation method unavailable, Problems with Booting into the Graphical Installation
booting, You are unable to boot Fedora
cartes RAID, Vous ne parvenez pas à démarrer avec votre carte RAID ?
erreur signal 11, Votre système affiche-t-il des erreurs Signal 11 ?
CD-ROM failure
CD-ROM verification, Préparation à une installation depuis le disque dur, Additional Boot Options
during the installation, Problèmes durant l'installation
completing partitions, Autres problèmes de partitionnement
erreurs Python, Voyez-vous des erreurs Python ?
No devices found to install Fedora error message, No devices found to install Fedora Error Message
partition tables, Trouble with Partition Tables
saving traceback messages without removeable media, Saving traceback messages without removeable media
utilisation de l'espace restant du disque dur, Utilisation de l'espace restant
types de systèmes de fichiers, Types de systèmes de fichiers

U

Update System, Mettre à jour votre système
USB pen card (stylo à bille avec disque USB)
image de pilotes, Création d'une disquette de pilotes à partir d'un fichier image
user interface, graphical
installation program, The Graphical Installation Program User Interface
utilitaire de partitionnement parted, Création d'une/de nouvelle(s) partition(s).